Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

Garçon (54 ans)
Origine : Hénin Beaumont
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Fin d'une aventure

09/08/2011 09:50

Fin d'une aventure


Voilà, c'est fini pour paraphraser ce groupe célèbre qui raccrocha à l'aune des années '90. Notre association se dissout et ce blog prend fin. Cette dissolution vient d'abord d'un manque cruel de combattant. L'effectif de notre association, réduit à la portion congrüe, ne pouvait permettre les objectifs que nous nous étions fixés. De plus, moi même, le gestionnaire du blog présent, je quitte la région pour des raisons professionnelles et je ne pourrai poursuivre, ici du moins, cette aventure Gaullienne. Mais je ne suis pas triste pour Hénin car je sais que le gaullisme est encore bien présent avec DLR et son sémillant délégué, Michel Vast  qui s'est entouré de prosélytes ardents à défricher la circonscription. Bon courage à lui et surtout bonne chance à Hénin Beaumont, certes qui n'est pas ma ville natale, mais qui fut dans les années '80 et '90 ma ville de coeur. Il ne tient à ces habitants de lui redonner son lustre d'antan !  J'espere que le Gaullisme aura toute sa place dans cette reconstruction.  Adieu Hénin Beaumont et  que les vents te soient à l'avenir plus favorables !

J. P. L.






Quid ?

01/08/2011 14:14

Quid ?


Juste une petite question qui nous taraude depuis que l'on ai vu cette affiche. Pourquoi est - ce l'Etat qui rénove des routes qu'il a concédé à la SANEF, une des nombreuses sociétés d'autoroutes qui s'enrichissent grassement sur une infrastructure payée par l'argent du contribuable ? N'est ce pas à ce concessionnaire de rénover ce parc routier ?

Nous attendons des réponses sur ce blog !






Alerte: les hedges funds se goinfrent sur la Grèce et l'Italie!

13/07/2011 19:30

Alerte: les hedges funds se goinfrent sur la Grèce et l'Italie!


La crise de la dette dans la zone euro se déporte sur l'Italie. Avec 1900 milliards d'euros, le plus grand marché de la dette libellée dans la monnaie unique semblait à l'abris des spéculateurs. Les tergiversations sur la sauvetage de la Grèce leur ont ouvert la porte. Depuis la semaine dernière, certains hedges funds s'en donnent à coeur joie.

Emprunter à 2,65% pour un Etat, un rêve ? Non, une réalité. La crise de la dette européenne n’est pas une mauvaise affaire pour tout le monde. L’Allemagne, mais aussi les Pays-Bas, l’Autriche ou encore la Finlande voient les conditions de leur financement s’apprécier au fur et à mesure que chaque jour leurs partenaires de la zone euro voient au contraire les leurs se déprécier. A 2,65%, contre 3,5% fin mars, pour un bund, le taux à 10 ans de la dette allemande s'est, par ricochet, relativement décroché de celui de la dette française. Depuis 10 ans, jamais l’écart, le spread, entre les conditions d’emprunt de nos deux pays n’ont été aussi élevées : 0,7 % de plus pour la France! Mais la situation de l’hexagone fait figure de paradis par rapport au purgatoire où l’Italie (3,34 % de plus que l’Allemagne) a rejoint l’Espagne, et l’enfer dans lequel est plongée la Grèce (+10% par rapport à l’Allemagne) est depuis maintenant 6 mois. Incapable de s’entendre sur le sauvetage de la République hellénique, les Européens ont une fois de plus donné à voir leurs hésitations. Du pain béni pour les spéculateurs qui donnent désormais le là sur les marchés, et entrainant avec eux l’ensemble des investisseurs.

La situation de l’Italie est à cet égard exemplaire. Depuis une semaine, notre voisin fait l’objet d’attaques spéculatives comme jamais. « Nous avons identifié 4 comptes actifs qui attaquaient notre dette durant la semaine. Vendredi, seulement un seul d’entre continuaient avec des moyens gigantesque », analysait un haut responsable du Trésor Italien, selon nos informations. Pourtant, la dette italienne avec presque 1 900 milliards d’euros en circulation est si large (on dit profonde en finance) que les spéculateurs sont contraints de mobiliser d’énormes ressources pour tenter de faire bouger les prix. C’est cependant ce qu’ils ont réussi à faire, forts des immenses liquidités qu’ils ont déjà récupérées sur les papiers grecs.

Avec une double stratégie. La dégradation des conditions de financement de l’Etat italien a pour conséquence de dévaloriser la valeur des titres. On encaisse donc une prime en jouant à la baisse. Pire, la dette italienne étant détenue grosso modo à 75% par les banques de la péninsule, celles-ci sont à leur tour fragilisées, et leurs actions en bourse décrochent. Et beaucoup plus rapidement que les obligations de l’Etat. D’où un second magot en « shortant » les titres bancaires italiens : -8% pour Unicredit pour la seule journée de vendredi. C’est ce qu’on fait toute la semaine de nombreux Hedge Funds. De sorte que le régulateur Italien a strictement limité les ventes à découvert, principal levier actionné par les Hedge Funds dans ce genre de stratégie.

Restructuration inévitable

Dans le maelström général, ce sont toutes les banques de la zone qui, disposant de papiers grecs, italiens, portugais, espagnoles sont fragilisées, et avec elles l’ensemble du système financier de la zone euro. Lundi, les banques françaises ont perdu entre 6 et 8 % en une seule journée au CAC 40 ! Autre signe de cette tempête qui couve, le taux interbancaire a eu une poussée de fièvre. Ce taux traduit la confiance que les banques ont les unes vis-à-vis des autres, et comme ce fut le cas lors de la crise de 2008, plus il est haut, moins la confiance règne.


La situation semble inextricable. Ou bien, première solution, on se dirige vers un « défaut organisé, maitrisé » de la Grèce et, avec elle, éventuellement de certains autres états européens, défaut caché sous le terme de restructuration. Auquel cas les banques souffriront et devront essuyer de grosses pertes avec le risque pour les états d’assumer un nouveau plan de soutien, eux qui ont déjà payé de 20 points de PIB d’endettement supplémentaire la crise précédente. Ou bien, seconde solution, rien n’est fait : on laisse les spéculateurs s’engraisser et un jour ou l’autre on revient à la solution 1, dans un contexte dégradé.


Voilà qui tombe mal. Vendredi 15 juillet, seront publiés les stress tests censés mesurer la solidité des banques européennes. Ce rendez-vous devait en théorie redonner confiance sur leurs capacités à absorber des chocs comme celui de la faillite de Lehman Brothers ou ceux fondés sur des scénarii proches de celui qui se déroule sous nos yeux. A la différence que, comme toujours, l’imagination des banquiers est toujours très limitée. Dans leur scenarii, la dangerosité des situations et surtout leur enchainement ressemblent davantage aux romans à l'eau de rose façon Barbara Cartland qu'aux romans noirs alcoolisés à la Bukowsky.

Emmanuel Lévy - Marianne

 

(dessin Louison)

http://www.marianne2.fr/Alerte-les-hedges-funds-se-goinfrent-sur-la-Grece-et-l-Italie_a208424.html






Lagarde-Aubry : attention, une femme peut en cacher une autre

30/06/2011 08:02

Lagarde-Aubry : attention, une femme peut en cacher une autre


Voilà des semaines que le staff de Martine Aubry préparait sa déclaration de candidature. Le chef du PS a été pris en sandwich médiatique entre la conférence de presse du président, la nomination de Christine Lagarde au FMI et la libération des otages.

En politique, plus le temps passe, plus l'agenda devient essentiel et sa maîtrise la priorité des acteurs. Ainsi de cette semaine qui devait être celle de Martine Aubry et qui est devenue, sur la scène médiatique, celle de Christine Lagarde. On savait depuis deux mois que Martine Aubry allait être candidate aux primaires du PS. On a vu, ces dernières semaines, se multiplier les ralliements qui nous préparaient à l'événement : Jean-Christophe Cambadélis, Laurent Fabius, BHL, Michel Destot, etc.
Sauf que, sauf que l'événement de cette déclaration de candidature était tellement prévisible qu'il laissait tout loisir à l'Élysée et à ses communicants d'organiser un contre-agenda pour limiter au maximum la durée d'exposition médiatique de la candidature Aubry.
Ce fut, lundi, la fonction de l'intervention du Président sur un sujet – le Grand Emprunt –
important mais dont rien ne justifiait l'urgence. Cela a été le lendemain, peut-être par chance (on ose espérer que l'agenda du FMI n'est pas concocté à l'Elysée), la fonction de la nomination de Christine Lagarde à la tête du FMI. Ainsi la gauche a-t-elle été punie deux fois par le FMI. Une première fois lorsque DSK a été exfiltré de son avion en partance de New York pour la France. Et une deuxième fois lorsque, ayant conquis la présidence du FMI, Christine Lagarde a « zappé » Martine Aubry dans tous les médias dès mardi 28 juin : annoncée pour minuit, la nomination de Christine Lagarde a été rendue publique à 19h30 ; elle a fait l'ouverture du 20h de TF1. Avant de provoquer la une unique de Libération. Du Lagarde plein pot dans le quotidien de gauche.  Et hop, voilà Martine Aubry reléguée dans les pages intérieures du journal de gauche, merci Nicolas Demorand !


 

Lagarde-Aubry : attention, une femme peut en cacher une autre
L'après-midi même Christine Lagarde était applaudie à l'Assemblée nationale. Et le Sarkoboard pouvait fournir les éléments de langage utiles à ses snipers : voilà un président qui a su dénicher un talent féminin et le propulser au plus haut niveau de la gouvernance mondiale. Qu'importe si les nominations au FMI obéissent à de tout autres considérations (la crise grecque et européenne est en arrière fond de la nomination). Qu'importe si pour imposer la candidature Lagarde, l'Elysée a dû minimiser les risques juridiques liés à l'affaire Tapie et au scandaleux arbitrage de l'ex-ministre de l'Economie. Le président a dû, d'ailleurs, jubiler en prenant connaissance des messages de soutien à Lagarde de François Hollande et de Martine Aubry, après que le député PS Didier Migaud a, des mois durant, bataillé pour qu'une enquête soit menée sur le scandaleux arbitrage en faveur de Tapie.

Le staff de Martine Aubry n' a-t-il pas vu venir la contre programmation – ou la baraka – sarkozyste ? Ou bien, sûre de son fait et confiante en son destin de présidentiable, Martine Aubry a-t-elle écarté d'un geste ample le souci de ces basses manoeuvres ? Nous en percevrons bientôt les résultats.
Mais au final, le rasoir sarkozyste a fonctionné cette fois-ci comme un Gillette trois-lames : lundi, le discours présidentiel sur le Grand Emprunt pour occuper le terrain; mardi, la nomination de Lagarde; et mercredi, le buzz sur son remplacement (Baroin ou Le Maire ?), plus la libération des otages. Martine Aubry a eu son moment médiatique : une demi-douzaine d'heures tout au plus... Nul ne sait la trace que tout cela laissera dans ce qu'on appelle l'opinion. Mais au petit jeu de l'oie médiatique, le président  a laissé sur place son adversaire.
 
Philippe Cohen - Marianne
 





Le grand copinage européiste !

22/06/2011 13:39

Le grand copinage européiste !


La Confédération Européenne des Syndicats (CES) a remis le "prix de l'Europe sociale"(sic) à Jacques Delors !  

Et oui le grand copinage des adeptes de l'Europe fédéraste, de la concurrence libre et non faussée vient d'éclater au grand jour !

 

 Jacques Delors, qui fût Ministre de l'Economie et des Finances dans les gouvernements Mauroy de 1981 à 1984 et le père de la rigueur salariale et du monétarisme et aussi le chantre en 1983, du maintient du Franc dans le Système monétaire européen (et donc du maintient de la France dans l'Europe fédérale !) ! Jacques Delors qui a été de 1985 à 1994, le Président de la Commission a toujours mis en avant son projet d'effacement des Etats-Nations et d'un système Supranational permettant une liberté totale pour les marchés, les capitaux,  les marchandises, les hommes ! Tour à tour, sous sa présidence, fut signé, l'acte unique, la liberté totale des capitaux, le marché unique, les plans de stabilité,  les directives européennes de démantèlement des services publics par une ouverture des différents secteurs à la concurrence puis le fameux traité de Maastricht avec son organisation et sa monnaie l'euro.  

L'Europe sociale de Delors c'est celle du chômage, de l'austérité, de la privatisation des services pubics, de la fin des acquis sociaux et de l'état providence, de la mise sous tutelle des Etats-Membres bref, la fin de la souveraineté des Etats-Nations et du peuple citoyen.  

 L'UE et l'euro ne sont-elle pas les nouvelles prisons des peuples et les fossoyeurs de la souveraineté des Etats-Nations !   

Citoyens, Chers lecteurs, pour ne rien vous cacher, je ne fus point surpris de ce copinage entre politiques et syndicats de salariés mais également le copinage syndical et politique avec  tout le gratin du monde de la finance et des multinationales s'abreuvant aux mêmes sources qu'est le capitalisme transnational et apatride, le libre échange, l'effacement des Etats-Nations et le démantèlement de la République.  

A l'heure où le peuple Grec est touché par un énième plan d'austérité qui sent le rationnement et l'économie de guerre et bien de voir la CES remettre au Sieur Jacques Delord, un prix pour l'Europe sociale montre ce grand copinage qui relie: politiques européistes de droite et de gauche (surtout de gauche !), syndicats de salariés, pontes de la finance, grands capitalistes sans patrie, oligarques de la Commission.  

 

 

 Tout cela montre la domestication des syndicats de salariés par l'Union Européenne et l'idéologie européiste anti-nation et contre républicaine !  

Désormais, l'heure est au grand copinage et donc à la domestication !  

C'est vrai que la classe ouvrière est une fois de plus la cocue dans l'histoire ! Cette classe ouvrière abandonnée, trahie et méprisée par la gauche politique et en passe d'être trahie et abandonnée par la "gauche" syndicale ! En Euroland comme en Boboland, l'heure est aux classes moyennes et à la petite bourgeoisie urbaine et péri-urbaine aussi bien en France qu'en Europe ! La gauche politique quelqu'elle soit a fait sa mue, maintenant c'est au tour des syndicats de la faire ! Ce prix à Delors montre la première étape : la domestication ; ensuite viendront les suivantes : l'abandon des ouvriers au profit de la défense des employés aisés, des cadres, de la bourgeoisie urbaine. Bref, remplacerle social et le républicain par le sociétal et l'urbain ! La boucle sera bouclée et le petit peuple ouvrier n'aura plus que ces yeux pour pleurer !  

 

Salut et Fraternité.

 

D.P.

http://darthe-payan-lejacobin.over-blog.com/article-le-grand-copinage-europeiste-77399309.html

 






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