Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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DSK, Tron, Ferry : affaires, morale et politique

06/06/2011 17:21

DSK, Tron, Ferry : affaires, morale et politique


C’est triste à dire mais ces trois dernières semaines, l’actualité politique a été largement dominée par des affaires de mœurs. Bien sûr, il était difficile de ne pas en parler du tout et certains débats sont justifiés, mais certains médias n’auraient-ils pas pu mieux hiérarchiser l’information ?

Les points positifs

Il ne faut pas non plus jeter le bébé avec l’eau du bain. Il était tout de même naturel d’accorder du temps à ces affaires, aussi sinistres soient-elles car elles représentent de vrais évènements. En outre, au global, la couverture de l’affaire DSK a plutôt été équilibrée (à quelques dérapages près), quand on compare avec la presse anglo-saxonne. En outre, il semble qu’il n’y ait pas de véritable remise en cause du principe très français de préservation de la vie privée.

En effet, si la réputation de DSK était de notoriété publique (les humoristes se chargeant de rappeler presque tous les jours ce point de sa personnalité au grand public avant l’affaire), les journalistes n’ont pas tort de dire que c’est une chose de préserver le libertinage d’une personne, cela en est une autre de protéger des comportements criminels. Et il semblerait que la plupart de la classe médiatique ait agi de bonne foi en ne parlant pas de la vie privée de DSK.

Cette affaire a également un point positif (expliquant peut-être les plaintes contre Georges Tron) : les victimes vont peut-être davantage oser porter plainte, voyant l’exemple de la femme de ménage et du patron du FMI. Tout ceci pourrait finalement aboutir à une meilleure protection des victimes et une moindre impunité des coupables, ce qui naturellement extrêmement positif.

Les points négatifs

Malgré tout, voir l’actualité politique dominée depuis trois semaines par des affaires de mœurs est assez navrant, d’autant plus que ce ne sont pas les sujets de fond qui manquent (Grèce, printemps arabe,…). Je suis également partagé devant l’utilisation par les humoristes de ces affaires. Peut-on vraiment rire de tout ? Ne faut-il pas penser aux enfants ou aux proches des personnes mis en cause aussi souvent ? N’y a-t-il pas une forme de curée de la part d’humoristes qui exploitent ces évènements ? Pourtant, il me semble impensable de pratiquer une quelconque censure.

Mais le comble de l’absurde a été atteint avec Luc Ferry lundi dernier sur le plateau du Grand Journal, évoquant une affaire que tout le monde connaîtrait, racontant certains détails avant de refuser de donner le nom au prétexte qu’il pourrait être poursuivi. Bref, l’ancien ministre aurait mieux fait de se taire. Il s’est cru dans un dîner mondain et a cherché à faire l’intéressant. Mais soit il y a une vraie affaire, et il fallait aller parler à la police au lieu de le faire sur le plateau du Grand Journal. Soit il s’agit d’une rumeur (ce qui est possible), et dans ce cas, son comportement est assez minable.

La police a eu parfaitement raison d’avoir convoqué l’ancien ministre. En tout cas, il semble essentiel d’essayer de retrouver son calme, d’éviter les propositions à l’emporte-pièces (comme celle, de Christophe Barbier, de réserver 50% des circonscriptions à des femmes) et de prendre le temps de réfléchir avant de tirer des conséquences définitives de cette séquence assez désolante. S’il faut combattre certains comportements, ne tombons pas dans d’autres excès.

Malheureusement, demain va commencer le procès DSK, ce qui devrait encore encombrer l’actualité politique de détails sordides. Même s’il ne s’agit pas de tout oublier ou de fermer les yeux, tâchons d’essayer de ne pas accorder une place excessive à ces faits divers…

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Jacques Généreux conte la grande régression économique

06/06/2011 17:16

Jacques Généreux conte la grande régression économique


L’économiste du Parti de Gauche, qui a longtemps officié au Parti Socialiste, a publié il y a quelques mois « la Grande Régression », une synthèse abordable de sa pensée et des nombreux ouvrages qu’il a pu publier (et notamment « La dissociété », dont j’avais écrit une revue en trois parties).

Le procès de la libéralisation

Comme avec Jacques Sapir, l’intérêt de l’analyse de Jacques Généreux est qu’elle est systémique, prenant en compte la libéralisation du commerce et de la finance. Mais si le premier y ajoute une dimension plus historique, le second y ajoute une analyse plus psychologique et philosophique, sur laquelle je reviendrai demain. Au global, les analyses des deux auteurs sont extrêmement proches. Ils mettent tous les deux en cause la libéralisation généralisée de l’économie depuis les années 1970.

Pour lui, les pays du Nord « ont placé leurs propres travailleurs en état de guerre économique (…) ; ils ont restauré les pleins pouvoirs du capital en déréglementant les transactions financières et en étendant le principe du libre-échange ». « En instituant une libre concurrence entre des pays où les standards de rémunération, de droits sociaux, de sécurité sociale et d’imposition des revenus sont très différents, la généralisation du libre-échange ne peut avoir d’autre effet ni d’autre but que de miner la compétitivité de ceux qui ont les standards les plus élevés ».

Il critique la libéralisation des mouvements de capitaux, et souligne « qu’un marché où la compétition est sans limites n’institue pas un doux commerce profitable à tous les hommes, mais une guerre impitoyable où les gagnants accumulent toujours plus de moyens pour renforcer leur domination ». Il critique un système où l’on oppose « les poids mouches aux super-welters ». Pour lui, « ce que le capitaliste revendique en réalité, dans son appel au marché libre, c’est la liberté d’agir à sa guise pour dominer tous ses concurrents au sens large, c’est à dire tous ceux qui se mettent en travers de sa course au profit ». En fait, « la libre concurrence susceptible de menacer les profits est en même temps l’outil nécessaire à l’élimination de la concurrence, car elle n’est au fond que la loi du plus fort qui élimine les plus faibles ».

Il dénonce également les inégalités entre une Bourse « sangsue qui pompe bien plus de revenus aux entreprises qu’elle ne leur fournit de capitaux propres » mais aussi les inégalités de revenus en soulignant qu’à un certain niveau, elles ont un effet démobilisateur  pour la majorité de la population. Il critique vertement le modèle étasunien, sa violence, sa pauvreté et souligne qu’au contraire, ce sont nos services publics qui font que la France attire toujours autant de capitaux.

Un processus historique

Jacques Généreux synthétise les mouvements de l’histoire ainsi : « la phase précédant la Grande Régression avait enclenché une dialectique positive dans laquelle le capitalisme s’adaptait aux exigences de la société. La contre-révolution néolibérale des années 1980 a mis ce moteur dialectique en marche arrière, contraignant désormais la société à s’adapter continuellement aux exigences toujours plus hautes du capital ». Puis il s’attarde un peu plus longuement sur la crise que nous traversons.

Il souligne justement que les attaques contre quelques capitalistes (Madoff, Kerviel ) sont surtout un moyen « d’épargner le capitalisme ». Il montre que plus qu’une régulation de la finance, c’est à une « régulation des Etats conforme aux attentes des marchés financiers » que l’on assiste. Il note que « la capacité de notre société à survivre à une crise mondiale de la finance affaiblit la contestation du système fauteur de crise », indiquant la victoire de la lecture néolibérale de la crise.

Il souligne les dangers de la couverture des risques, qui distord les intérêts des banques : « imaginez que vous puissiez vous assurer contre le risque d’incendie non seulement chez vous, mais aussi chez n’importe qui : voilà de quoi susciter des vocations de pyromanes ! ». Il rappelle que la baisse du pouvoir d’achat a été compensée par l’endettement des ménages. Enfin, il attaque le plan européen « d’aide » à la Grèce en disant qu’il revient à « pratiquer une saignée sur un patient en pleine hémorragie ».

Ce nouveau livre de Jacques Généreux a l’intérêt de représenter une synthèse extrêmement bien balancée des carences de notre système actuel. Demain, j’étudierai son volet sociétal.

Source : Jacques Généreux, « La grande régression », Seuil

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






La énième fausse solution à Athènes

05/06/2011 01:36

La énième fausse solution à Athènes


La situation continue à se compliquer en Grèce. Bien sûr, un accord a été trouvé avec la troïka FMI, la BCE et la Commission Européenne, ce qui va libérer une tranche de financement de 12 milliards du plan initial de 110 milliards, qui sera complété par une soixantaine de milliards. Mais rien n’est réglé.

Un énième plan d’austérité

C’est un nouveau plan d’austérité de 6,4 milliards d’euros (environ 2,5% du PIB, l’équivalent de 50 milliards d’euros pour la France), qui a été décidé. Cela devrait permettre d’atteindre l’objectif d’un déficit public de 7.5% du PIB cette année, après l’échec de 2010, où l’objectif de 8.1% du PIB avait été largement dépassé (10.5% en réalité). Du coup, la nouvelle tranche de financement du FMI et de l’Union Européenne va bien être accordée à la Grèce.

La troïka a également mis en place un financement complémentaire de 60 à 65 milliards, dont 20 milliards seront pris en charge par l’Union Européenne, 10 par le FMI, 15 par la Grèce. Fait nouveau, les banques devront contribuer à hauteur de 15 à 20 milliards à savoir qu’elles devront prolonger d’ici à 2014 pour 15 à 20 milliards d’euros de prêts accordés à la Grèce quand ils arriveront à échéance. A priori, les besoins de financement de la Grèce sont couverts pour 3 ans.

Pour l’instant, nous restons donc sur les mêmes solutions que depuis un an. L’Allemagne, qui poussait à une restructuration de la dette qui ferait porter une partie du poids sur les institutions financières, a perdu devant l’opposition conjointe de la France, de la BCE et de la Commission Européenne. L’Europe continue d’acheter du temps, sans rien résoudre, et continuant à transférer le risque des institutions financières privées sur les contribuables européens…

Une situation qui reste intenable

Car si ce nouveau plan achète à nouveau du temps, il ne résout rien à la situation du pays. Tout d’abord, rien dans ce qui a été décidé ne va permettre à la Grèce de sortir de la violente récession dans laquelle le pays est plongé depuis trois ans. Et ce n’est pas en serrant plus encore la vis budgétaire que la situation va s’améliorer. Nous devrions donc avoir bientôt un deuxième pays européen, après l’Espagne avec un taux de chômage supérieur à 20%.

Et puis, il est évident que ces plans ne font qu’acheter du temps. Il est probable que dans un ou deux ans, quand une bonne partie des nouveaux crédits auront été utilisés, que le pays sera toujours en récession, que le poids de sa dette aura alors dépassé les 160% du PIB, il sera toujours impossible à la Grèce de se financer sur les marchés. Que fera-t-on alors ? L’Europe demande aux Etats de jeter de l’argent dans un puits sans fond alors même qu’elle leur demande plus de rigueur…

D’ailleurs, il y a un fait très inquiétant pour la suite : les Grecs retirent de l’argent de leurs banques pour se protéger d’une éventuelle faillite ou d’une dévaluation. Les dépôts, continuent à baisser : les Grecs ont retiré pour 1,5 milliard d’euros en une seule journée. Cette fuite des capitaux pourrait provoquer l’effondrement du système bancaire dans un mouvement auto réalisateur des marchés. Il y a fort à parier que le gouvernement va être contraint d’agir pour sauver ses banques…

Bref, l’ensemble des faits montre aujourd’hui que la Grèce est définitivement sur le chemin de l’Argentine, comme Martin Wolff l’a souligné une fois de plus. Les « solutions » mises en place ne règlent que le problème de trésorerie sans rien régler aux problèmes de croissance et de solvabilité.

Laurent Pinsolle





Nouveau plan d’aide à la Grèce : une saignée dangereuse

05/06/2011 01:30

Nouveau plan d’aide à la Grèce : une saignée dangereuse


Le titre du Figaro d’aujourd’hui « 60 milliards de plus pour sauver la Grèce » révèle la fuite en avant des dirigeants européens pour sauver un système qui n’est pas sauvable.

Après les 110 milliards déjà consentis l’an dernier, l’annonce de M. Jean-Claude Juncker avec sa langue de bois habituelle « Un financement supplémentaire de la Grèce en échange de conditions strictes » me fait penser aux célèbres médecins de Molière qui avec leur air docte imposaient à des malades épuisés de nouvelles saignées.

Bien entendu, ce nouveau plan ne servira à rien sinon permettre aux banques de récupérer leurs billes avant la restructuration de la dette grecque et la sortie de l’euro de ce pays. Les contribuables européens et le peuple grec seront bien sûr les dindons de la farce.

Yannis Panagopoulos, leader syndical, résume d’une phrase la situation « On vend le patrimoine du pays et on saigne le peuple, c’est un crime. Et ceci n’est que le début. Les conséquences seront terribles ».

Les dirigeants européens font croire qu’il n’y a pas d’autre politique possible et qu’ils incarnent la « raison ».

Or la vraie folie, nous l'avons désormais tous compris, c’est de continuer leur politique au service des banques et contre les peuples.

Etre raisonnable aujourd’hui, c’est au contraire préparer dans le calme la sortie de l’euro de la Grèce, seul moyen de relancer la croissance et l’emploi dans ce pays exsangue et révolté.

Seul moyen surtout de redonner sa liberté et sa dignité à un peuple placé aujourd'hui sous tutelle.


Nicolas Dupont Aignan

http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Nouveau-plan-d%E2%80%99aide-%C3%A0-la-Gr%C3%A8ce-%3A-une-saign%C3%A9e-dangereuse







Programme DDV : Politique du logement

04/06/2011 13:22

Programme DDV : Politique du logement


Le logement fait partie des préoccupations quotidiennes de la plupart des Français. Il manque un million de logements sociaux pour satisfaire la demande de logements sociaux, au même moment où l'Etat dépense des fortunes pour loger en urgence les familles les plus défavorisées dans des hôtels.

Il existe des zones en tension permanente connaissant une flambée des prix immobiliers et une forte augmentation des loyers, chassant des centres-villes les ménages des classes moyennes, et notamment les jeunes ménages avec enfant qui sont pourtant source de dynamisme économique pour les villes.

Le thème de la France des propriétaires développé lors de l'élection présidentielle de 2007 a montré ses limites au cours du quinquennat.

Ce n'est pas le statut du logement qui importe, c'est la sécurité du logement qui doit être au coeur des politiques publiques du logement.

Le Préambule de la Constitution garantit un droit au logement pour chacun. Cela implique une triple sécurité:

  • Sécurité face aux risques, en garantissant des normes de salubrité et de protection des personnes (incendies, ascenseurs...)
  • Sécurité dans la durée, en permettant à chacun de pouvoir se maintenir dans un logement dans un contexte de hausse des prix
  • Sécurité dans les relations entre bailleurs et locataires, en offrant aux deux parties des garanties concrètes.

Le logement est un enjeu d'intérêt général qui détermine la cohésion sociale, le dynamisme économique et la sécurité du patrimoine de nombreux Français. C'est pourquoi il est nécessaire face aux dysfonctionnements actuels de créer un Service Public du Logement.

Ce service public du logement sera assuré par la régulation, le contrôle et la contractualisation au moyen d'une agence publique sous l'autorité du Ministère des Affaires Sociales.

Il pourra assumer diverses fonctions :

La contractualisation d'engagements de service public

Ce service public du logement créera un secteur locatif privé à vocation sociale, grâce à des garanties apportées aux bailleurs concernant les impayés et la remise en état des logements. L'incitation se fera par la réorientation d'une partie de l'avantage Scellier. Les bailleurs propriétaires de nombreux logements (plus de 10) seront tenus de consacrer un cinquième de leurs logements au secteur social privé.

Il créera également un secteur locatif privé à destination des classes moyennes créant un bail longue durée spécifique, un dispositif labellisé fixant un cadre de loyers en fonction des revenus des familles de classes moyennes et du nombre d'enfants. D'autre part, les hausses de loyers seront limitées dans le cadre de ce dispositif au moment du renouvellement du bail. Le choix par les bailleurs de ce dispositif sera volontaire et favorisé par incitation fiscale.

La sanction contre les abus

Il s’agit de lutter contre des abus inacceptables en veillant à l’exécution stricte des lois : logements insalubres ou inadaptés, "marchands de sommeil".

La régulation pour un meilleur accès au logement

Cette agence aura vocation à être le premier recours du droit au logement opposable. Elle pourra également recourir à des dispositions contraignantes pour remédier à des situations particulières, notamment des réquisitions, dans le cadre de la règlementation actuelle. Elle veillera à l'application des lois existantes : loi SRU fixant un taux de logements sociaux par commune et loi sur le Droit Opposable au Logement, mise en place par mon gouvernement.

La médiation des relations entre bailleurs et locataires

En cas de désaccord majeur, le service public du logement pourra être appelé par l’une ou l’autre partie pour faciliter une solution, notamment concernant les garanties au moment du bail, les impayés ou les renouvellements du bail.

L'information sur l'offre et la demande de logement

Un observatoire national du logement doit être en mesure d’indiquer, de manière accessible à tous, les prix moyens dans le secteur privé par bassin de vie, le stock et la disponibilité de logement social. Les demandeurs de logement social auront un numéro unique national pour éviter les demandes multiples qui engorgent les services municipaux, notamment dans les plus grandes villes.

Réponses aux objections

Qu'est-ce que cela changera pour moi?

Si j’habite dans une zone sous tension, je pourrai savoir si le logement que je choisis à la location entre dans un dispositif d’encadrement adapté à mes revenus. Dans ce cas, le loyer ne pourra varier que dans une marge limitée.

Si je ne peux pas apporter les garanties nécessaires à la location d’un logement, par exemple à Paris, je pourrai m’adresser à la médiation du service public du logement, capable de se porter quand c’est nécessaire, caution.

Cela va créer une nouvelle administration et alourdir l’Etat.

Il s’agit essentiellement de fédérer les initiatives existantes et de créer une instance de pilotage commune. Au contraire, certains doublonnements de missions pourront être simplifiés.

Source: République Solidaire

Photo : http://www.sebastienlucas.com/images/archi_choiseul/1-logement_sociaux_paris_atelier_choiseul_vue_generale.jpg

http://2villepin.free.fr/index.php/2011/06/02/1923-dominique-de-villepin-pour-un-service-public-du-logement






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