Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

VIP-Blog de rgrs

Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

1591 articles publiés
2 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

Garçon (54 ans)
Origine : Hénin Beaumont
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Gaullisme local ] [ Revues des blogs ] [ Evènements ] [ TV, Radios, Journaux ] [ Lecture gaullienne ] [ Gaulliste libre ]

Par l'abstention ou le vote, les Français manifestent leur ras-le-bol

21/03/2011 06:56

Par l'abstention ou le vote, les Français manifestent leur ras-le-bol


Une abstention énorme, en progression de vingt points, un léger recul de l'UMP et des divers droite, une bonne tenue de la gauche, notamment grâce aux écologistes et au Front de Gauche, et une grosse poussée FN, les électeurs français ont manifesté leur ras-le-bol.


Ils ont voté et puis après ! », chantait Léo Ferré dans les années 1970. Le problème de ces élections cantonales est que justement, ils n'ont pas voté tant que ça. Cette faible participation risquait de jouer contre le Front National en mettant très haut - à 28% des votants la barre de qualification au second tour, ce qui risquait de réduire le nombre de triangulaires.
Que nous apprennent les premiers résultats, tels que nous les annoncent les sondages réalisés par Harris Interactive dans la journée ?

1) Un recul de la droite. 
Certes le score brut de l'UMP (15,76%) semble marquer une déroute du parti présidentiel. Mais avec 33,42% des voix au premier tour avec les divers droite, la droite ne recule que de 4 points par rapport à son score de 2004 où l'UMP ne totalisait que 20,95% toute seule et 37% avec l'UDF et les divers droite. En fait les calculs sont rendus compliqués par le fait que 800 listes de droite locale qui ont préféré se passer de l'étiquette UMP. Manifestement, les fuites semblent de situer du côté du Front National, le Modem, qui n'était présent que dans 237 cantons, ne paraissant plus en capacité de récupérer les électeurs umpistes.

2) Une gauche en tête sans profiter de l'ani-sarkozysme.
Avec 24,93% tout seul et  32,77% des voix avec les divers gauche, le Parti socialiste recule légèrement (33,5% en 2004) et continue de s'appuyer sur une gestion locale raisonnable et dans laquelle il dispose sans doute aujourd'hui de très bonnes compétences. Mais il ne bénéficie pas spécialement d'un bonus dû à son statut d'opposant à la majorité. En 2004, en additionnant les voix socialistes, PRG et divers gauche, on parvenait à 33,5% des suffrages. 
Europe Ecologie-Les Verts a un peu bénéficié de l'effet Japon avec 7% des voix, soit trois points de mieux que leur score de 2004. Enfin, le Front de Gauche sauve un Parti communiste mal en point : il faisait 7,79% en 2004, allié à Mélenchon il repasse la barre des 8% ce qui, selon Jean-Luc Mélenchon lui donne un score à deux chiffres là où il présentait des candidats.

3) Le Front national confirme sa poussée dans les urnes.
Avec 14,2% estimation Ministère de l'Intérieur) alors qu'il ne disposait de candidats que dans 1426 des 2026 cantons en lice (contre 1850 sur 2035 cantons en 2004), le Front national semble bien capter une bonne partie du mécontentement populaire. Cette performance ne doit pas grand chose à une implantation locale devenue assez faible depuis la scission mégrétiste et le recul du Fn en 2007. Elle confirme cependant que la poussée frontiste n'a rien d'une bulle médiatique : le score moyen du FN dans les 1426 cantons dans lesquels il se présentait est de plus de 20%, alors que ce type d'élection n'est pas son point fort et qu'il n'était qu'à 12% en 2004, deux ans à peine après que Jean-Marie Le Pen se soit qualifié pour le second tour. 

Il faudra, et c'est sur ce point que nous allons nous concentrer à présent, mesurer de façon plus concrète la façon dont ces grandes tendances se sont traduites au plan local. Mais une chose est sûre : la forte montée des abstentions comme les votes exprimés en faveur de la gauche et du Front national, manifestent un ralbol évident de la population. Le problème est que le Président a déjà tiré la carte du remaniement, et que l'action en Libye n'est pas un joker suffisant pour redresser le bilan plus que calamiteux de son magistère.

Philippe Cohen - Marianne

Estimation Ministère de l'Intérieur à 20h35

Extrême gauche 25.746 0,51%
Communiste 393.820 7,87%
Parti de Gauche 47.905 0,96%
Socialiste 1.245.290 24,87%
Radical de Gauche 90.524 1,81%
Divers gauche 304.904 6,09%
Europe Ecologie/Les Verts 348.716 6,96%
Ecologiste 12.827 0,26%
Régionaliste 22.781 0,45%
Autres 69.892 1,40%
MODEM 54.393 1,09%
Majorité présidentielle 298.199 5,96%
Union pour un Mouvement Populaire 788.959 15,76%
Divers droite 585.904 11,70%
Front National 712.387 14,23%
Extrême droite 4.849 0,10%
 
Dessin : Louison






La France n'est grande que lorsqu'elle est indépendante

21/03/2011 06:52

La France n'est grande que lorsqu'elle est indépendante


Une fois n’est pas coutume, j’apporte mon entier soutien au gouvernement dans sa décision d’intervenir pour éviter le massacre des insurgés Libyens.
Cette course contre la montre n’est d’ailleurs pas encore gagnée. Mais elle peut, à tout le moins, montrer au Colonel Kadhafi qu’on ne peut pas impunément s’acharner sur son peuple.
Comment d’ailleurs aurais-je pu reprocher à Nicolas Sarkozy sa myopie sur la révolution tunisienne et ne pas approuver l’énergie de la France et de son Ministre des Affaires Étrangères, Alain Juppé, pour défendre à l’ONU le principe d’une zone d’exclusion aérienne.
Il ne s’agit pas, contrairement à ce qu’écrivent certains, d’un droit d’ingérence permanent. Cela n’a rien à voir bien évidemment avec l’invasion de l’Irak qui était le fruit d’une manipulation politique sans précédent du Président Bush.
On peut bien sûr reprocher au Président de la République de s’être réveillé très tard - et le soupçonner d’arrière-pensées électorales - mais qu’importe lorsque l’essentiel est fait. Car ce qui compte en politique, c’est prendre de la hauteur.
Imaginons à l’inverse une France aux abonnés absents et les insurgés Libyens dans une mare de sang !
A cet égard, ces événements prouvent bien qu’il ne peut y avoir de politique étrangère Européenne, car il n’y a pas d’unité sur ces questions ; quand il faut agir, ce sont les Nations qui - seules - peuvent se lever.
Raison de plus pour ne pas se laisser brider par le pacte de l’euro car - on le voit dans cette affaire - c’est la France avec l’Angleterre qui interviennent, qui supportent le coût d’une politique de défense et c’est au contraire l’Allemagne qui pointe du doigt nos déficits. Mais nous en reparlerons.
Cette intervention montre aussi que nous devons nous dégager au plus vite du bourbier Afghan pour récupérer l’usage de nos troupes, et retrouver ainsi notre mobilité de défense.
En définitive, on le voit ici une fois de plus, la France n’est grande que lorsqu’elle est indépendante.
Nicolas Dupont Aignan
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/La-France-n-est-grande-que-lorsqu-elle-est-ind%C3%A9pendante





Libye : la France à la tête du combat pour la liberté

21/03/2011 06:46

Libye : la France à la tête du combat pour la liberté


Hier, Nicolas Sarkozy a réuni à l’Elysée un sommet pour mettre au point l’intervention militaire en Libye. Après le coup de bluff du cessez-le-feu de Kadhafi, l’aviation Française est intervenue la première pour bombarder des positions des troupes à proximité de Benghazi.

Merci à nouveau à Nicolas Sarkozy

Oui, merci à Nicolas Sarkozy pour avoir pris la direction effective des opérations, que personne ne semblait capable de prendre. Si l’opération aboutit et que la Libye se libère du joug du colonel Kadhafi, nous serons liés d’une bien belle manière au peuple libyen et cela sera grâce à l’action résolue du chef de l’Etat. En outre, notre diplomatie a su avancer de manière intelligente en obtenant l’accord des Nations Unies et de la Ligue Arabe et en refusant d’impliquer l’OTAN.

La réunion d’hier était un modèle du genre car nous avons impliqué les pays arabes, point essentiel pour ne pas donner une couleur colonialiste à l’intervention. Bref, non seulement la France dicte le tempo mais en outre, elle arrive à le faire en impliquant la communauté internationale au sens large. En outre, nous n’avons pas hésité à envoyer nos troupes en premier. Bref, même si nous ne pouvons pas être sûrs des résultats, l’intervention en Libye est remarquablement gérée.

La Libye n’est pas l’Irak

Certains s’inquiètent à juste titre de la possibilité d’enlisement. Mais tout d’abord, le fait qu’Hubert Védrine Alain Juppé et Nicolas Dupont-Aignan soient des partisans de l’intervention est a priori très rassurant. Ensuite, cette intervention n’a rien à voir avec celles d’Irak ou d’Afghanistan. Tout d’abord, il n’y a pas d’envoi de troupes terrestres, mais seulement des interventions aériennes. Ensuite, elle se fait avec l’agrément des Nations Unies et même de la ligue arabe, en impliquant ses membres.

Mais surtout, il ne s’agit pas d’envahir un pays pour faire tomber un dictateur et ensuite imposer notre modèle sans tenir réellement en compte la volonté du pays. Ici, il s’agit d’aider un peuple qui s’est soulevé contre son tyran et qui, après avoir failli le renverser, finit par ployer sous la répression armée de son autocrate. Ici, nous venons à l’aide des rebelles, à leur demande, en concertation avec la communauté internationale et sans arrière-pensées pétrolières.

Malgré tout, je comprends les limites d’une telle intervention, comme je l’ai souligné ces derniers jours. J’avais dénoncé la répression au Bahrein et je ne vois malheureusement pas ce qui pourrait être fait, à part des protestations verbales. Ce cas montre bien que si nous intervenons, c’est parce que le pouvoir Libyen n’est pas très fort. Cela souligne bien à quel point l’ingérence présente de grandes limites. Mais je persiste à croire qu’elle vaut le coup d’être risquées. L’alternative était-elle acceptable ?

Un merci qui n’absout pas tout

Bien évidemment, certains soupçonnent Nicolas Sarkozy d’arrière-pensées. Mais aurait-il été possible d’avancer aussi vite et fort uniquement avec cela ? Je ne veux pas croire que ce ne soit pas le souci humaniste de protéger le peuple libyen de son despote sanguinaire qui ait pu provoquer une telle réaction et convaincre la communauté internationale. S’il n’y avait pas eu cela, je ne peux pas croire que les dirigeants de tant de pays se seraient mis d’accord.

Et Nicolas Sarkozy est le chef incontestable de cette coalition. C’est pour cela que je l’ai remercié dans un papier il y a deux jours, qui a provoqué un gros débat sur le blog comme sur Marianne 2.  Bien naturellement, un satisfecit sur le dossier Libyen ne remet nullement en cause un jugement global extrêmement négatif sur l’ensemble de cette présidence, sans direction, faite de postures et dont les résultats demeurent très mauvais dans bien des domaines.

Néanmoins, je crois que ce n’est pas parce que l’on est un opposant résolu à un gouvernement qu’il faut sombrer à la facilité de critiquer tous ces faits et gestes. Parfois, j’ai eu l’impression que ses critiques du jour l’auraient également critiqué s’il avait laisser-faire. Si ce comportement peut plaire à des activistes, je crois qu’il oublie les Français moins engagés et qui ont moins de préjugés. En outre, les critiques perdent de leur valeur quand elles sont systématiques.

Bien sûr, la situation est loin d’être résolue. Kadhafi est encore là. Les rebelles affrontent le feu de ses troupes à Benghazi. Malgré tout, l’essentiel me semble être qu’à date, nous avons sauvé Benghazi.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Libye : merci Nicolas Sarkozy !

21/03/2011 06:42

Libye : merci Nicolas Sarkozy !


On pouvait ne plus y croire, mais la note d’Alain Juppé sur son blog pouvait laisser présager une issue plus positive : le ministre des affaires étrangères pouvait-il s’exprimer de la sorte s’il ne croyait plus à une intervention ? L’essentiel est là, une coalition internationale va intervenir en Libye.

L’espoir renaît à Benghazi

Comment ne pas se sentir fier et heureux de la décision prise par le Conseil de Sécurité? En effet, comme le souligne Hubert Védrine, nous étions sans doute à quelques jours d’un massacre à grande échelle, d’une véritable épuration des rebelles par le régime Libyen, ce qui a sans doute fait basculer la décision. Ce choix d’hier soir, aussi tardif soit-il, est historique : la communauté internationale a décidé d’intervenir dans une guerre civile contre un dictateur en place.

Il était très important d’envoyer un tel message car si nous avions laissé faire, alors tous les dictateurs de la planète auraient ainsi reçu une carte blanche pour réprimer comme bon leur semble tout soulèvement de leur population. Aujourd’hui, la communauté internationale a pris position contre l’oppression et pour la liberté. En outre, cette intervention a obtenu l’assentiment des Nations Unies (10 voix pour, 5 abstentions), de la Ligue Arabe et du CNT Libyen.

Et là, il faut remercier Nicolas Sarkozy dont il est clair aujourd’hui qu’il est le premier responsable de cette intervention. La France a été en première ligne pour secouer la communauté internationale, avec la Grande-Bretagne. Sans l’action de notre pays, il est clair que rien n’aurait été fait. Alain Juppé semble également avoir joué un rôle majeur, ne serait-ce qu’hier au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Les rebelles de Benghazi semblent l’avoir bien compris.

De la France et de l’Union Européenne

Cet épisode démontre également que, contrairement à ce que les déclinologues avancent, la France fait partie des quelques pays qui peuvent encore changer le destin de l’humanité. Comme en 2003, quand notre pays s’était fait le premier opposant à l’intervention en Irak, c’est notre pays qui a décidé la communauté internationale à faire quelque chose en Libye, malgré le scepticisme des Etats-Unis et le peu d’enthousiasme de la Chine et de la Russie.

Et alors que beaucoup de commentateurs vantaient l’action diplomatique d’Angela Merkel, qui critique publiquement les régimes dictatoriaux, ici, on voit que c’est une chose de parler et que c’en est une autre d’agir. L’épisode Libyen montre également que les seules réalités qui comptent sont les grandes nations. C’est l’action de deux grandes nations qui a tout changé. Parallèlement, l’Union Européenne n’aura été qu’un robinet d’eau tiède totalement inutile.

La critique n’a de sens que si on est capable de reconnaître également les réussites des personnes que l’on critique habituellement. Ici, Nicolas Sarkozy a joué un rôle véritablement historique. Merci pour la France et surtout merci pour les révoltés Libyens qui vont peut-être échapper à un destin funeste.

Laurent Pinsolle

http://www.gaullisme.fr/2011/03/19/libye-merci-nicolas-sarkozy/






Objectif Tripoli

21/03/2011 06:40

Objectif Tripoli


La guerre, du ciel à la terre : c’est inévitable

Au moment où la bataille pour le contrôle du ciel de la Libye est pratiquement gagnée, la question du contrôle du terrain reste plus que jamais ouverte. Comme l’ont démontré les deux guerres d’Irak et la guerre au Liban en 2006, la force aérienne, essentielle, ne peut pas à elle seule gagner une guerre. À moins d’un assassinat ciblé de Kadhafi, on ne voit pas comment les seules frappes pourraient mettre le régime libyen échec et mat. Or, pour le moment, les rebelles ne semblent pas être capables de mettre en place une force terrestre capable – même sous le parapluie aérien de la Coalition – d’occuper le terrain et de balayer physiquement les éléments armés qui soutiennent le pouvoir. Or, malheureusement, transformer une bande de civils jouant les Rambo en une force armée entraînée et efficace est un travail de longue haleine qui demandera bien plus de quelques semaines ou mois. En revanche, après plusieurs semaines de mobilisation, Kadhafi est arrivé à déployer des unités militaires de plus en plus efficaces.  

Le calcul des planificateurs de l’opération libyenne repose sur la psychologie : ils espèrent que l’usage massif de la force aérienne fissurera le pouvoir et poussera certains militaires à déserter ou mieux, à passer avec armes et bagages chez les rebelles. Mais les stratèges occidentaux ne se contentent pas d’espérer. Si on écoute attentivement les déclarations et commentaires des anciens chefs des armées américaines et britanniques – notamment le général US Wesley Clark et le général britannique Sir Mike Jackson –, on entend déjà la petite musique de la suite. Tous deux ont jugé utile de préciser le sens du terme « occupation » – strictement interdite par la décision du Conseil de sécurité. Selon les deux généraux, cela n’empêche pas le déploiement de forces sur le sol mais uniquement une occupation à long terme du territoire libyen. À bon entendeur… 

Pour être clair, si Kadhafi et son clan ne craquent pas rapidement, on peut s’attendre à des opérations de moins en moins aériennes. L’évolution vers une intervention terrestre est dans la logique des choses. Quoique nous racontent les communicateurs en uniforme, « défendre les civils » n’est pas un objectif militaire. Un militaire ne sait pas quoi faire d’un tel cahier des charges. Il comprend très bien, en revanche, si on lui ordonne de « détruire les capacités de combat des forces fidèles à Kadhafi ». Mais même clairement définie, cette mission est plus difficile à mener à bien qu’elle n’en a l’air. Détruire l’armée libyenne, d’accord – encore que le coup de la promenade de santé marche rarement – mais ensuite que faut-il faire des milices pro-Kadhafi montées sur des 4×4 Toyota ? Quelles différences y a-t-il entre celles-ci et les rebelles ? En quoi sont-elles « moins civiles » ? Dès qu’on en arrive à ce type de questions, on comprend qu’il ne s’agit pas seulement de mener une opération humanitaire armée mais de prendre parti dans une guerre civile et de faire tomber un régime.   

Ne tournons pas autour du pot. Ni un Rafale, ni un F-18 ni un drone ne feront pas l’affaire. Cette guerre sera longue et il faudra bien que quelqu’un prenne Tripoli pour aller extirper d’un certain bunker cet homme bizarre qui, depuis quarante ans, n’est pas seulement un dictateur local mais, et le mot est faible, un emmerdeur international.

Gill Mihaely

http://www.causeur.fr/objectif-tripoli,9243






Début | Page précédente | 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact rgrs ]

© VIP Blog - Signaler un abus