Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

Garçon (54 ans)
Origine : Hénin Beaumont
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Fin d'une aventure

09/08/2011 09:50

Fin d'une aventure


Voilà, c'est fini pour paraphraser ce groupe célèbre qui raccrocha à l'aune des années '90. Notre association se dissout et ce blog prend fin. Cette dissolution vient d'abord d'un manque cruel de combattant. L'effectif de notre association, réduit à la portion congrüe, ne pouvait permettre les objectifs que nous nous étions fixés. De plus, moi même, le gestionnaire du blog présent, je quitte la région pour des raisons professionnelles et je ne pourrai poursuivre, ici du moins, cette aventure Gaullienne. Mais je ne suis pas triste pour Hénin car je sais que le gaullisme est encore bien présent avec DLR et son sémillant délégué, Michel Vast  qui s'est entouré de prosélytes ardents à défricher la circonscription. Bon courage à lui et surtout bonne chance à Hénin Beaumont, certes qui n'est pas ma ville natale, mais qui fut dans les années '80 et '90 ma ville de coeur. Il ne tient à ces habitants de lui redonner son lustre d'antan !  J'espere que le Gaullisme aura toute sa place dans cette reconstruction.  Adieu Hénin Beaumont et  que les vents te soient à l'avenir plus favorables !

J. P. L.






Gérard Lafay, le libéral qui s’oppose au néolibéralisme

03/08/2011 08:18

Gérard Lafay, le libéral qui s’oppose au néolibéralisme


« 12 clés pour sortir de la crise » est le coup de cœur de mes dernières lectures. Ce livre a l’immense intérêt de montrer qu’il existe un libéralisme humaniste et progressiste, à mille lieues du néolibéralisme.

Quand un économiste de droite est plus progressiste que le PS

Gérard Lafay n’est clairement pas un homme de gauche. On sent chez lui une vraie opposition à cette partie du spectre politique. Mais ce n’est pas pour autant un néolibéral. Il s’inscrit plutôt dans la continuité de Maurice Allais, qui se disait aussi libéral que socialiste. Il appartient à courant libéral modéré, volontiers paternaliste, sans doute influencé par le catholicisme social. Et au final, il apparaît bien plus progressiste que l’immense majorité des membres du parti « socialiste ».

C’est ainsi qu’il écrit au début de son introduction : « La mondialisation modifie désormais les rapport de force. La plupart des travailleurs européens voient leur position se dégrader lentement, devant choisir entre le chômage et la baisse des salaires, à un moment où les plus riches voient au contraire leurs revenus s’accroître démesurément, en particulier dans la sphère financière ». Il dénonce ce retour au « capitalisme pur et dur du 19ème siècle », qu’il qualifie de « néocapitalisme ».

En ce sens, il condamne la casse des monopoles naturels que sont les services publics de l’électricité, du gaz et des chemins de fer, pourtant soutenue par les partis « socialistes ». Il dénonce « la mise en situation déficitaire de la protection sociale, afin de pouvoir la démanteler par morceaux successifs ». Il critique également l’affaiblissement des conventions collectives qui sont un moyen de protéger les salariés individuels d’un rapport de force trop défavorable avec leur employeur.

Il dénonce l’explosion des inégalités salariales, citant l’étude de Frydman et Saks aux Etats-Unis qui montre qu’un PDG gagnait 40 fois plus qu’un salarié moyen dans les années 1970 et 360 fois plus au début des années 2000. Pour lui « l’origine première de l’actuelle crise mondiale se trouve dans l’accroissement des inégalités de revenus aux Etats-Unis », qui a provoqué une poussé de l’endettement.

Un constat sévère

Gérard Lafay utilise une image amusante pour définir « l’économie sociale de marché, quintessence d’un libéralisme pondéré » : une mayonnaise entre la dynamique de marché et la cohésion des forces sociales : « à la fin des Trente Glorieuses, la mayonnaise libérale se rigidifiait, l’économie perdant sa dynamique de marché par la dérive social-démocrate. Depuis la fin des années 1980, elle se liquéfie, l’économie perdant maintenant sa cohésion sociale par le tournant néocapitaliste ».

Ainsi, il dénonce l’excès de bureaucratie et de prélèvements fiscaux et sociaux (avec des taux marginaux d’imposition qui atteignaient 90% au Royaume Uni à la fin des années 1970). Mais il dénonce également la poursuite aveugle du modèle anglo-saxon promu par Reagan et Thatcher, systématiquement opposé au rôle économique de l’Etat, aux services publics, à la solidarité nationale, au contraire de l’économie mixte des modèles asiatiques.

Il dénonce également la chienlit financière et monétaire : l’inflation inconsidérée du prix des actifs, le flottement des monnaies, les instruments de protection qui se sont transformés en nouveaux véhicules de la spéculation, la titrisation, ainsi que le mode de création de la monnaie, abandonné aux banques privées. Pour lui « le néocapitalisme tend à ne produire que de la finance parasitaire », au détriment de l’industrie.

S’il n’est pas opposé à l’ouverture des frontières, il constate que « la réalité est très éloignée d’une vision idyllique » où les prix s’égaliseraient à Parité de Pouvoir d’Achat (PPA) et où les niveaux de salaires reflèteraient la productivité moyenne du travail. En fait, il dénonce un triple dumping, social, environnemental et monétaire. Il critique « l’intégrisme libre-échangiste » et, citant Robert Reich, souligne que les travailleurs perdent beaucoup plus que ne gagnent les consommateurs.

Je conseille très vivement la lecture de ce livre riche et dense, mais aussi court et accessible. Il permet d’accéder à une excellente synthèse des problématiques économiques actuelles.

Source : Gérard Lafay, « 12 clés pour sortir de la crise », L’Harmattan, suite demain

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Quand le Monde sert la soupe à Marine Le Pen

03/08/2011 08:14

Quand le Monde sert la soupe à Marine Le Pen


Dans son édition datée du dimanche 31 juillet – lundi 1er août, le Monde a titré « Oslo : Jean-Marie Le Pen embarrasse sa fille et le FN ». Ce faisant, le quotidien vespéral se fait le parfait porte-parole de la nouvelle présidente du Front National, véhiculant très exactement ce qu’elle veut dire.

Le Monde attaché de presse du nouveau FN ?

Le titre du quotidien de référence pose un double problème. Tout d’abord en séparant Jean-Marie le Pen de sa fille et du Front National, il fait comme s’il s’agissait de deux entités différentes, ce qui est tout de même fort de café. En effet, Jean-Marie le Pen est toujours président d’honneur du Front National, il a gardé la main sur les finances du parti, et il est quand même illusoire de séparer le parti de son fondateur, président pendant 39 ans et père de sa nouvelle présidente…

Il est surprenant que le Monde transcrive sans la moindre nuance l’histoire que les communicants de Marine Le Pen cherchent à véhiculer, à savoir que la fille est plus modérée que son père. Et il est surprenant que ce journal (et bien d’autres) ne se pose pas la question de l’authenticité de cette histoire. N’y aurait-il pas tout simplement une opération communication bien huilée entre le père (jouant le méchant) et la fille (jouant la gentille) ? Et le sondage d’hier n’aurait pas déplu aux dirigeants du FN.

En effet, les propos de Jean-Marie Le Pen semblent tout de même très calibrés, suffisamment choquants pour déclencher la polémique, tout en parlant aux identitaires. Il a affirmé que la Norvège « n’a pas pris la mesure du danger mondial que représentent d’abord l’immigration massive, qui est la cause principale, semble-t-il, dans l’esprit de ce fou meurtrier ». Laurent Ozon, un cadre dirigeant du FN, a écrit sur Twitter « expliquer le drame d’Oslo : explosion de l’immigration ».

Le Front National est toujours aussi infréquentable

Il est révoltant que les dirigeants du FN cherchent à utiliser le massacre commis par un extrémiste de droite pour dénoncer l’excès d’immigration en Norvège ! Ce faisant, ils semblent vouloir justifier cet horrible crime et déplacer le problème du comportement des identitaires fanatiques à l’immigration ! Rien ne peut justifier ni même tempérer un tel geste et c’est pourquoi le relativisme de certains frontistes rappelle bien opportunément que le FN n’a pas changé.

Bien sûr, Marine Le Pen a pris ses distances avec ces excès mais elle a refusé de condamner les propos de son père. Surtout, il est difficile de ne pas voir dans ces déclarations un pas de deux servant la communication de la présidente du Front National. En effet, les dérapages de son père réalisent la double performance de rassurer la frange la plus extrémiste du parti, tout en faisant apparaître sa fille comme plus modérée, lui permettant d’attirer de nouveaux électeurs.

Mais il s’agit d’une vue de l’esprit. Marine Le Pen elle-même avait expliqué qu’il s’agit essentiellement de communication. Et que dire du logo hérité des nostalgiques du fascisme italien, du candidat nazillon, de l’hommage au terroriste qui avait cherché à tuer le Général, des mensonges patents sur l’immigration, du dérapage sur le « nez » d’un journaliste juif, ou de la comparaison abusive des prières de rue à l’Occupation nazie. Il n’y a rien qui ressemble plus à l’ancien FN que le nouveau. En outre, son incompétence en économie la cantonnera à un rôle purement protestataire.

Le Monde devrait veiller à ne pas véhiculer sans la moindre nuance le message que souhaite faire passer Marine Le Pen dans les médias car ce faisant, ils font le jeu de l’extrême droite bien plus insidieusement que ceux qu’ils accusent de faire le jeu du FN…

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Petit arrangement avec la vérité dans le portrait officiel de Jean-Louis Borloo

03/08/2011 07:53

Petit arrangement avec la vérité dans le portrait officiel de Jean-Louis Borloo


Sur le "site officiel de soutien à Jean-Louis Borloo pour l’élection présidentielle de 2012", qui dépend de l'association O comme Oxygène, figure un portrait de l'intéressé, dont le parcours partisan est décrit de la façon suivante:

Jean-Louis Borloo cofonde Génération Ecologie en 1990, notamment aux côtés de Brice Lalonde, Haroun Tazieff et Noël Mamère. Au fil des ans, il se rapproche de l’UDF: déjà participant indépendant à la liste de Simone Veil pour les élections européennes de 1989, député apparenté à la formation en 1997, il décide d’adhérer en 1998 à la Nouvelle UDF et en devient porte-parole en 2001. Dans le contexte du 21-Avril, il soutient Jacques Chirac au second tour de l’élection présidentielle. Appelé à entrer au gouvernement au ministère de la Ville, probablement du fait de son bilan sur le terrain à Valenciennes, il décide de quitter l’UDF pour l’UMP. Dès 2005, il choisit d’affirmer davantage sa sensibilité centriste au sein de la majorité en quittant l’UMP pour le Parti Radical, parti associé à l’UMP dont il devient co-président, puis président en 2007.

Or, le début de la dernière phrase est une contre-vérité: "...Dès 2005, il choisit d’affirmer davantage sa sensibilité centriste au sein de la majorité en quittant l’UMP pour le Parti Radical...".

En vérité, ce n'est pas en 2005 mais cette année, précisément le 7 avril 2011, que Jean-Louis Borloo a quitté l'UMP, dont il fut d'ailleurs vice-président du conseil national jusqu'en novembre 2010... (le fait d'adhérer en 2005 au Parti Radical n'ayant eu aucune incidence sur son appartenance à l'UMP vu que, s'agissant d'un parti associé, la double appartenance était autorisée).

Une petite "erreur" stratégique de six ans certainement destinée à minimiser, dans la perspective de l'élection présidentielle de 2012, son appartenance passée à l'UMP, pendant neuf ans (et non trois ans!), de 2002 à 2011.

Laurent De Boissieu

http://www.ipolitique.fr/






Quid ?

01/08/2011 14:14

Quid ?


Juste une petite question qui nous taraude depuis que l'on ai vu cette affiche. Pourquoi est - ce l'Etat qui rénove des routes qu'il a concédé à la SANEF, une des nombreuses sociétés d'autoroutes qui s'enrichissent grassement sur une infrastructure payée par l'argent du contribuable ? N'est ce pas à ce concessionnaire de rénover ce parc routier ?

Nous attendons des réponses sur ce blog !






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