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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Les gadgets du gouvernement

20/04/2011 11:50

Les gadgets du gouvernement


Le candidat Nicolas Sarkozy perce de plus en plus sous le président. Pour essayer de muscler un bilan désastreux (à défaut de lui donner une cohérence, ce qui est mission impossible), le gouvernement bombarde la France de mesures plus gadgets les unes que les autres.
Communiquer au lieu de gouverner
Nicolas Sarkozy a quelque peu repris la main depuis les cantonales. Le gouvernement multiplie les annonces pour essayer d’améliorer le passif du président. Comme il se voulait celui « du pouvoir d’achat », on concocte des mesures plus ridicules les unes que les autres. Cela a commencé par le panier à moins de vingt euros, qui ne fera pas gagné un centime aux consommateurs. Ensuite, de manière bien cynique, la prochaine hausse du prix du gaz aura lieu le 1er juillet 2012 !
Mais ce n’est pas tout. Pour paraître imposer aux grandes entreprises, dont les profits et les dividendes explosent, un plus grand partage des profits, au profit de leurs employés, le gouvernement essaie d’inventer une « prime aux salariés » dans les entreprises versant des dividendes à leurs actionnaires. Cette réinvention de la roue (l’intéressement) a provoqué une belle cacophonie avec l’annonce d’un montant de mille euros par François Baroin contredit par Christine Lagarde.
Et Claude Guéant, après avoir qualifié l’immigration « d’incontrôlée », oubliant au passage que le président sortant en est plus ou moins responsable depuis neuf ans, a décrété que nous avions besoin de réduire les flux migratoires de 10%. Mais il est difficile de comprendre  en quoi cela changerait fondamentalement les choses. Enfin, même si cela n’a pas encore trop attiré l’attention des médias, le gouvernement veut supprimer le classement de sortie de l’ENA
Des postures pathétiques
On retrouve quelque peu l’activisme débordant des débuts du mandat, quand les annonces succédaient aux annonces, dans un tourbillon alors inédit qui permettait au président de dicter l’agenda médiatique en sa faveur. Mais le problème est qu’entre temps, Nicolas Sarkozy et son gouvernement ont beaucoup perdu en crédibilité. Ce n’est pas tout d’annoncer de nouvelles mesures mal ficelées, qui font débat au sein même du gouvernement, mais il faut que cela ait un sens global.
En outre, il y a un grand écart entre la parole et les actes. Il nous avait promis de moraliser et refonder le capitalisme ? La France est à la traîne de la Grande-Bretagne et de la Suisse sur la réforme de la finance, c’est dire. Et la présidence du G20 se résume à chercher des indicateurs des déséquilibres : trois ans après Bear Sterns, c’est ridicule. Le président ne se rend pas compte de l’écart immense entre la grandiloquence de ses discours et la petitesse des mesures qu’il prend.
Les annonces récentes pour essayer de donner du contenu à son bilan sur le pouvoir d’achat sont pathétiques et montrent surtout qu’il a échoué sur cette question. C’est tout le paradoxe de cette agitation, qui ne fait que souligner plus durement encore la minceur du bilan de cette présidence. Nicolas Sarkozy pointe le doigt là où cela fait mal sans y apporter de réponses crédibles. Résultat, les sondages restent en berne, et le Front National rafle la mise.
Les prochains mois risquent de ne pas être tristes. Le président sortant, et probablement sorti dans un an, va s’agiter pour essayer de faire en douze mois ce qu’il n’a pas fait en quatre ans. Mais la superficialité de ces gadgets rappellera à des Français qui n’y croient plus qu’il ne s’agit que de postures. 
Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Nicolas Sarkozy comme un récidiviste sur les lieux de son crime

20/04/2011 09:09

Nicolas Sarkozy comme un récidiviste sur les lieux de son crime


En se rendant ce matin là où il avait promis aux ouvriers de ne pas les trahir, Nicolas Sarkozy se met dans la peau d’un récidiviste qui retourne sur les lieux de son crime. Il ajoute ainsi l’indécence à la trahison.
En effet, lors de sa campagne électorale, le candidat Sarkozy avait fait naître un véritable espoir parmi les classes populaires. Il s’était adressé aux travailleurs pauvres et leur avait juré de mettre fin aux délocalisations, de mieux les protéger dans une compétition mondiale inhumaine et de leur rendre leur dignité.
Or, le président Sarkozy aura été - une fois élu - le meilleur artisan du système qu’il avait si violemment critiqué à des fins électoralistes. Plus que tout autre, il a conforté le système mondialiste qui dépèce nos industries pour mieux faire travailler esclaves chinois et prolétaires indiens. Plus que tout autre, il a sanctuarisé l’euro, instrument de domination de la finance sur l’économie réelle et véritable machine à délocaliser en masse.
Mais le plus inquiétant, c’est encore que Nicolas Sarkozy, de nouveau en campagne, juge les Français suffisamment stupides pour tomber deux fois dans le même piège !
C’est pourquoi plus que jamais un véritable programme alternatif est nécessaire à droite pour redonner confiance au peuple qui a aujourd’hui toutes les raisons de ne plus croire dans la classe politique qui les gouverne.
Nicolas Dupont-Aignan,
Député de l’Essonne et président de Debout la République.





La politique de l’autruche

20/04/2011 09:05

La politique de l’autruche


Une fillette de 5 ans est victime vendredi dernier d’un viol. On apprend ce matin que le suspect est un récidiviste déjà condamné à deux reprises en 1996 et en 2009. A chaque fois, bien sûr, il n’a pas effectué la totalité de sa peine…
Le Ministre de l’Intérieur fait bloquer un train entre l’Italie et la France pour éviter l’entrée de réfugiés tunisiens à qui l’Italie a accordé des titres de séjours provisoires. Mais ce même ministre se refuse à remettre cause l’espace Schengen qui supprime les frontières nationales !
Le Ministre du Travail Xavier BERTRAND évoque l’idée de réduire la liste des métiers autorisant le recours à la main d’œuvre étrangère en raison des difficultés de recrutement. Madame PARISOT, Présidente du MEDEF, veille au grain et rappelle que c’est Mme LAGARDE qui avait signé l’arrêté en 2008.
Le cours des actions des banques françaises chute en bourse car on apprend que l’idée d’une restructuration de la dette grecque (terme élégant pour dire que ce pays ne pourra pas rembourser ce qu’il doit) fait son chemin. On m’avait traité de pessimiste quand j’avais dit il y a un an que le plan de sauvetage européen était voué à l’échec car plongeant la Grèce dans une récession cumulative sans issue. Pour autant, la seule solution possible pour ce pays : la sortie de l’euro est toujours rejetée comme un tabou.
Ces quatre informations de la journée ont un point commun, le refus des dirigeants politiques français de regarder la réalité en face et leur incapacité à prendre les mesures qui s’imposent. Le remplacement des actes par des discours et des attitudes volontairement provocatrices mais sans aucun effet. Et pourtant on sait très bien ce qu’il faudrait faire pour enfin résoudre les problèmes de notre pays.
Pour éviter les crimes atroces, il serait temps d’appliquer les peines de prison !
Pour empêcher les flux migratoires, il y a urgence à rétablir les contrôles aux frontières.
Pour favoriser l’embauche des jeunes qui dans nos cités cherchent du boulot ou des séniors en fin de droit, il serait temps de rappeler à l’ordre le MEDEF.
Pour relancer la croissance en Europe et sauver les pays du Sud et la France, il faut sortir de l’Euro et rebâtir une vraie coopération entre les nations.
Une chose est sûre, en entendant à la radio ou à la télévision les évènements se succéder en se répétant les déclarations jamais suivies d’actes concrets autres que symboliques, nos concitoyens comprennent que pour sortir de l’impuissance publique qui gangrène notre pays il faut une vraie alternative.
Nicolas Dupont Aignan
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/La-politique-de-l%E2%80%99autruche





La crise des dettes souveraines passe l’Atlantique

20/04/2011 09:01

La crise des dettes souveraines passe l’Atlantique


La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre hier soir : l’agence de notation Standard & Poors a abaissé à négative la perspective de la note des Etats-Unis. Les bourses mondiales ont immédiatement réagi à ce nouveau développement de la crise des dettes souveraines.
D’Athènes et Dublin à Washington
Cette crise a commencé l’an dernier avec l’explosion des taux auxquels empruntent les Etats de la périphérie de la zone euro, Grèce, l’Irlande le Portugal. Pour éviter qu’ils ne se trouvent dans l’incapacité de financer leurs échéances, l’Union Européenne a créé un fonds leur permettant de se financer à un taux inférieur aux marchés. Mais cette « aide » est assortie de plans d’austérité sauvages qui accentuent la crise et ne résolvent finalement rien au problème de dettes.
Un an après, on constate que ces plans de « soutien » sont un échec : il suffit de regarder à Athènes pour le comprendre. La situation est intenable. L’austérité casse la croissance, qui limite les recettes de l’Etat, fait augmenter les dépenses et donc plombe les efforts de redressement des finances publiques faisant d’autant plus exploser la dette que le PIB recule. La situation de la Grèce est aujourd’hui désespérée et la question n’est pas de savoir si Athènes restructurera mais quand.
Alors qu’on s’attendait à ce que la crise touche l’Espagne, c’est au tour des Etats-Unis d’être touchés. Il faut dire que la victoire des républicains aux élections de cet automne a produit un accord budgétaire où les baisses d’impôt décidées par Georges Bush ont été prolongées contre un maintien de certaines dépenses : résultat, le déficit budgétaire devrait atteindre 10% du PIB en 2011. Alors que les déficits baissent partout, ils restent abyssaux à Washington.
C’est grave docteur ?
C’est dans ce contexte que la révision de la note des Etats-Unis est particulièrement inquiétante. En effet, la crise de 2008 a montré la capacité auto-réalisatrice du système financier actuel. L’éventuel abaissement de la note pourrait provoquer une hausse des taux, déséquilibrant plus encore les finances publiques du pays, provoquant une baisse de la note. Le cercle vicieux qui avait conduit à l’explosion de la bulle des subprimes pourrait également avoir lieu sur les dettes publiques.
S’agit-il d’un simple avertissement ou d’un prélude à une grave crise, le véritable effondrement du système financier comme le pronostique depuis longtemps le GEAB ? La crise pourrait-elle avoir lieu dès 2011 ou faudra-t-il attendre plusieurs années ? Il y a un peu plus de deux ans, j’avais pronostiqué comme point de départ d’une nouvelle crise financière un défaut de l’Italie suite à une augmentation des taux consécutive à une hausse de l’inflation, mais c’était en 2016…
Pour l’instant, il faut encore garder la tête froide car la note des Etats-Unis n’a pas été baissée et la Fed semble résolue à tout faire pour éviter une crise. En outre, une crise sur la dette étasunienne serait terminale pour le système financier. Les marchés ont-ils vraiment envie de jouer sur leur propre perte ? Le risque le plus probable reste en Europe, avec cet euro qui impose des politiques intenables à l’ensemble des pays du Sud de l’Europe ou  l’Irlande.
Il est probable aujourd’hui que la prochaine crise (terminale ?) du capitalisme viendra d’un défaut d’un Etat. L’Europe semblait en pôle-position avec la Grèce, l’Irlande ou le Portugal. A force de laxisme budgétaire, les Etats-Unis les ont rejoints. Nous n’attendrons sans doute pas 2016… 
Laurent Pinsolle





Les prestations de madame l’ambassadeur : Sarkozy hypo-président, la preuve par Yade.

20/04/2011 08:57

Les prestations de madame l’ambassadeur : Sarkozy hypo-président, la preuve par Yade.


On ne pourra pas l’enlever à Nicolas Sarkozy. Sous son mandat, les mœurs politiques ont bien changé. N’ayons pas peur des mots, c’est bien à une révolution qu’on a assisté.

Ce soir, c’était encore une cerise supplémentaire sur le gâteau. Un ambassadeur de France était invité au Grand Journal de Canal +.  Ce représentant du gouvernement français auprès d’une institution internationale n’était pas mandaté par le Quai d’Orsay pour défendre la politique étrangère de notre pays. Pas du tout. Elle -puisque l’ambassadeur est une dame,- était interrogée sur son engagement politique. Il  y fut question de son départ de l’UMP, de son engagement  auprès du parti radical valoisien de Jean-Louis Borloo. Il y fut question de sa prise de distance envers la politique du gouvernement. A un moment de l’émission, Ali Baddou lui a quand même fait remarquer que, tout de même, elle était ambassadeur de France. Elle n’a pas relevé. Un détail, n’est ce pas ? D’ailleurs Ali Baddou n’a pas insisté. Quant à Aphatie, il ne semblait pas gêné outre mesure par cette confusion des genres. Le réalisateur, en revanche, semblait plus taquin. L’incrustation « ambassadrice de France à l’UNESCO » est apparue plusieurs fois sur notre écran pendant que la diplomate expliquait pourquoi elle avait décidé de quitter le parti du président. Madame l’ambassadeur ne sera pas virée demain matin. Nicolas Sarkozy est trop affaibli  pour décider telle mesure. Sa majorité prend l’eau. Et par rapport à madame l’ambassadeur, il s’est toujours montré… débonnaire. Lorsqu’elle était secrétaire d’Etat, elle a, par deux fois, pris le contre-pied de ses ministres de tutelle. Le moment Kadhafi fut un modèle du genre puisqu’elle avait donné une leçon de droits de l’homme à Bernard Kouchner. Plus tard, elle s’est aussi opposée à Dame Bachelot, défendant certaines rémunérations défiscalisées des sportifs de haut-niveau. Mais comme il avait été expliqué à l’époque, elle n’aurait jamais, à l’instar d’un Chevènement, démissionné pour ouvrir sa gueule. Elle l’ouvrait et elle restait. Le Président a dû attendre six mois et le prochain remaniement pour l’exfiltrer sans en faire une martyre. On croyait qu’elle allait retourner administrer le Sénat mais le Président a jugé bon de la nommer ambassadeur. Ainsi, puisque les ministres causent sans démissionner, allait-il la faire taire en lui offrant un poste où la discrétion est de mise. Caramba ! Encore raté !

Jamais la fonction présidentielle n’a jamais été aussi abaissée. Jamais elle n’a manqué autant d’autorité. Merci à Rama Yade  -puisque tout le monde l’aura reconnue- de mettre ainsi en lumière cette évidence. Rendez-vous compte qu’il y a encore dans ce pays des gens qui parlent d’hyper-présidence, de présidentialisme, de monarchie républicaine à propos du pouvoir actuel. Tous ces gens, à commencer par le premier d’entre tous, Edwy Plenel, ce comique de haut vol, doivent à tout prix se lancer dans une tournée à travers la France. Le Plenel-Comédie-Club, ça en jette, non ?

David Desgouilles






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