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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Dictionnaire de la laïcité

07/06/2011 20:07

Dictionnaire de la laïcité


Le Dictionnaire de la laïcité est paru fin mai chez Armand Colin

Sous la direction de Martine Cerf et Marc Horwitz, il comprend 240 entrées, fruit du travail d'une cinquantaine de chercheurs, précédées d'articles de réflexion philosophique (Qu'est-ce que la laïcité ? Peut-on la qualifier ?), politique (Quelles menaces pèsent sur elle ? Faut-il financer les lieux de culte ?), historique (des Lumières à aujourd'hui en passant par la loi de 1905), le tout accompagné comme il se doit de renvois et de références tant bibliographiques qu'en ligne.

Très maniable (350 pages sous couverture cartonnée), il est disponible aussi en format numérique.






Crise de l’euro : les peuples saignés, les Etats menacés

07/06/2011 20:01

Crise de l’euro : les peuples saignés, les Etats menacés


Dans un contexte de désintégration rampante du marché mondial, la crise de l'euro ne cesse de multiplier ses ravages terrifiants : de la Grèce à l'Irlande, du Portugal à la Slovénie, le seul mot d'ordre des gouvernements de toutes couleurs politiques est : austérité sans cesse accrue pour les peuples afin de payer les dettes spéculatives de plus en plus colossales.

Aucun politique au pouvoir en Europe ne parle plus d'augmentation du niveau de vie, de bien-être social amélioré, de prospérité collective assurée, de développement général recherché. Le langage politique se résume dorénavant en Europe à quelques « bases » simples : baisser salaires et retraites, privatiser toujours plus, réduire sans cesse les services de l'Etat et des collectivités, payer à tout prix les dettes, rassurer les marchés, réduire les droits des salariés et, but ultime, leur coût pour les employeurs !

Du paradis merveilleux promis en 1992 quand les politiques vantaient la future Union européenne et l'euro qui naîtraient des critères de convergence imposés par le Traité de Maastricht, on est passé à la réalité cauchemardesque quotidienne pour l'immense majorité des citoyens de la zone euro, et, partant, de toute l'UE, voire en-dehors...

Il importe donc, face à ce constat, de faire le point exact de la crise de l'euro et de dresser les perspectives existantes.

La marche à la catastrophe : une direction commune multicolore courant au néant

Il fut un temps en Europe, et ailleurs, où les forces politiques institutionnelles annonçaient des programmes politiques, économiques et sociaux différents, où leurs divergences étaient proclamées partout..

En 2011, la règle est l'unanimité politique totale, la mode à l'unicité de pensée absolue : partis de gauche et de droite en zone euro ont un programme commun limpide : il faut sauver l'euro. P tenter d'atteindre ce but impossible, tous expliquent ensemble qu'il faut rembourser les dettes publiques, ce qui implique l'austérité, voire la misère pour les peuples.

Au passage, on remarquera que les voix qui s'élevèrent voici peu contre les agences de notation et leurs méfaits dénoncés se sont tues. Quant aux dirigeants politiques qui affirmaient bien haut naguère qu'ils allaient terrasser la spéculation, mettre fin au système actuel, libérer les peuples des spéculateurs féroces, ils sont aphones sur le sujet, mais prolixes sur la nécessité « moderne », à leurs yeux, de se soumettre pleinement aux nécessités du système, en clair aux besoins du Moloch spéculatif !

Quel est le résultat concret de cette union multicolore pour une même politique en ce qui concerne les peuples ?

En Grèce, au Portugal, en Irlande, en Italie, et bientôt en Espagne, force est de constater que les dettes, loin de diminuer, augmentent chaque jour. En parallèle, chômage, précarité, baisse des revenus et liquidation progressive des Etats par pans entiers sont les faits majeurs.

Tout cela ne résout rien et aggrave les problèmes existants : la crise de l'euro continue à s'aggraver, les dettes de s'accroître, et les économies nationales de s'effondrer, notamment par la chute continue du pouvoir d'achat populaire.

Ce constat des faits, par delà et contre les mensonges évidents alignés depuis près de 20 ans, est partagé, peu ou prou, par tous les analystes et observateurs un tant soit peu sérieux et honnêtes :

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/les-nuages-s-accumulent-sur-la-croissance-mondiale_256574.html

L'inflation, dont l'euro était sensé protéger les pays de sa zone économique, monte sans relâche. Par contre, l'économie de la zone, prise dans sa globalité, est au plus mal. La reprise annoncée maintes fois, comme les antiques sorciers répétaient par atavisme des formules magiques inopérantes, semble un mirage qui recule dès lors que d'aucuns croient la voir.

Il est annoncé que la Grèce, Etat le plus malade de la zone euro au regard des préceptes de la pensée économique unique européenne, va recevoir près de 100 milliards d'euros d'aide jusqu'en 2014. Mais, en échange, son gouvernement, qui plonge dans les abimes de l'impopularité, devrait encore appauvrir massivement ses citoyens et leur dénier tout avenir quelque peu meilleur.....Cet article résume bien la situation de course accélérée au désastre pour le peuple grec (et les autres peuples de la zone), sans pour autant sauver l'euro :

http://www.lepoint.fr/economie/vers-une-nouvelle-aide-europeenne-a-la-grece-06-06-2011-1338997_28.php

Pendant ce temps, le Portugal est en voie de revenir à une situation sociale qui tend à rappeler la fin du régime Salazar, avec cependant en prime un Etat exsangue et des services publics amoindris par rapport au temps de la dictature, un comble ! Là aussi, tout un peuple souffre, mais l'euro n'en est nullement sauvé et aucune lueur d'espoir en une situation améliorée ne brille à l'horizon.

En résumé, les Etats de la zone euro sont menacés dans leurs fondements mêmes, tandis que les peuples sont saignés pour payer les profits des spéculateurs. C'est une situation sans autre issue que son arrêt brusque et définitif.

La crise de l'euro engendre des crises politiques et sociales qui le frappent en retour

En ce début juin 2011, rien ne sert de se cacher la réalité essentielle : la crise de l'euro s'est bel et bien transformée en une gigantesque crise politique et sociale à l'échelle de tout un continent, minant tant les Etats de la zone euro que, par ricochet, ceux qui sont restés à l'extérieur.

Les Etats vont de crise en crise, chaque fois plus forte et plus destructrice : les gouvernements au pouvoir n'ont plus de majorité populaire stable qui les soutient, l'abstention atteint des records, les votes protestataires, radicaux en un mot, explosent, le doute et la colère contre les dirigeants sont des phénomènes de masse incontestables, la violence sociale exprime cette situation globale d'impasse qui embrasse toutes les sociétés européennes.

L'Union européenne va elle-même à vau l'eau : le Traité de Schengen, une de ses bases fondatrices, est remis en question par ceux-là mêmes qui l'ont voulu et signé, la Belgique est sans gouvernement depuis tant de temps qu'on l'oublie, la Hongrie couve une crise d'ampleur inégalée, l'Espagne est confrontée à un malaise social grandissant, la Slovénie, la Suisse des Balkans, plonge aussi dans l'austérité déstabilisatrice, la France flotte entre deux eaux, atone et épuisée, l'Allemagne annone sa sortie du nucléaire et pèse ainsi pleinement contre les visées industrielles de certains de ses partenaires dans ce secteur, l'Italie va de scandale en choc politique, etc......

Dans toute la zone euro et au sein de l'UE, le spectacle offert montre désarroi, révoltes, crises, scandales, montée des mouvements radicaux de contestation, en un mot, une rupture de plus en plus nette entre les peuples et ceux qui affirment encore les représenter alors que sans majorité véritable et, plus grave, sans vision de sortie de crise.

En retour, ces crises sociales et politiques nourrissent la crise de l'euro et alimentent la marche à la dislocation de l'UE, mais aussi, derrière, du marché mondial.

La grande aberration économique et illogique

Il est impossible de conclure sur le point actuel atteint par la crise de l'euro et de l'Union européenne sans dire un mot de l'aberration économique formidable qui règne dans les sphères politiques dirigeantes.

En effet, le capitalisme, surtout à l'époque actuelle, ne peut se survivre qu'en maintenant et développant le taux de profit qui est son moteur essentiel ainsi que sa raison d'être.

Or, la baisse tendancielle permanente de la capacité de consommation populaire- via les mesures sans cesse renouvelées d'austérité- sape directement, par essence, toute possibilité de fonctionnement régulier de ce « moteur ». Les « marchés » potentiels se réduisent globalement alors que la reproduction des capitaux investis a besoin de marchés en développement constant et rapide, comme un poisson d'eau vive pour vivre et survivre.

Il s'ensuit que les politiques d'austérité menées conduisent à étrangler la consommation, donc toute possibilité de reprise économique globale, et à pousser les capitaux à se tourner vers la spéculation brute.

Ainsi, les mesures sensées stopper la crise systémique actuelle ne font en réalité que l'alimenter et l'aiguiser. L'économie de la zone euro est donc dans un cercle vicieux autodestructeur.

Tout individu pensant peut constater cela. Le problème politique central aujourd'hui est que ceux qui dirigent les Etats refusent ce constat d'évidence, car liés de tous côtés au maintien de ce système malade, fut-ce au prix de terribles souffrances pour les peuples.

Mais, cela n'empêche rien : ni les crises d'empirer chaque jour, ni le rejet par les peuples de ces dirigeants de s'amplifier, ni l'économie de s'enfoncer dans un gouffre sans fond visible pour l'heure.

On peut ainsi résumer la ligne générale des évènements : la crise de l'euro s'accroît avec chaque euro qui est injecté pour l'arrêter.

Ce faisant, les dirigeants de l'UE et de la zone euro poussent les peuples à une révolte massive, générale et inévitable.

Philippe Vassé

http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/crise-de-l-euro-les-peuples-95537






Europe Ecologie - les Verts : Duflot écarte Cohn-Bendit

07/06/2011 19:52

Europe Ecologie - les Verts : Duflot écarte Cohn-Bendit


Cécile Duflot est assurée d'être réellue, secrétaire nationale d'Europe Ecologie - les verts. Lors du dernier congrès du mouvement, à la Rochelle, le vote des militants s'est porté très nettement, en sa faveur, arrivant loin devant Cohn-Bendit. Un meurtre politique du patriarche, qui relève de la symbolique forte chez les verts. Stratégiquement parlant, ce fut un modèle dans le genre, la tactique ayant été bien rôdée. Mais pour un mouvement, qui n'a pas de candidats crédibles.

Ce vote fut effectivement un modèle du genre, ce que Daniel Cohn-Bendit a pu apprécier en connaisseur, avec une vraie-fausse ouverture à tous ceux qui n'étaient pas encartés, modèle de verrouillage. Paradoxal également, dans un parti positionné à gauche, où la tradition partisane est pourtant la plus ancienne. Mais cela accomplit plutôt dans une approche freudienne, les dernières volontés du défunt. Cohn-Bendit était le dirigeant légitime du mouvement. Grâce à lui, les verts avaient fait jeu égal avec les socialistes et la majorité, aux dernières européennes. Daniel Cohn-Bendit était le “sauveur venu d'Allemagne“, auréolé de son aura mythifiée de héros générationnel de mai 68. Mais seulement, “Dani le Rouge” se refuse à toute compromission, alors qu'il est le seul à incarner une symbolique forte, une idéologie, qui a au moins le mérite d'être claire. Dans une approche sociologico-politique, il était à même d'incarner cet électorat d'urbains, diplômés, travaillant dans les services, nés de la génération de mai 68 et baptisés les bo-bos. C'est lui, qui aura poussé les verts à s'élargir, à s'ouvrir. Mais cet éternel adolescent a refusé son rôle historique, par fuite des responsabilités, pétri de principes marxistes et par rejet épidermique de l'image de père.

D'ailleurs, Cohn-Bendit qui est réellement à l'origine de ce mouvement d'Europe - Ecologie, ne voulait pas d'un candidat vert aux élections présidentielles. Mais il voulait une liste commune avec les socialistes, conduite par Dominique Strauss-Kahn, avec qui il partage nombre de points communs. Ils sont tous deux des hommes de gauche, libéraux libertaires, intelligents, partisans de la mondialisation heureuse et l'Europe est leur patrie. Mais la sortie fracassante et la chute de DSK, a tué ce projet. Les verts n'ont plus de candidats, à proprement parler. La presse écrite et les médias en tous genres (radio / tv), nous ont rabbatu les oreilles, ces deux derniers mois, avec leurs percées éclatantes dans les sondages qui ne résolvent rien, conjurant le reste provisoirement. Que ce soit les déstabilisations liées aux piètres prestations publiques, les maladresses, l'absence réelle de programme. Il n'y a sinon que l'ancienne juge d'instruction, Eva Joly, mi-norvégienne / mi-française, à l'accent charmant ou horipilant selon les moments, incarnant sublimement ce dépassement des nations, cher à cette tendance écologiste. Et à côté d'elle, l'ancien présentateur d'Ushuaïa, Nicolas Hulot, reconverti politiquement dans la défense de la cause environnementale. Mais les militants n'aiment ni Eva Joly, ni Nicolas Hulot. L'une parce qu'elle n'est pas environnementaliste, et qu'elle s'est ralliée à eux par opportunisme, donnant l'impression de réciter une leçon apprise par coeur, lorsqu'elle parle du nucléaire ; elle était au début, plutôt séduite par Bayrou. L'autre parce qu'il n'est ni de gauche, ni vert, que c'est un ancien présentateur, qui a gagné beaucoup d'argent à la télévision, et qu'il n'a jamais milité pour la régularisation des sans-papiers, chère à Dominique Voynet, et le mariage homosexuel, cher à Noël Mamère.

Les verts sont ainsi empêtrés dans leurs contradictions idéologiques, leur absence de “leadership“, leurs querelles intestines. D'ailleurs, au travers de leurs précédentes candidatures aux présidentielles, leurs candidats que ce soit Voynet ou un(e) autre, ne sont jamais parvenus à passer la barre fatidique des 5 %. Les verts ne sont pas une force politique, qui compte réellement dans le paysage politique hexagonal, contrairement à Outre-Rhin, où ils ont opéré leur mue sociologico-politique et sont retournés à leurs fondamentaux. “Le mouton à cinq pattes n'existe pas” (Zemmour), ou plutôt si, il s'appelait Daniel Cohn-Bendit.

JD

http://llanterne.unblog.fr/






Martine Aubry et le scenario catastrophe

07/06/2011 19:45

Martine Aubry et le scenario catastrophe


Le calendrier judiciaire de l'affaire DSK risque d'impacter fortement la présidentielle 2012 a fortiori si un scenario catastrophe venait à se confirmer.

Le scenario catastrophe réside dans l'hypothèse suivante.

Dans la dernière ligne droite avant le procès, DSK évolue vers le plaider coupable. Il est condamné à une peine de prison "modérée" mais immédiatement transféré en France par des accords gouvernementaux initiés par Nicolas Sarkozy. Une fois en France, l'incarcération est alors conduite selon des mesures moins "exposées" comparativement à l'univers carcéral américain.

Nicolas Sarkozy témoigne alors de sa "grandeur d'âme" face au chouchou des militants du PS dans la période pré-présidentielle ...

Difficile dans ces conditions pour Martine Aubry de mener une présidentielle très offensive contre Nicolas Sarkozy...

http://exprimeo.fr/article/6897/martine-aubry-et-le-scenario-catastrophe.htm






Jean Louis Borloo et la nouvelle donne

07/06/2011 16:51

Jean Louis Borloo et la nouvelle donne


La polémique engagée sur son possible directeur de campagne montre la nouvelle donne installée pour 2012 suite à l'affaire DSK. Le "derrière la scène" va occuper une place nouvelle.

Quand l'information est malade, les libertés sont menacées. Comment exercer ses droits de citoyens dans le mensonge ou dans l'ignorance ?

Mais jusqu'où doit aller l'information ?

Ce à quoi nous assistons actuellement c'est la fin de la culture "entre gens du milieu".

Tout d'abord, cette situation va mettre fin à la sélectivité excessive de l'information. Si la vie privée est scénarisée, ce doit être toute la vie privée sans exception.

Hier, DSK ouvrait la cuisine dans le reportage de Canal + (terriblement décalé à ce jour) mais fermait les chambres à coucher. Un tel reportage sera difficile demain, sinon impossible.

Ensuite, la "conscience de communauté" est fragilisée. La "conscience de communauté" est celle qui croit pouvoir échapper à la loi de tous. Très répandue en politique, cette conscience est le lit des excès, des abus puisque, par définition, elle considère qu'elle peut échapper à la règle commune. Elle consiste à fermer les yeux quand des yeux à moitié ouverts sanctionneraient déjà un comportement.

Enfin, c'est une exigence nouvelle de clairvoyance pour chaque citoyen. Choux et navets ne s'additionnent pas. Les citoyens doivent hiérarchiser leurs attentes, leurs priorités. Il n'y a pas de candidat sans vice paré de toutes les vertus. Mais il existe une hiérarchie des vices et certains d'entre eux devraient disqualifier sans attendre des excès du pénal. Tant que la citoyenneté s'appellera intermittence de la clairvoyance, ces excès resteront possibles.

Mais de là à scrupter y compris les parcours professionnels des individus, il y a des étapes nouvelles. La polémique ouverte sur l'éventuel futur directeur de campagne de Jean Louis Borloo annonce une campagne 2012 très particulière parce que l'opinion veut combler rapidement le retard qu'elle juge installé en la matière.

http://exprimeo.fr/article/6895/jean-louis-borloo-et-la-nouvelle-donne.htm






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