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L’euro, les banquiers et la mondialisation : l’arnaque du siècle !
09/03/2011 18:49
Chère amie, cher compagnon,
C’est avec émotion que je vous annonce en avant-première la sortie de mon prochain livre le 31 mars aux éditions du Rocher - L’euro, les banquiers et la mondialisation : l’arnaque du siècle.
Une sincère émotion, car je vous promets que cet ouvrage sera à l’origine d’une onde de choc importante. En effet, pour tous ceux qui aiment leur patrie comme on aime sa famille, je veux que ce livre soit la référence de l’année 2011.
L’arnaque du siècle est jusqu’à présent mon livre le plus abouti, c’est-à-dire celui qui - je le crois - synthétise le mieux les raisons profondes de notre combat pour une certaine idée de la France.
A travers le symbole de la sortie de l’euro, j’y fais des révélations surprenantes sur la façon dont le système bancaire se sert de l’Union Européenne pour nous imposer un véritable racket organisé, et je vous explique comment notre classe politique a sacrifié l’Europe sur l’autel d’intérêts pour le moins ambigus.
Je raconte également des anecdotes stupéfiantes sur le personnel politique français et la façon dont ils se sont couchés pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Je suis ainsi le premier député à révéler le scandale de l’affaire France Trésor !
Je donne enfin les clés du sursaut pour la France et délivre un mode d’emploi de la sortie de crise. Car je veux continuer de porter un message d’espérance : la sortie de l’euro est en effet une occasion unique pour les Français de retrouver l’usage de leur liberté, de renouer avec un projet politique enfin tourné vers la croissance et de bâtir une vraie Europe des nations.
Vous pouvez vous procurez L’arnaque du siècle sur les sites de ventes en ligne dès maintenant, ou bien plutôt le réserver auprès de votre libraire de quartier dès aujourd’hui.
De notre capacité à vendre un maximum d’exemplaires avant la date de sortie dépend la future médiatisation de cet ouvrage, et donc la diffusion de nos idées dans toute la France.
Je compte sur vous pour en procurer plusieurs et les revendre (ou les offrir !) autour de vous.
Je vous laisse découvrir la couverture et la 4ème de couverture de L’arnaque du siècle !
Très fidèlement,
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République.
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Le nègre du Président
08/02/2011 09:51
Le nègre du Président ou les effluves du sarkozysme de palais Dans son dernier opus, Daniel Carton se met dans la peau d'un conseiller du Président, qui finit par fuir en Amérique Latine. Devinette : dans la vie réelle, qui est le nègre du président ?
C'est tout l'art du journalisme « fictionné » : mélanger du vrai et de l'inventé ou bien, mieux, mélanger deux vrais pour construire un portrait qui, du coup devient faux alors qu'il n'est que plus vrai que nature.... A la page 75 du livre de Daniel Carton, un journaliste qui a roulé sa bosse au Monde et au Nouvel Obs, on croit découvrir l'identité du « nègre du président » auquel il prête sa plume : avec le chat dans la gorge et le tic ravageur, voilà notre Guaino national démasqué. Mais ce Guaino-là n'est pas, comme le vrai, le fils d'une femme de ménage, il est né dans une famille neuillyenne. Et nous voilà à la recherche de l'autre conseiller avec lequel Guaino a été « shaké » pour forger le héros du livre...
A quoi bon au fond. Il faut lire cet ouvrage comme il vient et d'ailleurs l'on devrait toujours lire les livres ainsi, sans chercher à faire le malin... Nous voilà donc au Palais, tel que le raconte le conseiller spécial du Président dans l'avion qui l'amène à l'autre bout du monde après qu'il ait décidé de lâcher l'affaire. Notre homme a succombé au syndrome qui, au fond, guette tout conseiller : se persuader qu'il est le vrai marionnettiste de l'homme qu'il conseille. Journaliste politique d'expérience, Daniel Carton a sûrement vu tant de fois les « écriveurs » de discours mimer, en plein meeting, le discours qu'ils viennent de glisser dans la serviette de leur maître. Tel est le péché du conseilleur. Péché de vanité, croire que c'est dans son cerveau fécond et sous sa plume habile que se forge l'homme qui va conquérir le pouvoir.
Et puis, il arrive que ça marche. Le simple « écriveur » devient conseiller spécial. Mais là, coup de théâtre : la marionnette se rebelle contre le marionnettiste et le manipulateur devient l'objet du manipulé. Il le domine de la tête au pieds... et même jusqu'au sexe puisque, dans l'histoire racontée par Carton, le conseiller qui a pris une maîtresse italienne peut-être par mimétisme, finit par se la faire souffler par son boss... Mais là on a quitté les eaux troubles du sarkozysme pour celles, plus fangeuses du berlusconisme.
Peu importe au fond si on n'est pas sûr, en refermant le livre d'avoir lu une description juste du sarkozysme de palais au quotidien. On en hume toutefois quelques odeurs. L'importance du fric et des couilles. La servilité de la Cour. Le cynisme absolu qui gangrène les élites comme les organes d'un cancéreux en phase terminale. On espère que Carton exagère pour emmener son lecteur. Ce qu'il réussit parfaitement en tout cas. Carton n'est peut-être plus journaliste et il ne doit pas être lu comme tel. Mais comme plume de la plume, il s'y entend, et on s'y croirait....
Le nègre du Président par Daniel Carton, Hugo et Compagnie, 15€.
Philippe Cohen- Marianne
http://www.marianne2.fr/Le-negre-du-President-ou-les-effluves-du-sarkozysme-de-palais_a202448.html
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Communautarisme contre République: une menace en trois dimensions
04/02/2011 09:47
Une tribune de Julien Landfried, secrétaire national du Mouvement Républicain et Citoyen (MRC), auteur de Contre le communautarisme (Editions Armand Colin, 2007), parue dans le Journal Après-demain n°17 (« La République en danger », janvier 2011)
Un spectre hante la République : le communautarisme a fait son apparition comme catégorie répulsive du discours politique et du champ intellectuel depuis le début des années 80. Se réclamer du communautarisme, c’est, pour un politique ou un intellectuel, la certitude d’un isolement rapide (« Qui est communautariste ? »). Le consensus dominant estime le communautarisme en expansion dans la société et prétend construire des digues contre lui, en même temps que les « valeurs républicaines », ringardisées il y a peu encore, reviennent à la mode (« Nous sommes tous des républicains », pourrait-on paraphraser). D’où vient alors le paradoxe selon lequel le communautarisme, prétendument combattu par tous, serait irrésistiblement en ascension ? Pour répondre à cette interrogation, un essai de définition s’impose. Celle que je proposerai s’articulera autour de trois dimensions.
« Envie du pénal » et « Reductio ad Hitlerum » Le communautarisme est d’abord un réflexe idéologique, inséparable de l’extension du politiquement correct dans les pays d’Europe et les Etats-Unis. Certains sujets y sont désormais retranchés des règles du débat public en raison de l’implication de « minorités » plus ou moins bien définies, dont le respect inconditionnel est tenu pour acquis. Citons en vrac : la demande d’accroissement sans limite des droits associés à l’« homoparentalité », la demande de « reconnaissance » et de « dignité » des « descendants » de l’esclavage ou de la décolonisation par le vote de lois spécifiques (dites « lois mémorielles »), la revendication de places réservées dans les domaines les plus prestigieux de la politique, de la communication ou de l’entreprise privée pour les femmes et les minorités ethniques (par des politiques dites de « discrimination positive » ou favorisant la « diversité ») ou encore la demande d’intégration des pratiques culturelles et religieuses dans les cahiers des charges du Service public (quasi-disparition de certains plats dans les cantines scolaires, par exemple).
On assiste ainsi, dans les vieilles démocraties libérales, à un rétrécissement stupéfiant de la liberté d’expression, pourchassée jusque devant les tribunaux par des associations groupusculaires, parlant le langage de l’humanisme et de la tolérance, mais d’abord mues par le souci de la censure et réclamant peines de prison et interdits professionnels pour les « mal-pensants ». L’« envie du pénal », selon l’expression de Philippe Muray, semble désormais la passion dominante de la nouvelle ploutocratie du monde associatif et militant, intégrée à la société du spectacle dans ce qu’elle a de plus méprisable et médiocre, usant de la « reductio ad hitlerum » comme d’autres, en leur temps, de l’accusation de « fascisme ».
« Victimes » d'hier, « victimes » d'aujourd'hui Dans ce contexte idéologique délétère, on reconnaît bien entendu la vieille fascination de la gauche pour la culture de la marge ou de la minorité (avatar du léninisme ?), réflexe qui n’a fait que s’exacerber avec le mépris grandissant de l’intelligentsia de gauche pour les classes populaires autochtones, désormais assimilées à la « majorité »... dominante. Par un étonnant renversement, la cause du communautarisme remplace ainsi les « victimes » d’antan (les travailleurs, dont les caractéristiques ethniques, religieuses ou sexuelles étaient tenues pour négligeables) par les « victimes » d’aujourd’hui (immigrés, femmes, membres de minorités ethniques, religieuses ou sexuelles), au moment même où le système économique mondial relègue effectivement le monde ouvrier dans les marges (du moins en Europe et aux Etats-Unis), rompant ainsi avec la centralité de la figure ouvrière dans le système capitaliste. Cette inversion s’établit en même temps que la question sociale disparaît des écrans radar au profit de questions sociétales plus ou moins légitimes mais qui, sans conteste, ont pour effet d’éjecter la première nommée de l’agenda politique.
La carte qui gagne à tous les coups Le communautarisme est aussi une stratégie opportuniste, pour le Narcisse en mal de reconnaissance comme pour le filou sans morale. En France, vieille nation politique individualiste, l’apparition d’entrepreneurs communautaires prétendant parler au nom de leur « communauté » d’origine peut s’expliquer aisément. Carte médiatique à coup sûr gagnante (surtout depuis que les entrepreneurs communautaires - tout en réclamant des mesures d’inspiration communautariste - parlent la langue de la République), arme de pression sur des responsables politiques mal conseillés ou simplement couards, le choix d’un positionnement communautaire permet l’acquisition de rentes de situation dans l’appareil médiatique et politique et une exposition sans commune mesure avec l’influence réelle ou la représentativité desdites associations ou des individus. Après tout, Tariq Ramadan, citoyen suisse d’origine égyptienne, n’était-il pas tenu pour un spécialiste des banlieues françaises au seul motif qu’il est musulman ? Jean-Guy Talamoni, l’un des chefs de file du nationalisme corse, n’a-t-il pas été « poussé » par le quotidien Le Monde pendant des années avant que les citoyens français de Corse ne mettent un coup d’arrêt, en juillet 2003, à la logique de séparation institutionnelle proposée alors par les autorités de la République ? Le CRAN (« Conseil Représentatif des Associations Noires » de France) ne bénéficie-t-il pas d’une médiatisation sans rapport avec ses maigres effectifs (une centaine de personnes, selon des sources internes) ? Et, suprême injure faite à la philosophie républicaine, la quasi-totalité des membres du gouvernement et de l’opposition ne prend-elle pas soin, tous les ans, de se rendre au dîner annuel du Conseil Représentatif des Institutions juives de France (CRIF), craignant de subir les foudres de responsables ne faisant pourtant guère dans la nuance dès qu’il s’agit de « repentance » ou de défense des intérêts israéliens ?
A l'école du CRIF Il faut ici se rendre à l’évidence : c’est bien la relation institutionnelle incestueuse entre le CRIF et le monde politique français qui fournit tout à la fois la matrice que les nouvelles organisations communautaires (CRAN, CFCM - Conseil Français du Culte Musulman - oscillant perpétuellement entre son rôle cultuel et une ambition politico-communautaire, etc.) cherchent à imiter et la jurisprudence qui justifie toutes leurs audaces. Constat tragique au pays de Stanislas de Clermont-Tonnerre...
Ce sens de l’opportunité des entrepreneurs communautaires s’allie parfaitement à la première dimension de la dynamique communautariste et fournit à bon compte des solutions faciles et « médiatisables » à des élus ou responsables politiques éprouvant des difficultés réelles à proposer des politiques publiques qui emporteraient l’adhésion collective, dans une société marquée par l’anomie et l’individualisation.
Une séparation destructrice Le communautarisme est, enfin, une réalité démographique dont il est difficile de mesurer la dangerosité. La séparation de fait des catégories populaires (Français de longue date désormais relégués dans les zones périurbaines et rurales ; immigrés récents vivant dans les banlieues intégrées aux villes-centres) introduit une nouveauté dans la France post-révolutionnaire. Elle porte en effet en germe la destruction de la pratique républicaine à la française, qui réussissait à fusionner un idéal politique élevé (la philosophie républicaine, d’inspiration libérale mais fortement teintée d’égalitarisme ; autrement dit : la tension féconde entre les principes d’inégalité et d’égalité) et une pratique anthropologique culturellement violente mais symétriquement antiraciste : l’assimilation.
On a longtemps constaté l’indifférence des Français à la race, sur une longue durée - en particulier par l’importance des mariages mixtes exogamiques, qui séparaient radicalement l’univers culturel français de l’univers culturel anglo-saxon ou allemand - mais cette particularité française se déployait à des époques d’immigration plus faible, où l’assimilation allait de soi sur le plan anthropologique (elle n’était alors pas perçue par la société française comme une violence insupportable, ou par les nouveaux venus comme un choix parmi d’autres) et où l’immigration était essentiellement masculine.
Laïcité molle L’immigration familiale, depuis les années 1970-80, a bouleversé cet équilibre en changeant radicalement les conditions de l’immigration, déracinement désormais relatif sur les plans affectif et culturel. De plus, le rétrécissement des distances provoqué par les nouvelles technologies entraîne toute une série de conséquences sur les plans culturel et intime, qui se mesurent par exemple par l’importance des mariages conclus avec des hommes ou des femmes du village d’origine. L’affaissement des normes du pays d’accueil - induit mécaniquement par la concentration des populations immigrées et leur constitution en majorités relatives dans leurs quartiers d’habitation - implique la prise en compte, par un Etat républicain mal préparé, de multiples aménagements à caractère ethnique ou religieux, en contradiction avec le principe de laïcité d’une part, mais aussi avec le réflexe national de mise à l’écart de la religion dès lors qu’il s’agit de la sphère publique (réflexe touchant indistinctement les religions catholique, protestante et juive).
Une insécurité devenue culturelle Cela fournit l’une des dimensions d’une insécurité culturelle ressentie de manière particulièrement violente par les catégories populaires des Français de longue date, dominées sur le plan économique, méprisées par la culture des classes dominantes et, désormais, parfois soumises sur le plan culturel, au sein même des catégories populaires, en voie de communautarisation accélérée. A terme se pose la question de la réalité d’une culture commune, dans un pays où les classes populaires vivent désormais « ensemble mais séparées », selon l’expression lucide de Christophe Guilluy (1).
------- 1) Fractures françaises, Christophe Guilluy, Bourin éditeur, 2010 Le site de la Fondation Seligmann: www.fondation-seligmann.org
Article J. Landfried-Apres demain.pdf (126.65 Ko)
http://www.mrc-france.org/Communautarisme-contre-Republique-une-menace-en-trois-dimensions_a221.html
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Le pacte immoral
31/01/2011 10:53
De Sophie Coignard
- Reliure : Broché
- Page : 300 p
- Format : 23 x 15 cm
- Poids : 397.00 g
- ISBN : 978-2-226-21919-0
- EAN13 : 9782226219190
Résumé
Enquête sur les dysfonctionnements du ministère de l'Education nationale, ses relations avec l'Inspection générale de l'Education nationale, l'application effective des réformes, l'évolution du niveau scolaire en France, l'impact du niveau socio-économique des familles sur la qualité de l'éducation reçue par les élèves, etc.
Avis
Ceci n’est pas un livre sur l’éducation. En tout cas pas seulement. C’est d’abord un document féroce et un récit effarant sur l’hypocrisie et la lâcheté du pouvoir.
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Le Programme de Salut Public du Mouvement Républicain et Citoyen
26/01/2011 16:10
Voici le texte intégral du Programme de Salut Public qui a été adopté par le Mouvement Républicain et Citoyen, lors de son Congrès, le 26 juin 2010. Le document est mis en forme et prêt pour impression.
Le Programme de Salut Public est disponible ci-dessous au format PDF.
MRC Programme de Salut Public.pdf (254.46 Ko)
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