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Peuple de gauche, es-tu là ?
11/05/2011 14:46
« Peuple du gauche, es-tu là ? ». C’est la question que se pose Téléréma n° 3199, sorti dans les kiosques. Aussitôt, le « degauche » éprouve un vif désir de se ruer sur ce numéro. D’une part, pour reluquer rapidement si le dernier Woody Allen, featuring Carla Bruni bénéficie d’une dithyrambe accompagnée d’un « bonhomme Télérama » hilare, ou s’il écope simplement d’une brève nonchalante flanquée d’un bonhomme circonspect. D’autre part, et surtout, pour découvrir enfin à qui et comment le peuple de gauche doit se signaler, puisqu’il semble désormais acquis que quelqu’un s’en préoccupe.
Il convient dans un premier temps de ne pas confondre le « peuple de gauche », et le « peuple des primaires ». Le « peuple des primaires », c’est cette étrange tribu qui, après avoir organisé un "battle citoyen" et proposé aux candidats de la gauche morcelée un « pacte générationnel(S) », a commis, pour réunir tous les impétrants derrière une candidature unique, un « appel du 21-Avril » rageur visant à « fracasser le prêt-à-penser habituel » et menaçant : « ils n’auront pas nos voix sans nos idées ! ».
Le « peuple de gauche » en revanche, c’est celui que d’aucuns quêtent « désespérément » et parfois depuis quelques années déjà. Dans Recherche le peuple désespérément, Gaël Brustier et Jean-Philippe Huelin donnaient d’ailleurs quelques indices sur l’endroit où il pouvait se cacher : loin des centres-villes, dans les zones péri-urbaines ou rurales, poussé là par l’inflation immobilière, notamment.
Le « peuple de gauche », c’est celui que les leaders de gauche semblent en effet avoir perdu. Il paraît hermétique au « jeunisme » d’un François Hollande partagé entre sa passion pour Zaz et la réussite fulgurante de son régime minceur. Il ne prend même plus la peine de « buzzer » l’affaire de la Porsche de DSK, soit que le « bling-bling » ne le surprenne même plus, soit qu’il considère qu’il est de bonne guerre que ce concept vaseux, inventé par les adversaires de Nicolas Sarkozy pour discréditer celui-ci sans avoir à le combattre sur le terrain politique, se retourne aujourd’hui contre ses créateurs.
Le « peuple de gauche », enfin, c’est celui que le Front de gauche a cru pouvoir séduire, en se dotant d’un leader confondant « vociférer » et « parler vrai ». Succès a priori en deçà des espérances originelles, car c’est Marine le Pen qui se révèle aujourd’hui la candidate favorite des ouvriers. Et Jean-Luc Mélenchon aura beau tempêter, il n’y pourra rien changer s’il demeure arc bouté sur un discours économique et social certes louable, mais insuffisant. Il est temps, en effet, que la gauche prenne enfin à bras le corps sans pudeur mal placée les problématiques liées à la Nation d’une part, et à l’identité d’autre part. Il est absurde de les offrir sans combattre au seul Front national, qui les traite par facilité en termes exclusifs d’immigration, quand la « maladie identitaire » du peuple français semble davantage liée à ce sentiment d’inexorable dilution dans la grande Suisse illisible et impalpable qu’est devenue l’Europe.
A cet égard, peut-être le « peuple de gauche » est-il prêt, désormais, à entendre la petite musique qu’essaya jadis d’entonner le « pôle républicain », sans doute un peu trop tôt, peut-être pas assez bien ? Au lieu d’une tactique qui finira, comme toujours, par agréger le Front de gauche à un parti Socialiste dominant moyennant la promesse de quelques maroquins ministériels, peut-être faut-il oser retenter l’aventure d’un vaste « rassemblement républicain » qui, faisant provisoirement fi des clivages habituels, réunirait tous ceux qui, de la gauche républicaine à la droite gaulliste, souhaitent rétablir l'autorité de l’État et réorienter la construction européenne ?
Quant à ceux qui se prennent brutalement à regretter François Mitterrand, et à se demander ce qui est advenu de « l’euphorie du 10 mai 1981 », nous serions tentés de leur répondre « leaders de gauche, où êtes vous ? » et surtout « la parenthèse libérale de mars 1983, on la referme quand ? »
Coralie Delaume
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Hervé Morin : au centre, le vide
11/05/2011 14:35
Il n’en vendra sans doute pas beaucoup, mais le président du Nouveau Centre a trouvé le moyen d’exister médiatiquement : sortir un livre très critique à l’encontre de Nicolas Sarkozy. Le seul moyen de donner un peu de contenu à son hypothétique candidature.
Indécence et copyright
Hervé Morin s’était déjà illustré par un grand manque d’élégance républicaine lors du remaniement en annonçant lui-même et avant l’annonce officielle son départ du gouvernement. Il fait une nouvelle muflerie aujourd’hui en publiant un livre très critique à l’encontre de Nicolas Sarkozy. Il est difficile d’y voir autre chose qu’un moyen d’exister pour un candidat très creux. Il est assez indécent qu’un ancien ministre descende aussi rapidement la main qui le nourrissait il y a peu.
Il devrait apprendre auprès de Jean-Louis Borloo ce qu’est le comportement normal d’un ancien ministre de la République. En outre, il est difficile de ne pas voir le côté extrêmement réchauffé de sa critique du président de la République. Nous avons droit à un gloubiboulga indigeste et déjà-vu des critiques exprimées depuis près de cinq ans (en prenant en compte la campagne présidentielle). Naturellement, Hervé Morin n’apporte rien de nouveau sur le sujet.
Le candidat inutile et invisible
Ce bébé Sarkozy (car, après tout, il n’existe que parce que le président a voulu faire monter un centriste qui avait trahi François Bayrou pour concurrencer le Modem) est un nouvel exemple du vide absolu du sarkozysme. Car si Hervé Morin veut être candidat à l’élection présidentielle, il n’a toujours pas réussi à expliquer clairement pourquoi il le fait, à part pour exprimer sa volonté d’exister politiquement et être cohérent avec la grande idée qu’il semble avoir de lui-même.
Mais le centriste est parfois couard. C’est pourquoi Hervé Morin aimerait bien que Jean-Louis Borloo y aille car il ne semble pas convaincu de faire un grand score étant donné le vide sidéral de son discours et de sa personne. Son parcours depuis quatre ans parle contre lui : une trahison, un passage totalement transparent dans un grand ministère où il n’a laissé aucun souvenir, des vœux totalement ridicules et maintenant un livre qui ne fait que reprendre ce qui était dit il y a longtemps.
On retient aussi d’un président les personnes qu’il a fait émerger politiquement. Le vide sidéral de certains bébés Sarkozy, souvent couplé à une très haute idée d’eux-mêmes trouve un nouvel exemple dans la personne d’Hervé Morin. Qu’il se présente, on rira bien.
Laurent Pinsolle
http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/
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Les référendums, bêtes noires de Bruxelles
11/05/2011 14:32
Bruxelles, chez les membres de la Commission et les fonctionnaires, on déteste les référendums : d’abord parce qu’ils sont organisés dans le cadre national, donc en porte-à-faux avec la logique supranationale de la construction européenne, et ensuite parce qu’ils sont une expression directe de la souveraineté populaire, sans le filtre des institutions de la démocratie représentative avec lesquelles beaucoup d’accommodements sont possibles. Ils rappellent – qu’on le déplore ou que l’on s’en réjouisse – que les peuples continuent à exister sur le Vieux Continent. Du moins pour l’avenir prévisible, la notion de « peuple européen » reste encore largement une fiction.
L’Union européenne (UE) a donc un sérieux problème avec certains des peuples qui la composent. Non pas parce que ces derniers seraient par principe hostiles à l’idée d’Europe, mais parce qu’ils rejettent le carcan des politiques menées par les institutions qui agissent en son nom. Quand l’occasion se présente de donner leur sentiment lors d’un référendum, ils ne s’en privent pas. C’est ainsi que, en 1972, la Norvège refusa d’adhérer à ce qui était encore la Communauté économique européenne (CEE) ; que, en 1992, le Danemark rejeta le traité de Maastricht ; que, en 2005, la France et les Pays-Bas dirent « non » au traité constitutionnel européen ; que, en 2001, l’Irlande vota contre le traité de Nice et, en 2008, contre le traité de Lisbonne. Chaque fois, sauf pour la Norvège, un tour de passe-passe permit ultérieurement de transformer les « non » en « oui ».
Un nouveau cas d’école du respect ou du non respect de la souveraineté populaire en Europe se présente avec le refus des Islandais, exprimé par 60 % d’entre eux lors du référendum du 9 avril dernier, de faire payer par l’ensemble des citoyens le coût des ravages provoqués par leurs banquiers [1]. Une des banques de l’île, Icesave, privatisée en 2003, avait attiré des épargnants en leur proposant des rendements de l’ordre de 7 %, c’est-à-dire très au-dessus des taux du marché. En fait, il s’agissait d’une escroquerie du type des « pyramides de Ponzi », dont Bernard Madoff fut un des plus éminents praticiens : les intérêts des placements anciens sont payés par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Jusqu’à ce que le système s’écroule… Ce qui fut le cas en 2008.
A cette date, 400 000 comptes avaient été ouverts chez Icesave, pour la plupart d’entre eux par des Britanniques et des Néerlandais. Pour ne pas précipiter une panique bancaire les gouvernements de Londres et de La Haye s’engagèrent à indemniser leurs ressortissants concernés (pour des montants respectifs de 2,6 milliards et de 1,2 milliard d’euros) et, avec la bénédiction de la Commission européenne et du Fonds monétaire international, ils envoyèrent la facture aux autorités de Reykjavik ! Cette transformation caricaturale d’une dette privée en une dette publique, acceptée par le gouvernement et le Parlement islandais, fut rejetée une première fois par 93 % des électeurs lors du référendum organisé en mars 2010, avant de l’être à nouveau en avril 2011.
L’Islande n’est pas membre de l’UE, mais le gouvernement a officiellement déposé sa candidature pour y adhérer en juillet 2009. A moins d’être désavoué lors des élections législatives anticipées prévues le 9 mai prochain, il est prêt montrer sa respectabilité « européenne » en versant, d’une manière ou d’une autre, les 3,8 milliards d’euros que lui réclament le Royaume-Uni et les Pays-Bas. Indépendamment du veto que ces deux pays peuvent opposer à l’adhésion de l’Islande, on peut se demander si beaucoup d’autres Etats membres de l’UE souhaiteront qu’elle s’élargisse à un peuple qui ne craint pas de voter et de revoter « non » à un référendum…
Bernard Cassen, président d’honneur d’Attac
http://www.debout-la-republique.fr/Les-referendums-betes-noires-de.html
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1981-2011 Le temps des conséquences
11/05/2011 14:27
Je ne ferai pas un long texte ce soir, fatigue oblige, mais je voudrai quand même souligner, en ce jour anniversaire de l'élection de François Mitterrand, le côté absurde qu'il y a à fêter cet évènement. C'est d'autant plus absurde que ces célébrations proviennent généralement des membres politiques de la gauche, la même gauche qui a était définitivement détruite par les politiques mis en œuvre par monsieur Mitterrand . En réalité, les seules qui devraient fêter l'élection de François Mitterrand sont les libéraux et tous ceux qui croient au libre marché ou dans les délires de l'euro. L'euro justement nous en voyons aujourd'hui les conséquences comme tout le reste. Je fais partie de la génération qui n'a vécu que sous la crise économique et le chômage de masse. En mai 1981 j'avais 3ans et c'est notre génération et les plus jeunes qui voient aujourd'hui les conséquences désastreuses des décisions prises à cette époque. Voir ainsi des politiques fêter l'évènement me révulse au plus haut point. Comment fêter un homme qui a tout démoli. Il a détruit les structures de l'état. Il a éliminé les contrôles des capitaux et privatisé le système bancaire français. Il a enlevé l'indexation des salaires sur l'inflation. Il a favorisé une dérégulation des frontières commerciales et humaines. Et enfin il a mis la France sous la tutelle monétaire de l'Allemagne. Souvenez-vous du franc fort et de ses conséquences sur l'emploi. Mitterrand fut l'homme du renoncement à la souveraineté nationale, loin d'avoir était en rupture avec le clown qui l'a précédé, il a au contraire accéléré la démolition du pays. Cet ancien collabo a gardé ses bonnes vieilles habitudes une fois au pouvoir ne gardant qu'admiration et crainte vis-à-vis de la puissance allemande. Ce faisant ses politiques furent incohérentes. Il a voulu empêcher la réunification et a cru bêtement que la France pourrait contrôler l'Allemagne en l'enfermant dans une monnaie unique. Le résultat fut l'inverse, c'est la France qui a fini ligotée au sein de la construction européenne. Le bilan des multiples politiques de cette époque nous l'avons aujourd'hui sous les yeux et le moins que l'on puisse dire c'est que ce n'est guère brillant.
Et je ne parlerai pas de son passé sulfureux et de sa manie de faire de la politique par des coups bas. Comme le dit mon collègue Laurent Pinsolle, Mitterrand c'est l'exemple parfait de tout ce qui rend la politique odieuse. J'aurais préféré que la gauche profite de cet anniversaire pour faire un inventaire des erreurs de cette époque plutôt que de se lancer dans un mouvement nostalgique. Si la gauche n'arrive plus à gagner, c'est en grande partie parce qu'elle refuse de rompre avec l'héritage catastrophique de Mitterrand.
François Mitterrand c'est l'homme de droite qui a fait croire à la gauche qu'elle avait gagné en 81.
Dans cette vidéo Jacques Cheminade dont je ne partage pas toujours les points de vue, donne ici un réquisitoire assez exemplaire sur la période Mitterrand. Je pense franchement qu'il a amplement raison.
De l'impuissance Mitterrandolâtre / J. Cheminade par Cheminade2012
YANN
http://lebondosage.over-blog.fr/article-1981-2011-le-temps-des-consequences-73559739.html
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Sarkozy c’est fini
11/05/2011 14:23
En ce jour anniversaire de l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, le Premier ministre et son gouvernement s’enfoncent dans le déni de réalité.
Il est toujours étonnant de voir des gens intelligents refuser l’évidence, au risque de se suicider collectivement. Sans doute par sentiment de supériorité, croient-ils les Français idiots ? !
Heureusement notre peuple, pétri d’une histoire millénaire, a une grande lucidité politique. Les Français au fond d’eux-mêmes ont tout à fait compris l’ampleur de la supercherie, pour ne pas dire de l’escroquerie sarkoziste. Il y a tout simplement tromperie, gigantesque tromperie sur la marchandise.
Au-delà du style de l’homme, de ses excès, nos concitoyens reprochent tout simplement au Président l’absence de résultats concrets, fatale conséquence du manque de cohérence de son action publique. Car le cœur du problème est bien là. Ces 4 dernières années se résument en un décalage saisissant entre les discours et les décisions, entre les annonces et les actes. Cette schizophrénie permanente a décrédibilisé la fonction présidentielle et ruiné la parole publique de Nicolas Sarkozy.
Ce qui explique tout naturellement qu’il peut dire des choses très justes sans pour autant reconquérir, en aucune façon, une opinion qui n’a plus confiance tant elle a été trompée, qui n’écoute même plus tant elle a été habituée à un verbe présidentiel sans aucune valeur. Deux exemples parmi tant d’autres.
Dans le domaine économique, d’un côté un discours permanent sur la compétitivité, l’adaptation à la mondialisation, la relance de l’emploi, la lutte contre les délocalisations, de l’autre une politique suicidaire par arrimage à l’euro fort et par soumission au libre échange intégral qui asphyxient nos entreprises, essorent l’emploi industriel, désertifient nos campagnes. A-t-on déjà vu un coureur cycliste grimper un col avec les freins serrés ? Tout le reste n’est que littérature.
Dans le domaine de la sécurité, qui était pourtant la marque de fabrique de l’ancien ministre de l’Intérieur avec, il faut bien le dire, une certaine réussite, l’incohérence est depuis 4 ans à son comble. D’un côté des discours martiaux, des lois à répétition, des visites éclair tous azimuts, d’un autre la suppression de 10 000 postes de policiers et gendarmes et un laxisme judiciaire - conséquence directe de l’extrême dénuement de la Justice - qui ne cesse d’empirer et que masquent de moins en moins les lois d’affichage annoncées tambour battant par le président lui-même.
Alors, bien sûr, la majorité peut s’enorgueillir de quelques réformes. Je pense notamment à l’autonomie des universités ou au service minimum. Mais la réalité est là, crue. Toute cette agitation au cours des 4 dernières années n’a pas permis d’obtenir des résultats car il manquait l’essentiel : la reconquête de la souveraineté de la France, c'est-à-dire une véritable marge de manœuvre institutionnelle et politique. En imposant aux Français malgré le référendum de 2005 le Traité de Lisbonne, en se soumettant à l’oligarchie financière, le Président ne pouvait pas obtenir le moindre résultat sur les deux fronts essentiels qu’il avait choisi dans sa campagne : le pouvoir d’achat et la sécurité.
Voilà pourquoi, d’ailleurs, les Français sont dubitatifs sur les projets de ses concurrents socialistes ou centristes en 2012, car eux aussi refusant de s’attaquer à un cadre qui empêche tout pouvoir d’agir en profondeur, risquent bel et bien, à leur tour, de se condamner à une vaine agitation à la surface des choses.
Dans une France qui se vide de ses emplois, qui se paupérise et qui se divise, il va de soi qu’une simple alternance ne résoudra rien et que les Français attendent une vraie alternative. Une alternative qui consiste à remettre le pouvoir au service des Français.
Remettre le pouvoir au service des Français, c’est s’affranchir de la tutelle extérieure, mondialiste (sortie de l’euro, protectionnisme raisonnable, rétablissement des frontières nationales) mais aussi se libérer de la tutelle intérieure exercée par les nouvelles féodalités, ces oligopoles privés de la banque, de la finance, de l’énergie, ou de la grande distribution…
S’affranchir de ces tutelles non pas pour se refermer sur soi mais tout au contraire, dans l’esprit du Conseil National de la Résistance, pour mettre en œuvre une politique offensive de reconquête économique et sociale, une politique de redressement de la France et de la République, dont le Pacte fondateur doit être d’urgence relégitimé.
Ce sera tous le sens de mon projet pour 2012 dont je présenterai, thème par thème, le détail au fil des prochains mois.
Nicolas Dupont Aignan
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Sarkozy-c%E2%80%99est-fini
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