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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Pour qui votent les Français de l'étranger?

01/07/2011 09:25

Pour qui votent les Français de l'étranger?


Arès la nomination inédite d'un "secrétaire d'État chargé des Français de l'étranger" (David Douillet), petit rappel du vote des Français de l'étranger par rapport à celui de l'ensemble des Français aux élections présidentielles depuis 1981.

On remarquera que le vote des Français de l'étranger, bien ancré à droite, tend à se rapprocher de celui de leurs compatriotes. Sans oublier qu'aux prochaines élections législatives les Français établis hors de France éliront des députés spécifiques (les seuls qui ne représenteront donc pas la nation mais une fraction du peuple).

 

Élection présidentielle de 2007

  Royal Sarkozy
Ensemble des Français 46,94% 53,06%
Français de l'étranger 46,01% 53,99%

Votes détaillés du premier tour par pays

 

Élection présidentielle de 2002

  Le Pen Chirac
Ensemble des Français 17,79% 82,21%
Français de l'étranger 8,23% 91,70%

 

Élection présidentielle de 1995

  Jospin Chirac
Ensemble des Français 47,36% 52,64%
Français de l'étranger 41,44% 58,56%

 

Élection présidentielle de 1988

  Mitterrand Chirac
Ensemble des Français 54,02% 45,98%
Français de l'étranger 39,92% 59,25%

 

Élection présidentielle de 1981

  Mitterrand Giscard d'Estaing
Ensemble des Français 51,76% 48,24%
Français de l'étranger 29,75% 68,41%

 

Laurent De Boissieu

Sources: France-politique.fr et Sénat pour le vote des Français expatriés






Baroin : il a fait du Sarko face à Sarko

01/07/2011 09:16

Baroin : il a fait du Sarko face à Sarko


François Baroin a finalement été désigné pour succéder à Christine Lagarde à Bercy. Désigné ou imposé ? Le fils spirituel de Chirac, d'habitude si obéissant, a semble-t-il bien intégré le fonctionnement de la Sarkozye : exiger pour obtenir. Quitte à écraser ses petits camarades.

Un remaniement ça trompe énormément. Alors que Bruno Le Maire jubile, mardi 28 juin, convaincu d’avoir empoché l’un des plus gros portefeuilles ministériels (Bercy), François Baroin, de son côté, crie au scandale. Qui mieux que lui, ministre du Budget, peut remplacer Christine Lagarde à l’Economie ?  

Pas question pour l’ambitieux de se faire voler sa promotion. Et peu importe que le préposé à Bercy soit un « ami » de longue date. Privé de poste pendant les trois premières années du règne de Sarkozy, le maire de Troyes entend bien rattraper le temps perdu, même si cela signifie marcher sur les plates-bandes de ses petits camarades. Et pour se faire, il applique la bonne vieille doctrine de son nouveau chef : demander – menacer – exiger. Voire directement exiger.
Comme le révèle Guillaume Tabard sur son blog, Baroin, furieux, aurait demandé un rendez-vous à François Fillon pour lui jouer, en direct, son numéro de chantage. « L’échange » peut se résumer de la façon suivante : « Donnez-moi Bercy ou je démissionne ! ». Certaines mauvaises langues affirmant même que le ministre du Budget serait aller jusqu’à menacer de rejoindre le camp borlooïste que Sarkozy cherche, en vain, à dépouiller de ses figures de proue. Devant ce rapport de force imposé par le jusqu’à présent si discret ministre du Budget, Fillon et Sarkozy auraient cédé. De son côté, le ministre de l’Agriculture déchu avant même d'être nommé refuse de remplacer son désormais ex-copain au Budget.
Bref, pour la deuxième fois, le chef de l’Etat se laisse imposer son nouveau gouvernement. Même le plus chiraquien des ministres aura fini par « faire du Sarkozy », transposant ce dernier dans la peau de Chirac, qui en 2005, avait cédé aux menaces du patron de l’UMP en le nommant ministre de l’Intérieur. Sarkozy fait des petits. Pour son plus grand malheur.

Laureline Dupont - Marianne

Photo : (François Baroin - capture d'écran Dailymotion - Groupe_UMP_AN - cc)

http://www.marianne2.fr/Baroin-il-a-fait-du-Sarko-face-a-Sarko_a207974.html






Sur le marché des otages, le Français est à la hausse

01/07/2011 09:08

Sur le marché des otages, le Français est à la hausse


« La France ne verse pas de rançon » a affirmé fermement Alain Juppé lors de l'annonce de la libération des deux journalistes de France 3, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier. Une affirmation démentie par le journaliste Michel Peyrard, envoyé spécial de Paris Match en Afghanistan qui décrit le déroulement des négociations et démontre la monnaie d'échange particulière que constituent les journalistes otages. Un kidnapping lucratif.

Instrument de puissance, médiateur involontaire, monnaie d’échange l’otage est avant tout un objet de négociation notamment depuis la médiatisation à outrance de ces enlèvements. « Face à cette « technique » la communauté internationale manifeste diverses formes d’indignation stupéfaite. Chaque enlèvement est ressenti comme une surprise douloureuse et imprévisible que l’on traite au cas par cas comme s’il s’agissait d’une aberration isolée. Les gouvernements mettent ensuite longtemps à en identifier les motivations et les auteurs avant de négocier avec eux par des canaux clandestins rarement désintéressés et de se rendre à leurs exigences sinon politiques, au moins financières – même si cela est nié avec véhémence –, ce volet n’étant jamais absent des affaires d’otages, quand il n’en est pas au centre » analysait ancien chef du service de renseignement sécurité de la DGSE dans un texte intitulé Privatisation des conflits et prises d'otages.

Contrairement à la plupart des pays occidentaux et aux affirmations d’Alain Juppé -« la France ne verse pas de rançon »-, la doctrine française en matière de négociations est relativement souple. La France a la réputation de verser assez facilement des rançons aux ravisseurs contrairement aux états anglo-saxons que l'on dit « beaucoup plus durs en affaires ». Le gouvernement américain dit même ne pas prendre part aux négociations quand il s'agit de journalistes.  

De façon inhabituelle, voire maladroite, en avril 2009, Hervé Morin alors Ministre de la défense déclarait que la France avait « proposé une rançon » aux pirates somaliens qui retenaient le voilier Tanit, rompant là avec une attitude traditionnelle d'extrême discrétion des gouvernements sur le sujet.

Le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, avait assuré en novembre 2008 qu'il n'y avait pas de doctrine française en matière de paiement de rançon. « S'il y en avait une, je ne vous la donnerais pas, mais il n'y en a pas », avait-il dit sur Canal+, interrogé sur l'enlèvement en Afghanistan d'un humanitaire français, Dany Egreteau, libéré en décembre 2008. Pas plus tard qu’hier, toujours sur Canal +, le même Bernard Kouchner s’est montré beaucoup moins prudent évoquant précisément la possibilité d’une rançon dans le cadre de la libération d’Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier.


Revendications financières, diplomatiques, politiques etc.

Il existe plusieurs types d’otages comme l'explique l'ancien ambassadeur Jean-Christophe Rufin : « Pour les otages d'Areva, officiellement, on ne négocie pas, car on est dans la doctrine nouvelle de Paris. Mais en même temps, comme ces otages ont été pris chez Areva, rien n'interdit à l'entreprise d'avoir ses propres canaux. Les contacts privés existent donc, mais discrets, d'où la chape de plomb autour de ces négociations ».

Selon Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement sécurité de la DGSE : « il y a une composante islamiste, banditisme, trafic, mercenaire, le tout habilement mélangé dans un shaker ». D’où des prises d’otages assez longues, des revendications financières mais aussi diplomatiques, politiques, en termes de libération de détenus etc.

Les journalistes-otages constituent une monnaie d’échange particulière pour les ravisseurs. Au Liban, dans les années 80, l'enlèvement de journalistes était devenue une industrie. Tel Juppé, à la libération des otages d'Antenne2  en 1988, Charles Pasqua déclarera: «Nous n'avons cédé à aucune revendication, pas un franc, pas un dollar, pas un mark». Outre la fin du soutien de la France à l'Irak, le Jihad islamique, pour déminer le terrain, la France épurera une dette de 200 millions à la Syrie et l'Iran sera indemnisé à hauteur de 330 millions de dollars.

Dans un reportage exclusif diffusé mercredi sur le site de Paris Match, l'envoyé spécial du journal en Afghanistan, Michel Peyrard, raconte le déroulement des négociations engagées pour la libération de Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière, du côté des ravisseurs.

Le journaliste a pu rencontrer le « commandant Z », l'émissaire de Qari Baryal, le commandant taliban qui retenait les deux reporters de France Télévisions. Qari Baryal « figure en bonne position au sein de la liste des commandants les plus traqués par la coalition internationale », selon Michel Peyrard.

« Qari Baryal a fait récemment savoir à Quetta (NDLR, la ville où siège l’organe suprême des talibans ) qu’il fallait accélérer les négociations ou qu’il traiterait lui-même directement avec les Français »  explique le commandant Z: « Vendredi 24 juin. Nouveau contact avec le commandant Z. Les évènements s’accélèrent. Le message de Baryal a été entendu par l’organe suprême des insurgés. Selon notre interlocuteur, les talibans ont revu à la baisse leurs exigences financières — pratiquement de moitié — et ne demande plus que l’élargissement de deux des leurs, contre quatre précédemment, en échange de la libération des otages: le maulavi Ihsanullah, capturé blessé en janvier dernier dans le district de Tagab, en Kapisa, et Mohamad Yunus, un important taleb ».

Les fonds spéciaux de la DGSE

Outre l'élargissement des prisonniers, c'est la rançon qui constitue le « dur » de la négociation. Les rançons sont devenues un véritable pactole pour les groupes terroristes, le kidnapping une activité lucrative. L'euromillion du terrorisme ! Selon certains spécialistes, AQMI tirerait 90% de ses ressources des rançons obtenues contre libération.
Et la mort de deux français au Niger, le 7 janvier 2011, tués lors d'une opération de libération menée par les services français dit bien la difficulté de définir une doctrine ferme sur la question. Selon le quotidien londonien Times, la France, l'Allemagne et l'Italie auraient versé 45 millions de dollars pour la libération de leurs ressortissants en Irak.

Pour la France: 10 millions pour la journaliste Florence Aubenas, du quotidien Libération, libérée en juin 2005 après 157 jours de détention; 15 millions pour les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot, libérés en décembre 2004 après 124 jours de détention.

La DGSE dispose de fonds spéciaux votés par le parlement français (53,9 millions d'euros en 2011).
Plus qu'une rançon, les agents de la DGSE préfèrent expliquer qu'on achète une information, un silence,  un soutien, on rémunère des intermédiaires.

Fin août 2010, après l'exécution de Michel Germaneau, deux otages espagnols, Albert Vilalta et Roque Pascual, étaient libérés par AQMI. Cette libération aurait donné lieu au paiement d'une rançon et à la libération d'un membre de l'organisation. La France dénonce alors l'attitude espagnole dans le règlement de cette affaire
craignant une surenchère. AQMI parle quant à elle d'une « leçon pour la France et ses services secrets qui devront en tenir compte à l'avenir ». Si les autorités françaises ont toujours nié la possibilité d'un dialogue avec ses ravisseurs, dans le cas des journalistes de France 3, les liens avec les intermédiaires étaient réguliers.
Régis Soubrouillard - Marianne
 





Grèce : y a-t-il un plan B à la sortie de l’euro ?

30/06/2011 09:11

Grèce : y a-t-il un plan B à la sortie de l’euro ?


Alors qu’un nouveau prix Nobel vient de critiquer la monnaie unique, qui n’aurait jamais du être mise en place selon lui, la Grèce est sur le point d’accepter un nouveau plan d’austérité sauvage qui devrait débloquer la dernière tranche d’aide et déclencher un nouveau plan.

Austérité et plan de financement

C’est pour l’instant la voie choisie par la troïka technocratique BCE / Commission / FMI. La Grèce doit réduire drastiquement son déficit (pour viser l’équilibre en 2015) et réduire son rythme d’endettement. En échange, la communauté internationale finance l’intégralité de son besoin de trésorerie (premier plan de 110 milliards d’euros). L’idée est que la meilleure gestion du pays pourrait permettre à Athènes de pouvoir à terme faire face à ses obligations.

Mais cette voie apparaît comme totalement illusoire pour la plupart des économistes. En effet, la Grèce est insolvable et sera incapable de rembourser une dette qui pourrait bien atteindre 180 ou 200% du PIB dans trois ans. En effet, la radicalité des plans d’austérité a plongé l’économie dans une violente récession, qui, en réduisant la richesse nationale, alourdit encore le poids de la dette. Pire, les Etats, le FMI et la BCE se substituent aux investisseurs privés, assurant le risque de défaut.

Austérité et restructuration

C’est pour cela que de nombreux économistes appellent à une restructuration de la dette grecque qui semble aujourd’hui inévitable. Le très sérieux The Economist recommande cette semaine une réduction de 50%, qui correspond à l’évaluation actuelle des marchés. Les banques européennes pourraient absorber une telle somme. Il faudrait en revanche recapitaliser les banques grecques, dont l’exposition est trop forte pour une telle restructuration.

Cela laisserait la Grèce avec une dette d’un peu moins de 80% du PIB, une réduction automatique de son déficit de 3,5 à 4 points de PIB (économie d’intérêt) et diminuerait nettement son besoin de financement pour les années à venir (le déficit 2011 étant divisé par deux par exemple). Un tel scénario permettrait de grandement limiter le coût du plan à venir. On peut estimer que le besoin serait au minimum divisé par deux (moins de 50 milliards au lieu de 100).

La question de la compétitivité

Il est bien évident qu’une telle solution permettrait de grandement réduire la pression sur le gouvernement grec et donnerait sans doute une bouffée d’air dans cette crise sans fin de l’euro en réduisant fortement la pression sur Athènes. Cependant, tout ne serait pas réglé. Le pays ne serait pas pour autant tiré d’affaire car il présente un énorme déficit de sa balance commerciale et de ses paiements : il manque tous les ans 5 à 10% du PIB pour équilibrer ses comptes extérieurs.

Paradoxalement, la restructuration de la dette freinerait le rééquilibrage de la balance des comptes courants car la Grèce se retrouverait dans trois ans avec un budget à l’équilibre mais des comptes courants dans le rouge, nécessitant toujours une l’injection d’argent de l’étranger… En effet, le pays souffre cruellement d’un manque de compétitivité qui plombe ses exportations. Bref, la situation resterait instable à moyen terme, à moins d’un transfert permanent de 5 à 10% du PIB…

Du coup, la seule solution, évoquée par Patrick Artus dans une de ses notes, serait une dévaluation interne, une baisse des salaires pour retrouver de la compétitivité. Cela a déjà été entamé, mais l’économiste en chef de Natixis évoquait le chiffre de 35% ! Une telle évolution serait un cataclysme économique qui provoquerait des années de récession économique qui remettraient en cause le remboursement de la dette, même après un ajustement de 50%.

A moins d’accepter des transferts colossaux pour combler le déficit de la balance des paiements, les deux options qui se présentent pour la Grèce, en complément d’une restructuration de la dette, sont une baisse d’un tiers des salaires ou une sortie de l’euro. La deuxième n’est-elle pas plus humaine ?

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Petit conseil à la presse de mon pays

30/06/2011 09:06

Petit conseil à la presse de mon pays


Ne vous laissez plus escroquer par les instituts de sondages pour les élections primaires.

Mesdames et Messieurs les directeurs de rédaction des journaux, radios et télévisions,

Depuis quelques mois, vous commandez des sondages sur les primaires écologistes ou socialistes. Les instituts, que vous payez sans doute fort cher pour qu’ils vous livrent ce que je n’ose appeler des études, ne connaissent pas encore le corps électoral qui se déplacera lors de tels scrutins, sans aucun précédent dans notre pays ; ils ne bénéficient d’aucun recul pour effectuer leurs fameux redressements des données brutes. Cet automne, lors de son émission Petit Stream, David Abiker avait relayé une de mes questions via twitter, à l’un de ces responsables sondagiers : comment les instituts de sondages peuvent-ils donner des chiffres sérieux dans ces conditions ? « C’est le défi », avait-il répondu, si ma mémoire ne me fait pas défaut. Et, mon cul, c’est du poulet ?

Mesdames et Messieurs les directeurs de rédaction, maintenant que le premier tour de la primaire écologiste est rendue publique et qu’elle annonce Eva Joly largement en tête au premier tour, n’avez-vous pas l’air légèrement cons alors que vous annonciez la victoire dans un fauteuil de Nicolas Hulot ? N’avez vous pas l’impression d’être légèrement abusés ? Vous auriez tort. Normalement, le fait que vous occupiez cette fonction devrait garantir à vos lecteurs et actionnaires que votre cerveau est capable de ne pas prendre au sérieux ces études pifométriques.

Vous me trouvez sévère ? Allez ! Je vous donne une chance de vous rattraper. Arrêtez de commander et publier des sondages sur la primaire socialiste. Et dites à vos lecteurs, auditeurs et téléspectateurs que François Hollande, Martine Aubry, Manuel Valls, Ségolène Royal et Arnaud Montebourg peuvent tous accéder à la finale de cette compétition, attendu que vous ne savez pas qui se déplacera pour voter. Vous gagnerez des sous et vous aurez l’air plus intelligents. Peut-être ressentirez-vous une légère frustration mais cela vous évitera un ridicule moins discret que pour les écolos. Errare humanum est, persevare diabolicum.

David Desgouilles

http://blog.causeur.fr/antidote/petit-conseil-a-la-presse-de-mon-pays,002113






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