Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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L’Angleterre choisit le nucléaire : fin de la psychose Fukushima ?

20/07/2011 20:33

L’Angleterre choisit le nucléaire : fin de la psychose Fukushima ?


Le Parlement britannique a voté lundi en faveur du développement de l’énergie nucléaire. Une décision à contre-courant de la psychose post-Fukushima (qui a conduit l’Allemagne à sortir du nucléaire) et qui préfigure la construction de nouvelles centrales outre-manche.

« No panic ! » Le flegme britannique aura eu raison du vent de peurs anti-nucléaires qui s’était levé en Europe depuis l’annonce par la chancelière Merkel de l’abandon du nucléaire dans la première puissance européenne.

Flegme britannique et raisons structurelles

Si les militants écologistes et anti-nucléaires rêvaient à un « grand-soir de l’atome » après la catastrophe de Fukushima, la Grande Bretagne a non seulement confirmé son programme nucléaire (comme l’a à plusieurs reprises le gouvernement français), mais a fait un choix beaucoup plus radical.

Le National Policy Statement for Nuclear, voté lundi par le Parlement britannique prévoit la poursuite de l’exploitation des installations nucléaires en activité, mais annonce également la construction de nouvelles centrales nucléaires à travers le pays (sans en préciser le nombre).

De la fin du nucléaire civil à son retour en grâce, le retour de balancier aura été plus rapide qu’escompté, mais est finalement logique dans le contexte anglais au regard de données structurelles à long-terme.

Les réserves pétrolières de la mer du Nord n’étant pas éternelles (et montrant déjà des signes de faiblesse), le Royaume-Uni est (à l’image de la France) une puissance économique et industrielle pauvre en ressources naturelles pour alimenter son économie.

Angela Merkel : un choix politicien ?

Et comme l’économie anglaise est gloutonne en énergie, que les contraintes environnementales et de lutte contre le réchauffement climatique ne favorisent pas l’utilisation d’énergies fossiles pour produire de l’électricité… les alternatives ne sont pas légions.

Si le retrait allemand avait été un signal fort de l’évolution des mentalités outre-rhin et avaient fait pensé à une nouvelle donne nucléaire en Europe, le choix du développement fait par les Britanniques semble démontrer que les puissances européennes (et mondiales) se dirigent plutôt vers le statu-quo.

Au point de se demander quelles raisons ont poussé Angela Merkel a faire un choix aussi radical dans l’urgence et l’émotion d’une situation exceptionnelle. Le gouvernement allemand a-t-il obéi à des logiques politiques (ou politiciennes) en revenant sur le choix de l’atome sous la pression d’une opinion populaire choquée par le drame de Fukushima.

 Etienne Marlles

http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/l-angleterre-choisit-le-nucleaire-97816






Royal tend la main aux gaullistes, sans les convaincre

20/07/2011 20:20

Royal tend la main aux gaullistes, sans les convaincre


La candidate à la primaire PS souhaite une large alliance allant de l’extrême-gauche à « la droite gaulliste ». Une façon de dire que les clivages ne sont pas forcément là où on le croit.

 

En plein mois de juillet, on n’y croyait plus. Quelqu’un a réussi à émettre une idée dans cette campagne pré-présidentielle. Une idée, certes peu originale, mais qui reste plus profonde que le régime de Hollande ou les lunettes d'Eva Joly. Dimanche, Ségolène Royal a déclaré vouloir rassembler « d'abord les socialistes, ensuite les écologistes, l'extrême gauche, les centristes humanistes, mais aussi la droite gaulliste ». En 2007, elle avait déjà tendu la main au Modem de Bayrou.

Car la candidate a compris qu’il existait tout un pan de la droite qui ne se reconnaissait plus dans la droite sauce Sarkozy : « Une certaine droite a perdu cette tradition gaulliste et moi, je veux rassembler tous ceux qui veulent réussir à gauche, mais dans le rassemblement des valeurs républicaines ». Le discours sur l'immigration, le bling-bling, le bouclier fiscal sont autant d'éléments qui ont refroidi une partie de la droite.
Mais cette idée de large alliance est pour l’instant rejetée par Hollande : « L'enjeu, c'est le premier tour avant de penser au second tour. Au premier tour, il faut mobiliser tout l'électorat socialiste et même l'électorat de gauche ». Un point de vue étonnant pour celui qui n’hésite pas à adopter le point de vue du gouvernement sur la rigueur budgétaire. A l’UMP, même chez les opposants à Sarkozy, on reste critique. «C’est stupide, incohérent, illogique », a estimé le député Etienne Pinte dans Le Figaro. Le signe, peut-être que l'idée de Royal peut faire mouche.

Coup politique

Même scepticisme, chez Nicolas Dupont-Aignan. « Dans un monde médiatique, où l’accessoire devient important, elle a réussi son coup, on va parler d’elle pendant plus de 48 heures ». Le président de la Debout la République n’y voit que de la « récupération politique ».
Et s’il salue le « sens de la patrie, l‘esprit républicain » de Royal, le député de l’Essonne n’est pas prêt à répondre à son appel : « Elle ne peut pas s’allier avec nous en ayant voté pour le Traité de Lisbonne, pour la Constitution européenne ». Car c’est à cause de la question européenne qu’il ne se retrouve plus dans le discours du PS ou de l’UMP : « Si on ne se libère pas des traités européens, on arrivera jamais à rien, que ce soit avec Royal, Aubry ou Copé ».
En effet, tout se passe comme si le clivage entre droite et gauche était perturbé par un cadre commun de pensée. Les dernières prises de positions d’Hollande et Royal s’accordant sur l’idée d’arriver dès 2013 aux 3% de déficit imposés par Maastricht ou l’unanimisme PS-UMP sur les traités de Lisbonne ou la Constitution européenne tendent à le le faire penser.

Nouveaux clivages

De fait, les actuels clivages PS-UMP n’auraient alors plus de sens. « Ce n’est plus la droite contre la gauche mais les mondialistes contre les patriotes », explique Nicolas Dupont-Aignan. Au delà de la question européenne, il insiste aussi sur «les droits et devoirs républicains, l’Ecole et les services publics».
Des points d'accord avec la gauche ? Dupont-Aignan ne rejette pas l’idée d’une large alliance souhaitant un « gouvernement de salut public ». Mais avec qui ? Il aurait pu se retrouver dans la « démondialisation » d’Arnaud Montebourg qui se dit lui-même « gaulliste de gauche ». « Sur le social, je suis un socialiste bon teint (...) Sur la démocratie, je suis mendésiste, sur l'économie et la réindustrialisation, je suis MoDem. Je pense qu'il faut une alliance des forces de la création économique et des forces du travail », disait le socialiste en novembre dernier.

Et si Nicolas Dupont-Aignan défend la « démondialisation » depuis « 10 ans », il reste critique envers le candidat à la primaire. « L’erreur d’Arnaud de Montebourg, c’est de penser que les pays européens vont accepter cela », détaille-t-il. Il critique aussi Mélenchon qui « ne va pas assez loin » en refusant l’abandon de l’Euro. Sur ce point, le président de Debout la République se retrouve plutôt dans le discours du M’PEP de Jacques Nikonoff… ex président d'ATTAC. Un rapprochement qui peut paraître illogique mais moins que le catéchisme bruxellois récité par les deux principaux candidats PS.

Qu'importe aux Royalistes : en proposant l'union avec les gaullistes, la Présidente de Poitou-Charentes pensait sans doute moins aux desperados de Debout la République qu'aux troupes plus fraîches de République Solidaire. Lesquelles n'ont pas encore réagi.
Tefy Andriamanana - Marianne
 
Dessin : Louison





« L’Amérique est une bulle spéculative! »

20/07/2011 20:10

« L’Amérique est une bulle spéculative! »


Alors que Barack Obama tente de trouver un compromis politique pour échapper au défaut de payement, Myret Zaki, du magazine économique Bilan, explique comment les Etats-Unis en sont arrivés là.

Marianne2 : Le président Barak Obama tente de trouver un accord politique avec l’opposition républicaine à propos du niveau de la dette publique. Est-ce que ces négociations vous semblent à la mesure du problème que pose les Etats-Unis ?

Myret Zaki : Non, bien sûr. Le président Obama cherche à obtenir une solution avant le 2 août. Il est fort possible qu’il obtienne un accord limité, concédant aux Républicains une baisse des dépenses de 4000 milliards de dollars sur 10 ans. En échange de quoi l’Etat fédéral pourrait ajouter 2300 milliards de dollars aux 14300 milliards de dettes déjà constituées. Mais ce n’est pas du tout au niveau du problème : il faudrait, pour endiguer l’endettement phénoménal des Etats-Unis, opérer des coupes de l’ordre de 2000 milliards de dollars par an !
En fait si les pouvoirs politiques ne le font pas, c’est parce que emprunter de l’argent aux Etats-Unis est extrêmement peu coûteux, grâce au privilège du dollar, réputé monnaie de réserve du monde. Mais si l’Amérique perd sa notation « triple A », les taux d’intérêt s’envoleront !

Justement, la surprise, c’est que les agences de notation osent s’attaquer aux emprunts d’Etat américains, jusqu’à présent réputés les plus sûrs du monde ?

Les agences de notation financières, qui ont toutes leur siège à New York se sont enfin aperçues qu’elles attribuaient la note « AAA », la meilleure, à un pays qui était en risque de défaut. Elles auraient pu et dû le faire depuis au minimum 2008, lorsque la crise a révélé la fragilité de l’économie américaine. A continuer ainsi contre l’évidence, elles risquaient, elles, de perdre tout crédit, et que les investisseurs se tournent vers d’autres agences, comme la chinoise Da Gong, qui note les Etats-Unis « AA », un cran en dessous.
Pendant des années, les agences américaines ont décuplé le risque systémique qui menace l’économie mondiale. Pour prendre une comparaison : on dit que la dette en dollar est « liquide » (on peut la vendre et l’acheter très facilement, ndlr). Comme l’eau, elle irrigue l’économie en drainant les capitaux. Si cette eau devient soudainement illiquide, se transforme en glace, on irait vers un blocage mondial!

Et pour quelles raisons a-t-on pris un risque pareil ?

Pour que le prix de l’argent aux Etats-Unis soit le moins cher possible. Depuis deux ans on présente la dette européenne comme pourrie, et l’Europe comme un continent en perdition. Les agences de notation suivent curieusement un mouvement initié par les spéculateurs contre l’euro, qui ont fait des paris et mis beaucoup d’argent sur des scénarios de défaut des Etats de l’Union européenne. Des conseillers, des personnalités, des économistes en vue propagent le même discours : « vendez l’Europe et l’euro, achetez l’Amérique et le dollar ». Cela a pour effet de faire venir d’Europe vers les Etats-Unis, ou vers la Suisse, des masses considérables de capitaux, qui cherchent la sécurité. Or les Etats-Unis sont le pays le plus endettés du monde, où les états fédérés sont aussi au bord de la faillite, ainsi que les municipalités et les comtés. Et c’est le pays qui n’a programmé aucun plan de rigueur, à la différence des Etats de l’UE. Il n’y a plus de fonds propres en Amérique : tout le monde vit à crédit : le gouvernement central, les ménages, et même la banque centrale. Ce pays est une bulle spéculative.

Propos recueillis par Hervé Nathan - Marianne

Myret Zaki est rédactrice en chef adjointe du magazine économique suisse Bilan et auteur de « La Fin du dollar », (éditions Favre).

 

Photo : (Barack Obama - Wikimedia - Pete Souza)

http://www.marianne2.fr/L-Amerique-est-une-bulle-speculative_a208657.html






Le Capes et la grande régression de l’éducation nationale

19/07/2011 20:10

Le Capes et la grande régression de l’éducation nationale


Le Monde du 15 juillet est revenu sur les résultats dramatiques du Capes 2011. Un nouveau signe du désarroi général de l’éducation nationale en France, ainsi qu’une menace majeure pour le niveau de l’enseignement dans les décennies à venir.

La grande désaffection du Capes

Les chiffres rapportés par le Monde font froid dans le dos. En 1997, il y avait plus de quinze mille candidats aux Capes de mathématiques et lettres modernes pour plus de deux mille cinq cent postes, ce qui assurait une forte sélectivité pour ce concours et donc un niveau élevé pour les professeurs. En 2011, 2800 candidats se sont présentés (une baisse de plus de 80% en 14 ans), pour 1750 postes. Du coup, il n’y a eu qu’un peu plus de 1200 postes pourvus.

La crise des vocations est spectaculaire et extrêmement inquiétante. Une vision optimiste des choses consisterait à dire que seuls les plus motivés continuent à se présenter, garantissant un maintien du niveau. Mais il ne faut malheureusement pas être naïf : la baisse de plus de 80% des candidats au Capes depuis 14 ans est doublement inquiétante. Tout d’abord, cela révèle que les inconvénients du métier apparaissent plus importants que les avantages, pourtant non négligeables.

Ensuite, se pose clairement la question de la sélection des enseignants des prochaines décennies. Le niveau des professeurs est un paramètre fondamental pour le succès d’un système éducatif, comme le soulignent de nombreuses études internationales. C’est pourquoi il est particulièrement inquiétant de voir baisser aussi radicalement la sélectivité du Capes. Nous pourrions bien payer pendant quarante ans le fait de n’avoir pas su traiter cette crise aigüe des vocations.

Des professeurs abandonnés

Comme le souligne Jean-Paul Brighelli, il s’agit d’un « indice de la faillite de notre système éducatif » dont les racines remontent malheureusement à des décennies avec un refus de la sélection qui aboutit à un abaissement généralisé du niveau, comme l’illustre tristement la cuvée 2011 du baccalauréat qui a vu un nouveau record dans le taux d’admission, avec 86% et même plus de 89% pour la filière S marquée à jamais par la gestion calamiteuse d’une fuite par le gouvernement.

Plus globalement, il est urgent d’améliorer les conditions de travail des professeurs. Car ce beau métier, essentiel pour l’avenir de la nation, est aujourd’hui boudé par une génération pour qui les vacances, la stabilité de l’emploi et le prestige sont aujourd’hui plus que contrebalancés par la démission de l’école devant la dureté des élèves, le rythme de travail, plus éprouvant qu’on veut le croire, les problèmes de reconnaissance et le sentiment d’être abandonné par l’Etat.

A ce titre, le mandat de Nicolas Sarkozy aura encore aggravé la situation sans rien résoudre. La réduction des effectifs accroît encore la tension dans les établissements, d’autant plus que toutes les réformes du gouvernement semblent dictées par des purs objectifs comptables, quels que soient les conséquences pour les professeurs, accentuant encore la crise des vocations. C’est pourquoi il est urgent de remettre dans les priorités absolues la réforme de l’éducation nationale.

Ici aussi, le bilan du mandat de Nicolas Sarkozy est très mauvais, comme l’indique clairement l’effondrement du nombre de candidats au Capes. S’il n’est pas le seul responsable, loin de là, il n’a pas su redresser la situation. Pire, il l’a encore aggravée.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Ségolène Royale : elle n’a plus rien à dire

19/07/2011 20:05

Ségolène Royale : elle n’a plus rien à dire


Sur France 2, en deuxième partie du journal de 20 heures de Laurent Delahousse, Ségolène Royale qui se présente aux primaires socialistes dit vouloir, si elle est choisie par les sympathisants de « la gauche », rassembler, au 2ème tour de l’élection présidentielle, les socialistes (en est-elle capable ?), l’extrême gauche (slogan éternel : « Elections, pièges à cons »), les humanistes ( !?), les écologistes d’Eva Joly (C’est quoi la France ?) et … les gaullistes de droite.

Et de faire référence au général de gaulle !

« Comme le disait le général de Gaulle, la politique, c’est se tenir droit et regarder en avant« . C’est bien Ségolène Royal qui puise ainsi dans les morceaux choisis du premier président de la cinquième République.

Vouloir représenter, simultanément, l’extrême gauche, les socialistes de tendances diverses (Aubry, Hollande, et même Strauss Kahn),et les gaullistes dits de droite est une vue de l’esprit d’une candidate qui n’a plus rien d’intéressant à dire.

Mais pour ce qui concerne les gaullistes, je m’autorise à penser qu’elle n’est pas la plus habilitée à évoquer ce qu’elle a toujours combattu (comme son mentor François Mitterrand) : le gaullisme.

Il convient néanmoins de lui rappeler que le gaullisme est un tout. Il n’existe pas, hormis pour les slogans racoleurs notamment en périodes électorales, de gaullistes de droite, ou de gauche, ou social, ou souverainiste, ou humaniste, ou…

Mais rendons grâce à Ségolène de rappeler qu’il existe encore des gaullistes. Cependant, ils ne pourront lui être d’aucun secours. Un gaulliste ne fera pas un choix entre Sarkozy et celle (ou celui) qui représentera le PS. Un gaulliste de conviction rejettera l’UMPS. Bonnet blanc et blanc bonnet!

Et puisque Ségolène aime à citer le Général, en voilà une qui est tout un programme : << Ce n’est pas la gauche, la France ! Ce n’est pas la droite, la France ! Naturellement, les Français, comme de tout temps, ressentent en eux des courants. Il y a l’éternel courant du mouvement qui va aux réformes, qui va aux changements, qui est naturellement nécessaire, et puis, il y a aussi un courant de l’ordre, de la règle, de la tradition, qui, lui aussi, est nécessaire. C’est avec tout cela qu’on fait la France. Prétendre faire la France avec une fraction, c’est une erreur grave, et prétendre représenter la France au nom d’une fraction, c’est une erreur nationale impardonnable. >>

Alain KERHERVE

http://www.gaullisme.fr/2011/07/19/segolne-royale-de_gaulle/






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