Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Dominique de Villepin et la nouvelle différence

15/06/2011 12:49

Dominique de Villepin et la nouvelle différence


Week-end très important pour le Président de République Solidaire qui réunit ses troupes le 19 juin pour fêter le 1er anniversaire de son Mouvement.

Ils devraient être entre 1 500 à 2 000 dimanche 19 juin pour fêter le 1er anniversaire de la création de République Solidaire, le Mouvement de Dominique de Villepin.

Il y a 12 mois, près de 6 000 personnes s'étaient rassemblées à la Halle Freyssinet dans un contexte alors très enthousiaste. Quelques mois plus tôt, déjà à la Maison de l'Amérique Latine, ils avaient été 1 500 à répondre à l'invitation du Club Villepin.

La "différence Villepin" était alors claire à tous égards : du style au contenu de l'offre politique.

12 mois plus tard, la situation a évolué. Le Président sortant a fait appel à de nombreux chiraquiens montrant sa volonté et sa capacité à pacifier les relations entre les droites. Les présences gouvernementales de MM Juppé, Baroin ont été décisives dans ce message bien au-delà des nouveaux parcours d'ex-villepinistes.

Dominique de Villepin a fait des gestes de meilleur dialogue sur le premier semestre 2011 passant par deux entretiens et une tonalité globale manifestement plus nuancée.

Mais surtout, les candidatures "différentes" au sein de la majorité présidentielle 2007 sont devenues plus nombreuses avec tout particulièrement la perspective de candidature de JL Borloo bien que ce dernier soit co-auteur du 4/5 ème du bilan du mandat présidentiel.

L'année 2010 avait été celle de la découverte du "nouveau Villepin" émancipé de l'UMP, trouvant plaisir à passer 7 heures au salon de l'Agriculture, multipliant le dialogue direct via son réseau social, débutant des visites prometteuses en régions ...

L'opinion voyait grandir une "alternative". 2011 devait alors être l'année de la consolidation du contenu, de l'offre de leadership comme de la sécurisation des moyens.

2011 n'est qu'à mi-parcours ; par conséquent, toute analyse définitive serait prématurée.

C'est sur ce chemin que le rendez-vous du 19 juin 2011 est important. Il doit être le socle de la "nouvelle différence" au moment où la différence initiale est troublée sur plusieurs des critères originels.

Ce sont les messages porteurs de cette "nouvelle différence" qui mériteront l'attention pour trouver le dynamisme qui, seul, est le meilleur tremplin pour une campagne de qualité.

http://exprimeo.fr/article/6915/dominique-de-villepin-et-la-nouvelle-difference.htm






Nicolas Dupont-Aignan : côté coeur

10/06/2011 14:08

Nicolas Dupont-Aignan : côté coeur


Invité et parrain de la première émission politique de la radio rock OuiFM, Nicolas Dupont-Aignan répond aux questions d’Alexis Tregarot sur ses goûts musicaux, littéraires, ou cinématographiques et avance quelques pistes pour l’avenir culturel de notre pays.

Nicolas Dupont-Aignan sur la radio rock OuiFM

http://www.debout-la-republique.fr/Nicolas-Dupont-Aignan-cote-coeur.html

 






Les Entretiens d'Antidote - Leroy versus Dupont-Aignan (I)

10/06/2011 14:01

Les Entretiens d'Antidote - Leroy versus Dupont-Aignan (I)


Le 12 mai dernier, Causeur publiait une interview de Nicolas Dupont-Aignan par Jérôme Leroy. En exclusivité pour le blog, Jérôme a bien voulu me faire parvenir l’ensemble du dialogue afin que j’en publie -en deux parties- les moments occultés il y a un mois.

 

Jérôme Leroy – Après une parenthèse utopique de politique fiction heureuse, votre livre s’ouvre sur Maestricht, précisant la date fondatrice. Précisément, comment expliquez-vous que toutes les tentatives de rapprocher les Républicains des deux rives depuis 92 aient d’une certaine manière échoué, alors que nous étions tous plus ou moins prêts ?

Nicolas Dupont-Aignan - Pour deux raisons. Le clivage droite/gauche imprime les consciences, et une sorte de sectarisme -à droite ou à gauche, qu’importe,- empêche de dresser des ponts. Et le peuple français n’avait pas encore pris conscience de l’inanité et  du caractère totalement dépassé et faux de ce clivage. Aujourd’hui, du fait du bilan général, les Français ouvrent les yeux. Nous étions en quelque sorte en avance sur notre temps. Je suis absolument convaincu que l’élection de 2012  ne va pas se jouer sur le clivage droite/gauche, mais sur le clivage mondialisation-oligarchie/réveil du peuple-République, donc sur ce concept de libération du peuple.

JL – C’est ce qu’on avait cru à un moment donné avec l’expérience de JP Chevènement, comment l’analysez-vous rétrospectivement alors qu’il avait osé franchir le pas par rapport à Philippe Seguin ?

NDA – C’était trop tôt. Il y avait encore l’espoir dans chacun des camps qu’il pourrait changer les choses. La droite et la gauche ont donc continué à tromper les Français. L’échec de l’expérience Sarkozy prouve bien que sans remettre en cause le cadre, on demeure dans le verbe.

JL - La question peut paraître iconoclaste pour un gaulliste, mais n’est-ce pas dû aussi aux mécanismes et aux logiques partisans propres à la Vème République, dont le mode de scrutin ?

NDA - C’est évident. Il faut peut-être imaginer un peu de proportionnelle. Ce sera la surprise de 2012. Je suis surpris par le nombre de courriers que je reçois de gens de gauche qui veulent voter pour moi parce que je suis le seul à remettre en cause ce cadre autoritaire et anti-démocratique qui est en train de ruiner notre modèle économique et social.

JL – Même si effectivement la monnaie est la mère de toutes les batailles [voir entretien sur Causeur], n’avez-vous pas peur d’oublier d’autres abandons de souveraineté, notamment dans le domaine de la politique étrangère ?

NDA – C’est simple à reprendre, si je puis dire. On peut sortir de l’OTAN assez facilement. Pensez qu’en période de disette budgétaire on envoie 800 militaires au quartier général de l‘OTAN ! Le cœur du problème, c’est la marge de manoeuvre budgétaire et économique. Sortir de l’euro c’est une bulle d’oxygène pour nos entreprises et c’est retrouver notre liberté monétaire. C’est au coeur de tout. On règle d’un côté le problème du budget, donc du financement de nos services publics, et on règle le problème de la croissance économique et de la compétitivité du pays. Avec une seule clé, ce qui est beaucoup. Voilà pourquoi je me suis concentré là dessus. Mais il y a d’autres exemples. Il y a l’aspect législatif, le fait que le Parlement français n’est là que pour recopier des directives décidées par d’autres. Tout est une question de liberté. Il faut reprendre en main notre liberté juridique, législative, monétaire, de défense.

JL – J’en arrive à une forme de contradiction que j’aimerais voir éclaircie. Il s’agit pour vous très clairement de casser la logique financière propre au capitalisme mondialisé devenu à peu près fou. Comment pouvez-vous envisager de le faire sans rompre d’une manière ou d’une autre avec l’économie de marché, en reprenant une économie fortement administrée. Préconisez-vous finalement un libéralisme national ?

NDA - Aujourd’hui, les petits entrepreneurs ont très bien compris que l’économie de marché était totalement pervertie dans un système oligarchique. Il n’y a pas incompatibilité entre une économie de marché régulée et une reprise en main des intérêts stratégiques de l’Etat. On peut, d’un côté, baisser les charges sur les PME et ,de l’autre, taxer les grands groupes. On peut, d’un côté, libérer les initiatives dans notre pays et, de l’autre, investir massivement dans le secteur de l’énergie en renationalisant EDF, GDF et Total et en faire les vecteurs d’investissements stratégiques. Je n’oppose pas les deux. Nous avons besoin  d’un minimum d’esprit d’initiative. La France ne doit pas s’enfermer dans une espèce de néo-soviétisme dangereux qui casserait l’initiative privée. Elle ne doit pas être étouffée au niveau local par des charges, des réglementations. Mais elle doit être libérée de l’emprise oligarchique. Malheureusement, on fait exactement l’inverse à l’heure actuelle. On accable les petits entrepreneurs et on permet à des grandes entreprises -que j’appelle les oligarques- de s’emparer des services publics et des profits d’une rente sans aucune concurrence, ce qui les dissuade d’investir dans l’économie réelle.

JL – Comment inverser la tendance ?

En se débarrassant de ces parasites que sont les oligarques du régime, les grandes banques, le secteur de l’énergie. Tous ces gens fonctionnent dans une économie mixte et non plus privée. Mais à la différence de l’économie mixte de Mitterrand, c’est le privé qui commande l’Etat ! C’est dangereux. On a besoin d’initiative privée, de concurrence. L’emploi se créera par des initiatives ; le peuple français est inventif ; il y a de très bons entrepreneurs dans notre pays. Mais une petite caste de 2 à 3000 personnes s’est emparée des leviers de commande et est en train de complètement appauvrir et affaiblir notre pays. Cela rappelle un peu les fermiers généraux à la veille de la Révolution. . C’est ce qu’il faut casser pour libérer les énergies.

JL - Quels sont les services publics auxquels il ne faudrait pas toucher ? Pour lesquels on dit « le périmètre du marché s’arrête là » ?

NDA - L’éducation, la santé qui sont aujourd’hui les deux prochaines cibles. C’est tellement plus simple pour les oligarques de conquérir des marchés publics qu’ils privatisent et qu’ils rackettent que d’investir dans l’économie réelle, dans la science, d’obtenir de nouvelles positions. Il faut cadenasser le secteur de l’éducation, de la santé, reconquérir le secteur de l’énergie -absolument vital-et celui des banques, du crédit, et des transports. Tout simplement parce que dans ces secteurs, il n’y a pas de concurrence privée. Or, il y a nécessité pour un pays de taille moyenne d’avoir des économies d’échelle. Il faut donc rétablir certains monopoles publics et rompre avec les accords de Barcelone de libéralisation. C’est simple, et c’est une question d’efficacité, pas idéologique. Il faut aussi revoir le fonctionnement de certaines entreprises publiques, pour éviter qu’il y ait des citadelles de confort clientélistes. Il ne s’agit pas de dire « le public est toujours génial ». Pour le reste, il faut au contraire libérer les initiatives.

JL-: Pensez-vous que le monde enseignant soit une citadelle par exemple ?

NDA - Oui et non. L’administration du ministère est une citadelle où règnent notamment les idéologues pédagogistes qui ont fait tant de mal.

JL - Que pensez-vous de l’autonomie des établissements scolaires ?

NDA - J’y suis totalement hostile. C’est une aberration, comme l’autonomie des rectorats. Soit on a un système privé -et j’y suis hostile- soit on a un système dirigé, mais on ne peut pas avoir un système en apesanteur.  C’est la pire des situations. Il faut remettre sous tension l’éducation nationale. Après l’emploi, ce sera la deuxième priorité de ma campagne présidentielle.






Thierry Saussez : Promoteur de l'optimisme ... sarkozyste !

10/06/2011 13:52

Thierry Saussez : Promoteur de l'optimisme ... sarkozyste !


Probablement frustré par son éviction à la tête de la communication gouvernementale, Thierry Saussez vient de publier un livre de conseils destiné à rendre aux français leur optimisme et à voter pour ... Nicolas Sarkozy en 2012 !


Eloigné de la communication gouvernementale, pour avoir été fort dispendieux, Thierry Saussez essaye de rebondir. Il le fait au travers d'un livre bourré de conseils, citations et de statistiques : « Manifeste pour l'optimisme »

Statistiques qu'il voue aux gémonies, comme l'Internet, les média anxiogènes et les socialistes qui : « (..) continuent à publier des propositions sans jamais dire comment elles sont financées (...) » N'oubliant pas au passage d'expliquer que : « (...) Nicolas Sarkozy est dans la vraie vie, n'a pas de double discours et déborde d'énergie qui le fait sillonner le monde pour réguler la finance internationale et faire reculer la spéculation (...) »

Si tout le monde a oublié ses campagnes sur le pouvoir d'achat : « Pouvoir d'achat, vous êtes impatients ? Nous aussi » ou celle sur les TMS qui montrait
un coude en train de parler, ou bien celle du grand emprunt . Ainsi que l'échec de son idée de propagande, qui consistait à mettre en place, une « émission de communication gouvernementale ». D'autres se souviennent par contre, qu'en pleine crise économique, celui-ci réclamait une hausse de 300% du budget de communication du gouvernement !

Je suis certain que ça ne vous étonnera pas, mais, lorsque j'ai lu «
indignez-vous » de Stéphane Hessel, j'ai pensé au parcours de ce « jeune homme » de 93 ans et sa puissance de conviction. Par contre lorsque j'ai lu le dernier opuscule de Thierry Saussez, j'ai immédiatement pensé aux millions d'€ dépensés pour faire fonctionner france.fr, la fameuse vitrine de la France sur le Net

Néanmoins, Thierry Saussez l'affirme dans l'avant propos de son livre : « J'avais commencé mon ouvrage lorsqu'est sorti un best-seller inattendu, un petit livre d'à peine trente pages intitulé : Indignez-vous ! (...) J'ai trouvé dans ce livre bien des poncifs (...) la machine à déprimer, l'angle systématiquement négatif (...) le yaka, faut qu'on pour tout faire financer par l'état providence (...) »

Et Saussez de fustiger : « (...) la nostalgie d'un passé qui ne reviendra jamais (...) »

Non, ce qu'aime Saussez, c'est le modernisme ... du journal de 13H00 de TF1 ! Qualifié par lui de « moins anxiogène » que les autres, au fait qu'on y : « (...) trouve toujours du frais, de l'original, du positif (...) on va sauver des platanes du canal du Midi (...) une maison de retraite met des animaux de compagnies à disposition de ses pensionnaires (...) On sait tout de l'épicerie-café-boulangerie d'une petite commune de 250 habitants de la Manche qui connaît un succès fou avec ses brioches (...) on part régulièrement à la rencontre des français sur le terrain pour partager la vie quotidienne de postiers, marins-pêcheurs, agriculteurs (...) »

Ainsi, selon Saussez, nous cultiverions à tord, la défiance envers : la religion, l'histoire, la politique et surtout (il insiste tout particulièrement sur ce point) : L'argent. Mais aussi l'économie de marché, la compétition et la mondialisation.

Ce qui, vous en conviendrez, est assez farce, lorsqu'on sait que les « clients» de Thierry Saussez auront été : Jacques Chirac, Edouard Balladur, Nicolas Sarkozy, ainsi que des chefs d'état européens et africains, qui ont utilisé des fonds publics, pour se payer ses talents. Et, anecdote : qu'au niveau français il est membre et élu de l'UMP.

Au delà de ce livre qui se veut selon Saussez, une réponse à : « (...) ce monde virtuel dans lequel nous exagérons nos souffrances, nous recourons à la victimisation et nous cherchons des boucs émissaires » (S'adresse t-il à Claude Guéant -immigration - ou Laurent Wauquiez - RSA - ? ) Il a également créé un
site web sur lequel il nous propose de devenir : ambassadeur de l'optimisme précisant : « Ne vous indignez pas. C’est sans espoir et sans solution » et nous invite à jouer à : Quel optimiste êtes vous ? Permettant de gagner : une paire de Lunettes « Alain Afflelou » en édition limitée.

Pas certain que ça déride des français, préoccupés par : l'emploi, le pouvoir d'achat, la santé et la qualité des soins, l'école et la qualité de l'enseignement, les inégalités sociales, le logement, ...

SLOVAR

http://slovar.blogspot.com/







"Pour l'Allemagne comme pour la France, le choix est de sortir de l'histoire ou de la continuer ensemble"

10/06/2011 13:47



Jean-Pierre Chevènement était invité mercredi 8 juin 2011 par Ségolène Royal et Désirs d'Avenir à une "Université Populaire Participative" sur la France et la République. Il a pu exposer les grandes lignes de son livre "La France est-elle finie?".

Verbatim Express :

  • Il n'y a pas d'action féconde dans la durée si elle ne s'enracine pas dans des analyses, dans une conviction longuement murie. La mienne l'est.
  • Je pense qu'entre Ségolène et moi, le courant passe. Je sais qu'elle est enracinée dans l'idée que la France se fait d'elle même. Je partage également avec elle la conviction que nous ne devons pas laisser le patriotisme à la droite.
  • Entre 1981 et 1983, nous n'avons pas fait le choix d'industrialisation, de poursuite des trente glorieuses c'est à dire de regain français. En acceptant le SME puis l'acte unique, nous avons fait un choix « réaliste » dans l'immédiat mais qui, à terme, n'était porteur ni pour la gauche et le socialisme, ni pour l'Europe.
  • La crise actuelle de l'euro était contenue dans la vision initiale, erronée il faut le dire : celle qu'on pouvait faire une monnaie unique pour des pays très différents.
  • A la question « comment sortir de la situation actuelle ? », M. Sarkozy répond « il faut garder le triple AAA ». Comment mieux reconnaître que ce sont les agences de notation qui désormais font la politique de la France ?
  • Le cas de la Grèce est la démonstration « in vivo » de l'imbécilité de la démarche d'austérité.
  • La solidarité européenne ne sera jamais aussi efficace que la solidarité nationale.
  • Ségolène avait proposé, au congrès du PSE à Porto, de donner à la BCE des missions de croissance et d'emploi. Ce fut un tollé. Mais ils avaient tort et elle avait raison.
  • Le mitterrandisme n'existe pas. Chacun a son petit Mitterrand dans la poche et le lit à sa manière.
  • Il faudrait chuchoter à l'oreille de Mme Merkel un certain nombre de choses, notamment que l'intérêt de l'Allemagne n'est pas de faire cavalier seul. Son marché intérieur est la zone euro.
  • Les choix à venir ne pourront se faire sans l'Allemagne. Il y a eu inversion du rapport de force. Mais notre force est politique : l'Allemagne a besoin de nous pour donner une caution européenne à sa politique. Cela ne doit pas se faire sans contreparties.
  • Je ne suis pas d'accord avec Ségolène sur le domaine énergétique, c'est une litote. Le pari sur le solaire et l'éolien est sympathique, mais les coûts de revient sont aujourd'hui largement supérieurs.
  • Pour l'Allemagne comme pour la France, le choix est de sortir de l'histoire ou de la continuer ensemble.
  • Au cœur de la refondation d'une gauche de gouvernement qui tienne dans la durée et qui réponde à l'intérêt national comme à l'intérêt européen, il y a notre capacité à lier les valeurs de la République et les valeurs des Lumières.
  • La gauche doit également se réapproprier les valeurs de transmission : valeur de l'éducation, valeur du travail bien fait. Ce ne sont pas des valeurs de droite. Jaurès avait compris cela, De Gaulle également car ils avaient la vision.
  • Il faut réindustrialiser le pays. Nos grands groupes ne renvoient pas l'ascenseur, n'aident pas leur sous-traitants et ne nous permettent pas d'avoir les PMI de l'Allemagne.
  • Notre travail, nous devons l'orienter vers la jeunesse, vers des générations qui peuvent, à bon droit, estimer qu'elles n'ont pas été bien traitées. Les perspectives qui leur sont offertes se sont réduites.

Le discours de Ségolène Royal est disponible sur son blog.
 





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