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Et si DSK était le sauveur involontaire de la gauche ?
17/05/2011 19:33
Les images de Dominique Strauss-Kahn, menottes aux poignets, sortant du commissariat de Harlem, ont fait le tour du monde, donnant le probable coup d'arrêt à se carrière politique. Est-ce là l'occasion pour les socialistes de choisir un candidat capable de barrer la route à Marine Le Pen ?
Comme tout un chacun, j’ignore ce qui s’est passé dans la suite 2806, au 28ème étage de l’hôtel Sofitel de New York, le 14 mai. Je me garderai donc de condamner qui que ce soit, et j’espère que Dominique Strauss-Kahn dit la vérité quand il s’affirme non coupable de l’accusation de viol portée à son encontre. Je le souhaite pour la jeune femme qui s’est dite agressée (dont certains semblent déjà avoir oublié l’existence), pour le directeur général du FMI, pour sa famille, pour ses amis et pour la France.
Mais quelle que soit l’issue judiciaire d’un feuilleton qui restera dans les annales, l’avenir politique de DSK est derrière lui. Sauf improbable coup de théâtre, sa carrière s’est arrêtée le jour où il a été exhibé menottes aux poignets, encadré par des policiers du commissariat de Harlem, puis dans la salle du tribunal, devant les caméras. On peut regretter les méthodes brutales de la justice américaine et vérifier au passage les avantages du système français, tant critiqué ici et là. Une fois le choc émotionnel passé, on peut aussi considérer que l’éviction forcée de DSK du jeu politique est une chance pour la gauche. Dans l’immédiat, il est vrai, le coup est rude. En comparaison des frasques prêtées à l’ancien candidat à la candidature socialiste, Nicolas Sarkozy retrouve une soudaine virginité. A contrario, le PS est sonné, et le coup de gong politico-médiatique semble avoir mis la gauche au tapis. Mais le pire n’a-t-il pas été évité ?
Il est en effet légitime de se demander comment la gauche pouvait s’estimer dignement représentée par un homme tel que DSK. Sans évoquer les affaires de mœurs assez louches qui lui trainent aux basques depuis des lustres, on relèvera cet autoportrait esquissé par le directeur général du FMI lors d’une rencontre avec des journalistes de Libération. A cette occasion, DSK a expliqué qu’il ne voyait que trois handicaps à sa longue marche vers la victoire finale : « Le fric, les femmes, la judéité ». C’est tout un programme. Passons sur la judéité, qui est un faux problème (et heureusement) dans la France d’aujourd’hui. En revanche, l’évocation du « fric » et des « femmes » comme talon d’Achille, voilà qui laisse rêveur. En somme, l’intéressé reconnaît qu’il n’est pas exempt de comportements douteux à l’égard de la gente féminine. Et qu’on ne vienne pas évoquer ses prétendus talents de « séducteur ». En fait, le monde politico-médiatique sait que l’homme du FMI se comporte souvent avec les femmes comme un coq dans une basse cour. Si l’accusation de viol est d’une toute autre teneur, cette conception de la femme pose cependant un vrai problème - a fortiori pour quelqu’un briguant la magistrature suprême. Quant au « fric », l’aveu est tout aussi troublant. Cela ne concerne pas seulement son train de vie de la famille Strauss-Kahn, plus proche de l’ISF que du RSA, mais aussi les liens avérés de DSK avec des milieux financiers plus sensibles au bling-bling qu’au commerce équitable. Comment un homme ayant un tel profil pouvait-il représenter la gauche et ses valeurs ? Certains diront que les études d’opinion le donnaient grand gagnant. Certes, mais il ne faut pas oublier que son bon résultat dans les sondages (qui ne sont que des sondages) venait aussi de ses sympathies dans l’électorat de la droite, qui le prenait pour l’un des siens, idéologiquement et socialement parlant. Mais le PS et la gauche en général pouvaient-ils se retrouver derrière un homme avouant lui-même devoir assumer des handicaps quasiment irrémédiables ? Vu son passé et son passif, DSK risquait vite de devenir un boulet pour son propre camp. Pour une Marine Le Pen décidée à se placer sur le terrain social, il aurait été une cible de choix.
Voilà pourquoi la sortie de DSK du paysage présidentiel, quoi que l’on pense de son sort judiciaire, peut être une opportunité pour la gauche. Maintenant que son « candidat miracle » est de fait éliminé, le PS va devoir se trouver un représentant plus digne des valeurs qu’il prétend défendre, apte à s’adresser au peuple, afin de ne pas laisser le champ libre à une Marine Le Pen tapie dans l’ombre. C’est un choc qui peut s’avérer salutaire.
Jack Dion - Marianne
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Paso Doble n°204 : Dominique nique, nique, nique, s’en alla tout simplement…
17/05/2011 19:23
Ribery, Strauss-Kahn, même combat
L'arrestation et l'inculpation de DSK pour agression sexuelle est un choc externe et interne. Externe – on l'oublie – parce qu'elle vient totalement anéantir l'image de la France au FMI. Il faudra des années pour que l'institution oublie que c'est un Français qui, pour la première fois de l'histoire du Fonds, s'est fait arrêter comme un vulgaire malfaiteur dans un avion. Depuis la démission de Paul Wolfowitz pour corruption, on n'avait plus vu un tel choc. DSK va devoir démissionner lundi, une honte tricolore.
Interne – ensuite- parce que ce deus ex machina vient totalement rebattre les cartes pour 2012. Qu'il soit coupable ou innocent, un tel traitement d'infamie ne peut pas rester sans graves conséquences. Le satellite DSK 2012 vient d'être abattu sur la rampe de lancement par un missile Tomahawk.
La réaction de Ségolène Royal – pleine de compassion – le démontre : ce matin, DSK est une bête blessée. Il n'est déjà plus un concurrent. La procédure américaine va le paralyser quelques semaines, peut-être quelques mois, rendant impossible sa participation aux primaires. Royal a simplement appliqué le vieil adage "On ne tire pas sur une ambulance".
De la liberté de présumer
Alors, ultime question : est-ce un complot ? est-il innocent ? Je n'ose pas parler de "coup monté"…
Je vous livre quelques réflexions : premièrement, je ne pense pas que l'Elysée puisse être derrière tout cela, avec une affaire classique de barbouzes. L'arrestation de DSK vient en effet totalement démolir le G8 de Deauville du 27 mai, où la France comptait adopter des mesures ambitieuses. Christine Lagarde peut mettre un mouchoir sur ses ambitions de succéder à DSK à la tête de l'institution. D'autant que ce type d'opération à New-York, au nez et à la barbe du FBI, c'est risqué – à la limite, je pencherais plus sur des barbouzes américains. Mais pourquoi ?
Deuxièmement, autant je doute qu'il ait pu agresser sexuellement cette jeune femme noire, autant le fait qu'il ait abandonné en hâte l'hôtel avec derrière son portable et ses affaires personnelles plaident pour un scénario mouvementé. Voilà pourquoi nier en bloc va être très difficile, d'autant qu'au début de son mandat au FMI, DSK avait été déstabilisé par une affaire similaire. Second adage : "Il n'y a pas de fumée sans feu".
Mais qu'importe la vérité ? L'essentiel est que ce coup de tonnerre vient renforcer mon analyse (bien malgré elle) : François Hollande sera le candidat du PS. Et 2012 sera une présidentielle inintéressante au possible.
Toréador
http://www.toreador.fr/
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Bernard Debré accuse DSK d’autres agressions sexuelles au Sofitel
17/05/2011 19:19
Dominique Strauss-Kahn est dans la tourmente. Celui qui, dans un an, devait selon toute vraisemblance devenir le prochain président de la République française vient de chuter du paradis dans lequel il semblait léviter depuis des mois. Accusé d'agression sexuelle, de tentative de viol et de séquestration sur une femme de chambre dans un hôtel Sofitel à New York, humilié, les menottes aux poignets, traîné comme un vulgaire malfrat dans un commissariat de Harlem, l'homme le plus puissant du monde après Obama (dixit Michelle Sabban) risque 20 ans de prison.
Comme on pouvait s'y attendre, les langues se délient à présent, maintenant que l'homme fort a un genou à terre, et les accusations - pour le moment invérifiaibles - fusent. Si celle concernant Tristane Banon ne fait que remonter à la surface dans les grands médias, 3 ans après qu'AgoraVox ait révélé l'affaire, d'autres pourraient bien émerger pour la première fois dans les prochains jours... En tout cas, le Professeur Bernard Debré a lancé la première salve...
Alors que les proches de Dominique Strauss-Kahn réhabilitent la "théorie du complot" en suggérant que leur champion est victime d'un grand complot international, Bernard Debré, député UMP de Paris, vient de lâcher une accusation extrémement grave à l'encontre du patron du FMI.
Interrogé par L'Express suite à un billet déjà très dur qu'il avait publié dimanche sur son blog, Debré affirme que Dominique Strauss-Kahn a déjà agressé dans le passé d'autres femmes de chambre dans ce même hôtel Sofitel de New York. Selon lui, ces multiples agressions ont été passées sous silence par la direction contre l'avis des employés.
"Il faut sortir de l'hypocrisie. Ce n'est pas la première fois que DSK se livrait à ce genre d'agissements au Sofitel. C'est là qu'il descendait toujours. Ça s'est produit plusieurs fois et depuis plusieurs années. Tout le monde le savait dans l'hôtel", déclare Bernard Debré, actuellement en déplacement en Chine.
"Les employés étaient sur le point de se révolter. La direction était au courant mais jusque là n'osait rien dire. Elle a étouffé toutes les autres affaires. D'autres femmes de chambre avant Ophelia - une femme charmante de 32 ans qui travaillait très bien - avaient été agressées. Il faut arrêter de jouer les vierges effarouchées. Vous croyez que les flics de New York l'auraient interpellé dans l'avion s'ils n'avaient pas d'informations précises ?", ajoute le parlementaire.
"C'est humiliant pour notre pays. C'est une très grande honte. Là, je suis à Shanghai. Les Chinois me regardent et se marrent. Ils se disent que tous les Français sont des obsédés sexuels. Si on continue à ne rien dire, ça va aider le Front national", poursuit Bernard Debré.
Bernard Debré est, de très loin, l'homme politique qui a les mots les plus durs envers Dominique Strauss-Kahn, allant même beaucoup loin que Marine Le Pen.
Que faut-il penser de ces accusations gravissimes de Bernard Debré, à l'heure où tous les proches de DSK nous assurent que les actes de violence reprochés au favori des sondages en France ne lui ressemblent pas ? Debré diffame-t-il son adversaire politique, celui qui semblait dans la meilleure position pour battre Nicolas Sarkozy en 2012 ? Fait-il partie des comploteurs, dans le scénario du méga complot international que la strauss-kahnienne Michelle Sabban, vice-présidente du Conseil régional d’Ile-de-France, imagine ?
Ou est-il tout simplement courageux, et ose-t-il dire tout haut ce que chacun, dans le petit milieu politique, sait et préfère cacher au grand public ? On se souvient qu'à l'époque de la grande campagne de vaccination contre la grippe A/H1N1, Bernard Debré était la seule "voix autorisée" à dénoncer le scandale de cette manipulation par la peur.
On peut relever que Bernard Debré a fréquenté il y a quelques années le Club des Cordelières, comme Gilles Pélisson, Administrateur - Directeur Général du Groupe ACCOR, qui est le propriétaire des Sofitel. Est-ce dans ce club que Bernard Debré aurait été mis au courant du supposé comportement coupable de DSK ?
Quoi qu'il en soit, Bernard Debré sera très prochainement amené à s'expliquer sur ses propos détonants, qui prolongent ceux d'Anne Mansouret, la mère de Tristane Banon, qui confirmait hier que sa fille avait fait l'objet en 2002 d'une tentative de viol par Dominique Strauss-Kahn. Affaire à suivre...
MAJ (16/05/2011, 19h34) : Sofitel dément les accusations de Bernard Debré
Le directeur général de la chaîne hôtelière Sofitel a démenti lundi les propos d'un parlementaire français affirmant que Dominique Strauss-Kahn avait commis des agressions répétées au sein de ses établissements. Robert Gaymer-Jones qualifie "d'allégations sans fondement" les accusations du député UMP Bernard Debré contre le directeur général du Fonds monétaire international (FMI). "Les allégations, proférées par un parlementaire français à l'encontre de la direction du Sofitel New York et laissant entendre que celui-ci cachait des agissements répétés d'agressions sexuelles, sont sans fondement et présentent donc un caractère diffamatoire", écrit-il dans un communiqué transmis à Reuters. Le groupe hôtelier explique avoir mis en place "des procédures strictes ainsi qu'un numéro d'appel d'alertes professionnelles ouvert à tous les collaborateurs souhaitant attirer l'attention sur des faits spécifiques, et ce, depuis plus d'un an". "La direction n'a pas eu connaissance de tentative d'agression antérieure", ajoute Robert Gaymer-Jones. (...)
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/bernard-debre-accuse-dsk-d-autres-94059
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DSK est-il tombé dans un traquenard?
17/05/2011 19:10
Si Dominique Strauss-Kahn était poursuivi en France, il y aurait lieu d’observer scrupuleusement la présomption d’innocence et le secret de l’instruction. Les principes juridiques Français ou la jurisprudence de nos tribunaux ne s’exercent pas sur une procédure judiciaire menée aux Etats-Unis par la justice Américaine, qui n’est pas exempte de faiblesses parfois plus inquiétantes et souvent plus spectaculaires que dans l’Hexagone. Pour comprendre les arcanes de la justice Américaine, lisez les billets de Jules – Diner’s Room et de Maître Eolas.
Connaissant les penchants paranoïaques de la société Américaine, il est curieux que DSK ne soit pas flanqué d’un ou plusieurs garde(s) du corps et que l’on puisse pénétrer dans sa suite du Sofitel de Manhattan (3 000 $ la nuit quand même et sur laquelle il aurait eu un rabais de 800 $, le FMI annonce une facture de 525 $) sans plus de précaution.
Tout d’abord, on conseillera aux avocats de DSK, dont Benjamin Brafman qui se définit lui-même comme l’avocat des « situations vraiment désespérées », de ne pas faire appel à certains témoignages quant à sa moralité.
Ainsi, Dominique Paillé, vice-président du Parti radical et ancien porte-parole de l’UMP trouve que :
S’il est tombé sur cette peau de banane, c’est qu’on savait qu’il avait une vulnérabilité. Et quand on s’apprête à être candidat à la candidature à la présidence de la République française, on se met à l’abri de telles vulnérabilités.
Même idée chez Christine Boutin, entre autres, qui ne manque pas d’ironie pour qualifier DSK d’homme « vigoureux »:
Ça me semble tellement énorme cette affaire! On sait qu’il est assez vigoureux, si je puis m’exprimer ainsi, mais qu’il se fasse prendre comme ça me semble ahurissant, donc je pense qu’il est tombé dans un piège.
Il y a aussi la troublante affaire concernant la journaliste Tristane Banon.
Conformément à la loi Guigou, nous ne verrons pas, en France, DSK explicitement menotté mais cette photo est lourde de conséquences pour un éventuel compétiteur à la magistrature suprême de notre pays (on notera que les officiers Américains au premier plan ont des cravates affreuses). Cette photo me rappelle celle de Bernard Madoff …

La police Américaine a eu plus de tact avec la victime surnommée Ophelia (prénom qui n’est pas sans rappeler Hamlet, la tragédie shakespearienne ou le poème d’Arthur Rimbaud), femme de ménage de 32 ans que ses collègues décrivent comme courageuse et serviable. Cette jeune femme, apparemment immigrée Africaine (nommée Nafissatou Diallo par France 2, Guinéenne), a porté plainte contre le patron du FMI pour tentative de viol et aurait reconnu son agresseur supposé …
L’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin s’exprime avec justesse sur son blog :
Les affaires en politique sont souvent l’occasion d’entendre plusieurs vérités. La prudence est toujours nécessaire. Le plus terrible est que, souvent, le débat s’emballe non pas avec des éléments de vérité mais avec ceux de la vraisemblance. Cela devrait conduire les responsables politiques à une grande exigence personnelle. La réputation est ce sur quoi on peut s’appuyer quand la maison brûle. Le pronostic de vraisemblance pourrait combattre, dans le cas de DSK, la présomption d’innocence.
L’Américain John Lipsky (ancien de chez Salomon Brothers et JP Morgan Investment Bank), le premier adjoint de Dominique Strauss-Kahn, prend l’intérim à la tête du FMI. L’Américano-Egyptienne, Nemat Shafik, directrice générale déléguée des opérations (diplômée de la réputée London School of Economics et de l’université d’Oxford), assistera lundi à Bruxelles à la réunion de l’Eurogroupe.
L’Euro a chuté à $1.4063 quand les marchés asiatiques ont ouvert ce lundi (un plus bas depuis 6 semaines). Cela tend à refléter l’impact que l’arrestation de DSK pourrait avoir sur les plans de sauvetage du Portugal et de la Grèce.
Mise à jour 16/05/2011 à 19h)
Le tribunal de New York a demandé que DSK soit placé en détention préventive et dit enquêter sur une autre affaire sexuelle qui aurait pu l’impliquer. Les rapports des experts corroboraient les déclarations de la plaignante. Ainsi, la juge a refusé la libération sous caution et ne nouvelle audience est fixée à vendredi 20 mai. DSK risque jusqu’à 70 ans de prison (en raison de l’accumulation des peines).
Griffon
http://griffonlyonnais.wordpress.com/
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Cinq bonnes raisons de soutenir le projet présidentiel de Dominique de Villepin
17/05/2011 19:02
Cinq bonnes raisons de soutenir le projet présidentiel de Dominique de Villepin.
1) Un projet qui rend sa dignité à chaque citoyen Français
- en remplaçant toutes les allocations sociales trop souvent synonymes d’assistanat humiliant par un revenu citoyen de 850€ par mois pour les personnes sans ressources, qui retrouvent ainsi un socle de dignité par une activité au service de l’intérêt général
- en donnant du pouvoir d’achat aux personnes qui gagnent moins de 1500€ par mois (versement d’une fraction du revenu citoyen, allègement des cotisations salariales sur la feuille de paye grâce à la TVA 3E)
- en permettant à chacun de s’engager plus facilement dans un projet professionnel ou de formation (pour les jeunes qui pourront financer avec le revenu citoyen leurs études, leur formation professionnelle ou leur logement, pour les ouvriers ou employés licenciés en fin de droit qui toucheront 850€ au lieu des 600€ d’ASS pour leur faciliter un nouveau départ dans une autre activité)
2) Un projet qui affirme la solidarité entre citoyens
- en créant un service citoyen, obligatoire pour les jeunes mais ouvert à tous, facteur de brassage social et support de missions d’intérêt général (appui aux services publics de santé, d’éducation, aux associations reconnues d’utilité publique, à la coopération internationale…)
- en créant de nouveaux services publics : un service public bancaire pour garantir à chacun l’accès aux services de base (ouverture d’un compte) ; un service public du logement pour développer avec les bailleurs privés des missions d’intérêt général (logement social, encadrement des loyers pour les classes moyennes)
- en réduisant les inégalités territoriales en matière d’accès à la santé dans nos campagnes(nouveau maillage territorial avec 3 échelons pour l’hôpital public : centre hospitalier avec moyens de recherche, hôpitaux de proximité, dispensaires ou maisons de santé adossées aux pharmacies ; modulation des exonérations de charges sociales pour l’installation de médecins libéraux dans les territoires déficitaires…), en matière d’accès à l’emploi dans les quartiers (création d’une agence de développement économique, bourse interactive pour l’emploi s’appuyant sur les réseaux sociaux, droit personnalisé à l’enseignement prioritaire…)
3) Un projet qui renforce la démocratie autour des principes républicains
- en créant un statut du citoyen, qui a des droits mais aussi des devoirs, dont celui de s’inscrire sur les listes électorales et de voter (modification de la Constitution pour rendre le vote obligatoire, avec reconnaissance du vote blanc) mais aussi de payer l’impôt (impôt citoyen obligatoire dès le premier euro pour tous, même de façon symbolique pour les plus démunis, et réellement progressif)
- en garantissant l’indépendance des pouvoirs (de la justice par rapport au pouvoir exécutif avec un Procureur de la Nation nommé par le CSM et investi par le Parlement ; des médias dont les contrôles par des groupes industriels dépendant de la commande ou de la régulation publiques seront interdits)
- en redonnant la parole au peuple par le recours régulier au référendum, notamment sur la réforme institutionnelle (suppression d’un tiers des parlementaires, réduction du nombre des régions de 22 à 10, dans un souci d’efficacité et de réduction du train de vie de l’Etat et des collectivités locales) et sur la politique énergétique (avec option de sortie du nucléaire)
4) Un projet qui relance le dynamisme de notre économie
- en nous dotant des instruments pour devenir une économie pionnière de l’environnement et de l’innovation (TVA sociale et environnementale, Conseil National Stratégique et Plan Vert, cogestion dans les entreprises, patriotisme économique avec le label « produit de France, soutien à l’économie numérique, objectif de 3% du PNB pour la R&D)
- en soutenant les PME pour développer leurs activités et créer des emplois (financement par les encours d’assurance vie, aide au regroupement et au parrainage par les grandes entreprises)
- en menant la bataille de l’emploi par le renforcement de nos atouts (agriculture de qualité, industries du tourisme et du luxe, nouvelles technologies), par une politique volontariste en matière de créations d’emploi, de formation et d’éducation ( TVA 3E qui allège le coût du travail, fixation d’un taux de jeunes en emploi dans les entreprises de plus de 500 salariés, service public des parcours professionnels, refondation de notre Ecole pour plus d’efficacité avec une Ecole du Socle de 6 à 14ans et une Ecole de la Détermination de 14 à 18ans incluant l’apprentissage et l’alternance)
5) Un projet qui rétablit l’indépendance et le rayonnement de la France dans le monde
- en faisant entendre la voix de la France partout dans le monde, grâce à une diplomatie sans cesse en initiative qui s’appuie sur nos atouts (notre histoire, nos valeurs universelles, nos collectivités d’Outre-mer, notre capacité de dialogue et de médiation dans les conflits, notre rayonnement culturel et francophone)
- en réaffirmant l’indépendance de notre politique étrangère (sortie du commandement intégré de l’OTAN, retrait d’Afghanistan)
- en jouant un rôle moteur en Europe à partir d’une coopération étroite et quotidienne avec l’Allemagne (création d’un Haut Conseil permanent franco allemand)
Source: République Solidaire
http://2villepin.free.fr/index.php/2011/05/17/1905-cinq-bonnes-raisons-de-soutenir-le-projet-presidentiel-de-dominique-de-villepin
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