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Colloque de la Fondation Res Publica: Radiographie des entreprises françaises
31/03/2011 07:56
Poursuite du programme de colloques de la Fondation Res Publica lundi 4 avril 2011 à 18h à la Maison de la Chimie (28, rue Saint Dominique 75007 Paris). En voici le programme ci-dessous.
Avec la participation de :
- Louis Gallois, président d'EADS
- Laurent Faibis, président du groupe Xerfi
- Michel Volle, économiste, auteur de "Prédation et prédateurs" (Economica, 2008) et de "E-conomie" (Economica, 2000)
- Jean-Luc Gréau, économiste, auteur de "La trahison des économistes" (Gallimard, 2008), membre du Conseil scientifique de la Fondation Res Publica
- Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica
Pour assister au colloque, il est indispensable de s’inscrire au préalable (Merci de préciser vos nom et coordonnées complètes) :
- par lettre : Fondation Res Publica, 52, rue de Bourgogne - 75007 Paris
- par téléphone : 01.45.50.39.50
Pour consulter les travaux de la Fondation Res Publica, fondation reconnue d'utilité publique par décret du 30 décembre 2005, une seule adresse : www.fondation-res-publica.org.
http://www.chevenement.fr/Colloque-de-la-Fondation-Res-Publica-Radiographie-des-entreprises-francaises_a1093.html
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Les élections cantonales, malaise dans la décentralisation ?
31/03/2011 07:53
Selon Philippe Guibert, l'abstention, grande gagnante des élections cantonales trouve son origine dans une décentralisation inadaptée aux réalités du pays et dans une perte pouvoir de décision des élus locaux. Il remarque que la participation augmente quand existent de véritables enjeux politiques.
Voilà la troisième élection locale en trois ans qui enregistre des records d’abstention, et curieusement, on ne s’interroge ni sur la décentralisation ni sur notre système politique.
La globalisation et le soupçon répété de prise d’intérêts personnels jouent un rôle évident dans le discrédit du Politique. Mais tout de même. Les élus locaux sont censés être plus « proches » des citoyens. Et les compétences des collectivités sont censées être importantes. Pourtant, même aux élections législatives, désormais démonétisées car se déroulant quelques semaines après le 2ème tour des présidentielles, l’abstention ne dépasse pas 40%. Or elle a été de 50% en moyenne des régionales de mars 2010, de 55% aux cantonales de mars 2011. Si elle n’a été « que » de 35% aux municipales de mars 2008, ce taux a grimpé à plus de 40% dans les grandes villes. Pourquoi la décentralisation, projet si démocratique à l’origine, provoque-t-elle 30 ans après cette atonie démocratique ?
Les cantonales, si on les regarde de près, apportent des réponses simples. Car l’abstention n’a pas été du tout uniforme sur le territoire, elle n’a pas été uniforme non plus au sein de chaque département. Ces différences disent très clairement les facteurs qui poussent ici à la participation, là à l’abstention. Ce qui démontre qu’il n’y a pas de fatalité à de tels taux d’abstention, même par temps de crise ; et qu’il y a bien, en revanche, un problème dans notre système institutionnel et politique, local et national.
PEU DE POUVOIR ? TRÈS PEU DE VOTES
La Seine St Denis, championne de l’abstention cantonale ? Oui, mais de peu, comme l’arbre qui cache la forêt. Dans le centre des grandes villes, où résident souvent les ménages aisés, les taux d’abstention se rapprochent de ceux de la Seine St Denis ! A Nantes, cette ville si civique, la participation atteint péniblement 25% dans certains cantons... On trouve des chiffres comparables dans les métropoles, lesquelles se sont abstenues massivement, dans les centres « bobos » presque autant que dans les banlieues « populaires ». En revanche, sitôt qu’on s’éloigne des agglomérations, pour atteindre des cantons périurbains et/ou ruraux, la participation augmente de 10 points, parfois plus. Et dès qu’on s’aventure dans des départements ruraux, sans grande ville, la participation augmente encore plus. C’est ainsi que la Lozère ou la Corrèze sont les départements les plus « civiques » du 2ème tour. On trouve là des cantons où l’on a voté à près 75%, comme à une présidentielle … Pourquoi de telles différences, de 25 à 75% ? Parce que le pouvoir d’un conseil général n’est pas du tout le même selon les territoires !
La cause primordiale de l’abstention massive à ces élections cantonales, c’est en effet que le conseil général et le conseiller général ont un pouvoir faible, c’est un euphémisme, en milieu urbain, alors que leur pouvoir politique et financier reste important dans un canton rural d’un département urbain, plus encore dans les départements ruraux. L’abstention est d’abord fonction du pouvoir effectif des élus et administrations locaux. Pourquoi voter aux cantonales dans les villes, quand l’action du conseil général sert au mieux d’appoint à l’action des mairies et intercommunalités ? Dans le Pas de calais, département urbain, ou à Marseille, 2ème ville de France, la présence du FN au 2ème tour n’a pas suscité une mobilisation électorale exceptionnelle, mais quelques points supplémentaires seulement. Comme si l’effacement du conseiller général sur ces territoires réduisait à peu de choses l’enjeu politique, pourtant symbolique. L’architecture de la décentralisation n’est plus adaptée à l’urbanisation du pays, voilà la vérité. Le conseil général garde du sens dans la vingtaine de départements qui ne comptent pas de villes grandes ou moyennes, mais ailleurs, n’est-il pas surnuméraire ? Les conseils régionaux eux-mêmes ont des pouvoirs restreints et si les communes résistent, c’est bien parce qu’elles prennent des décisions effectives ayant des conséquences lisibles dans la vie des citoyens. Notons au passage que la fameuse réforme territoriale dont est si fier le pouvoir actuel ne répond pas à ce problème pourtant majeur et ancien. Le futur conseiller territorial connaîtra les mêmes affres en milieu urbain que le conseiller général aujourd’hui. Ces élections cantonales devraient obliger à réfléchir à d’autres formules institutionnelles, moins uniformes et plus adaptées aux reconfigurations territoriales de notre pays. Mais le malaise dans la décentralisation va au delà de la question pendante des départements. Les élus locaux, toutes tendances et collectivités confondues, tiennent de plus en plus un discours de la gestion contrainte et de moins en moins celui d’un pouvoir effectif de décision. Leur plainte est récurrente contre l’Etat, contre le gel des dotations et crédits d’investissements de l’Etat, contre la réduction des recettes autonomes des collectivités. Cette plainte est certes justifiée, mais elle est aussi un aveu. Quand un élu répète « je ne peux plus faire, à cause de l’Etat », les électeurs finissent par retenir la première partie de la phrase, quand bien même ils sont mécontents de l’Etat ! Dans les départements et régions, l’action locale se réduit de plus en plus à l’exercice étroit des compétences obligatoires, lesquelles ne touchent souvent que des segments limités de la population. A trop entériner cette logique juridique et financière, voire à y trouver parfois un certain confort d’opposant, on encourage aussi l’abstention.
PAS D’ENJEU POLTIQUE ? PEU DE VOTES
A cette cause institutionnelle première, s’en ajoutent deux autres, politiques.
Lors de ces cantonales, le taux d’abstention a fortement varié en fonction de l’enjeu politique local. Là où l’élection n’était pas écrite à l’avance (par la réélection du sortant), là aussi où le résultat du canton pouvait influer sur la majorité du conseil général, eh bien il y a eu plus, voire beaucoup plus de participation. On l’a vu dans des départements urbains, où la présence du FN au second tour a suscité un (petit) sursaut. Mais c’est vrai plus encore dans un département sans grande ville, comme la Corrèze. Dans le canton de « Brive centre », où le sortant de droite n’était pas menacé, la participation atteint seulement 41% au 2ème tour. En 2004 la participation était de 13 points supérieure ! En revanche, dans le canton d’Eygurande, où le candidat de gauche (53,4%) a gagné contre le sortant de droite, la participation a atteint 73%, soit 3 points de plus qu’en 2004 ! Autrement dit, quand il y a un enjeu politique local fort et décisif pour la majorité du conseil général, la participation grimpe nettement. Certes F. Hollande a habilement « dramatisé » et personnalisé les cantonales corréziennes, en mettant en jeu sa candidature aux primaires du PS. Mais la signification électorale est bien là : l’électeur se déplace quand il a le sentiment que son choix politique compte et va peser, quand les élus se mettent un peu en danger et « augmentent » de ce fait la portée du vote. En revanche, s’il s’agit d’une « validation », d’une « confirmation », ils restent à la maison (leçons pour les primaires du PS ?...)
Pas assez d’enjeu politique local donc. Mais aussi, presque plus d’enjeu politique national. En France désormais, que l’on vote ou que l’on manifeste, cela n’a pas de conséquences politiques. Pas de changements de premier ministre et si peu de ministres, ou alors à contretemps. Et surtout, pas d’évolutions ou d’inflexions dans les politiques menées, juste quelques engueulades internes. Notre communauté démocratique est réduite aux acquêts présidentiels. Dès lors pourquoi voter aux élections locales si le message national n’est jamais entendu ? Le pouvoir en place encourage l’abstention en dépolitisant la campagne, afin de limiter la portée de la sanction électorale ; mais l’opposition s’en accommode puisque l’abstention ne l’empêche pas de conserver voire de gagner des mandats locaux.
Avec le quinquennat et le calendrier électoral, les Français ne disposent plus de cet amortisseur démocratique que constituait la cohabitation. Celle-ci a certes eu assez d’effets pervers pour ne pas la regretter. Mais nous en sommes à un autre effet pervers, non moins dangereux : le vote en France a de moins en moins d’influence sur la vie politique locale et nationale, entre deux présidentielles.
Pourquoi rendre les citoyens seuls responsables de cette atrophie démocratique, si le système institutionnel et politique l’entretient, par immobilisme ou surdité volontaire ?
Philippe Guibert - Tribune
Dessin : Louison
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Tokyo nationalise le nucléaire, Areva hâte la privatisation...
31/03/2011 07:47
Alors que de plus en plus de voix s'élèvent au Japon pour réclamer une nationalisation partielle ou temporaire de la compagnie Tepco, lundi le quotidien économique La Tribune révélait que le conseil de surveillance d'Areva avait approuvé la privatisation du groupe et son entrée en bourse. Un choix à rebours de l'histoire quand tout démontre que privatisation et sécurité sont inconciliables.
L'information, aurait pu -aurait du ?- faire l’effet d’une bombe. Révélée par la Tribune, ce lundi, le conseil de surveillance d’Areva, leader mondial de l'énergie nucléaire, a approuvé la privatisation du groupe et son entrée en bourse.
Elle est pourtant passée comme une lettre à la poste, alors que jamais la question nucléaire n’a autant porté à polémique. C’est peu dire que Areva joue plutôt la carte de la discrétion en la matière. Certes, le groupe d’Anne Lauvergeon est confronté à d’importants besoins en investissements. Certes, selon La Tribune, le groupe n’était pas maître de son destin en termes de calendrier : « le fonds souverain du Koweït, entré au capital d'Areva en décembre dernier à hauteur de 4,8%, aurait donné à l'Etat jusqu'à la fin juin pour coter la valeur en Bourse sans quoi ce dernier devra débourser 600 millions d'euros pour racheter ses parts au fonds souverain » écrit le quotidien économique. Certes, depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy à l’Elysée, c’est tout un processus de privatisation rampante de la filière nucléaire qui est à l’œuvre. Une choix à rebours de l'histoire qui s'écrit quelques milliers de kilomètres de nos frontières, tant Tepco, par ses dissimulations multiples, les libertés prises avec les normes de sécurité a fait la démonstration des limites de la dérégulation aux seuls fins de profits .
Fin février 2011, la France envisageait déjà d’ouvrir le capital de la filiale minière d’Areva pour « en assurer le développement ». Argument principal : compte tenu de la croissance attendue du parc mondial de centrales nucléaires au cours des trente prochaines années, l’actif devait receler une importante valeur. En trois semaines, le contexte a changé. De l'eau bien chargée a coulé sous les ponts et Areva dévisse en bourse. Pas sûr que les investisseurs se bousculent à l'horizon. Déjà en février, le fonds souverain du Qatar indiquait à l’Etat français qu’il était plus intéressé par les mines d' Areva que par ses activités réacteurs qui, selon lui, «présentaient un profil de risque et une cyclicité plus élevés». Appréciation des plus inspirées.
L'activité nucléaire de Tepco nationalisée ?
Cette privatisation à marche forcée de toute la filière énergétique (après Suez, EDF, GDF) apparaît d'autant plus surréaliste et décalée qu’au Japon, l’hypothèse d’une nationalisation de Tepco, qui fournit un tiers de l’électricité du pays, fait l'objet d'un véritable débat public. Une option jugée «possible» par le ministre délégué à la Stratégie nationale, Koichiro Gemba, cité par l'agence de presse Kyodo. Selon le quotidien Yomiuri, certains membres du gouvernement ont proposé un plan en vertu duquel l'Etat prendrait une part majoritaire au sein de Tepco, et l'aiderait à verser des indemnisations pour les dégâts provoqués par l'accident nucléaire. On l’a appris récemment, le site de la centrale et ses 6 réacteurs n’étaient plus assurés depuis août 2010. La couverture ayant été jugée trop chère par l’opérateur de la centrale…
Mardi, les députés japonais ont publiquement débattu de l’hypothèse d’une nationalisation. Dans le même temps, le cabinet du premier Minsitre faisait savoir que si « le gouvernement n’envisageait pas une prise de contrôle de Tepco pour le moment, compte tenu de la chute du cours de l’action, l’entreprise ne pourrait faire face seule au coût de la reconstruction et aux indemnisations ».
Deux hypothèses sont envisagées plus sérieusement, soit une nationalisation temporaire de la société soit une filialisation de l’activité nucléaire de Tepco qui serait alors nationalisée. Interrogés par les journaux nippons, la plupart des experts financiers préfèrent rester anonymes : « je ne vois pas d’autres options que la nationalisation de Tepco. Les gens sont tellement en colère contre la société que l’Etat doit en assurer la gestion » observe un gestionnaire de fonds.
Autre symptôme d’une prise de conscience de l’Etat, après étude des mécanismes et lacunes qui ont conduit à cette catastrophe, le ministère de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie exige que tous les réacteurs en activité soient contrôlés rapidement et que des dispositions soient prises afin de réduire les risques de reproduction de ce type d'accident. Quant aux installations qui sont actuellement à l'arrêt ou en construction, elles ne pourront pas être exploitées sans avoir été contrôlées, a déclaré le ministre de l'Industrie, Banri Kaieda, lors d'une conférence de presse partiellement retransmise à la télévision.
Le choix de la gestion du risque nucléaire
Chargé d'études associé au CIRED (Centre International de Recherche sur l'Environnement et le Développement) et consultant en évaluation des politiques publiques, sur son blog, Thierry Le Pesant estime que « l’une des premières leçons que l’on peut tirer de la catastrophe de Fukushima est que la dérégulation du secteur de l’énergie n’est pas sans effets sur la sécurité de l’exploitation du nucléaire civil pour la production d’électricité. Ainsi, chaque jour apporte son lot de révélations sur TEPCO l’exploitant de la centrale de Fukushima : fraudes à répétitions (plus de 200 rapports d’inspection falsifiés dans les années 80-90, ce qui avait conduit au départ de toute la direction en 2002 et la fermeture de Fukushima pendant un an), Fukushima et ses six réacteurs nucléaires plus assurés depuis août 2010 ; manquements dans la sécurité du site en 2011 (rapports de contrôle maquillés : TEPCO avait assuré aux autorités, avant la catastrophe, avoir vérifié une trentaine de pièces, alors que c’était faux) ».
Et de citer l’exemple d’EDF « passé d’une culture du zéro risque à une culture du résultat » et son corollaire, la montée en puissance du concept de « gestion du risque ».
« Ainsi, des investissements de sécurité avaient été reportés dans le temps par l’ancien président d’EDF Pierre Gadonneix car jugés pas très rentables, Henri Proglio se voyant contraint de les faire en catastrophe à coût élevé à son arrivée. Pour citer un autre exemple, le directeur de la central de Penly a reçu un blâme pour avoir pris sur lui d’arrêter un réacteur pour réparer une fuite sur une valve du circuit primaire au détriment de la production. Au-delà de l’anecdote, le problème posé est structurel. Non, décidément, nucléaire et privatisation ne sont pas conciliables » conclut Thierry Le Pesant.
Régis Soubrouillard - Marianne
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Hulot candidat? Mais pas trop vite quand même!
31/03/2011 07:43
Nicolas Hulot serait prêt à se déclarer d’ici peu. Mais ses soutiens ne veulent surtout pas aller trop vite. Ce week-end, ils espèrent bien convaincre les dirigeants d’Europe écologie de repousser la date de la primaire au cours de laquelle il doit affronter Eva Joly. Au risque de plonger la formation écologiste dans une longue période de petites phrases assassines, façon Solférino, le siège du PS…
Comme les socialistes, les écologistes ont leur candidat de l’ombre ou presque. Il ne s’appelle pas DSK, mais Nicolas. L’autre Nicolas, Hulot, qui devrait lui confirmer sa candidature d’ici peu, vraisemblablement dans le courant du mois d’avril (la semaine du 11 d'après BFM). Mais il y a dans les rangs d’Europe éco la tentation, comme certains l’ont eu au PS, de ménager le retour du fils prodigue en repoussant la date de la primaire qui doit le voir affronter Eva (la seule et l’unique) Joly. En janvier, Europe écologie – Les Verts avait pourtant décidé, à l’issue d’un vote confus, d’organiser cette désignation fin juin - début juillet. Mais le désordre fut tel (à la manière d’un congrès de Reims modèle réduit) que le Conseil fédéral des écolos se réunit à nouveau ce week-end pour en débattre.
Dans l’entourage d’Hulot, on fait valoir qu’il serait bon de repousser la primaire le plus possible, qu'elle se tienne à la rentrée plutôt que cet été. Non pas pour permettre à l’écologiste cathodique d’être fin prêt comme le disent les mauvaises langues, mais aux écologistes dans leur ensemble de prendre le temps : « On vient de sortir des cantonales. Il y aura, en juin, le premier congrès d’Europe écologie – Les Verts. Si la primaire s’y ajoute, on va finir par épuiser les militants. »
Un discours qui séduit certains cadres d'EELV et pas seulement des pro-Hulot... Mais pas vraiment l'équipe de campagne d'Eva Joly. Ses membres, eux, sont d'ores et déjà « épuisés ». « Epuisés » d’attendre. Ils veulent un duel au soleil estival : « Il faut que notre candidat soit désigné avant celui du PS, qu’il dispose de son espace politique propre. Si l’on attend septembre, l’idée d’une candidature unique de la gauche risque de s’imposer. » « Epuisé », donc, et agacé surtout. Si au Parti socialiste, l’anti-strauss-kahnisme a pris ses aises, parmi les proches de Joly, l’anti-hulotisme commence à s’exprimer tout haut et sur tous les tons : « Sait-il au moins qu’il ne pourra pas repousser la date du premier tour de la présidentielle ? », « Il ne pèse rien à l’intérieur d’Europe écologie », « Que va-t-il nous faire ? Le social vu du ciel ? », etc.
Une ambiance « petites phrases assassines » digne d’un Conseil national socialiste qui risquent donc de se prolonger jusqu'en septembre, si cette option mortifère est retenue...
Gérald Andrieu - Marianne
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L’euro, les banquiers et la mondialisation : l’arnaque du siècle... aujourd'hui en librairie !
31/03/2011 07:31
On sentait une réelle attente autour du prochain livre de Nicolas Dupont-Aignan, dans lequel il avait promis de tout dire sur l’arnaque du siècle que constitue selon lui la mise en oeuvre de la monnaie unique dans l’Union Européenne !
Et bien voilà maintenant trois semaine que L’euro, les banquiers et la mondialisation : l’arnaque du siècle, a fait son entrée dans les meilleures ventes site de vente en ligne Amazon. Et quelle entrée ! Dans la catégorie "documents d’actualité", le livre n’est tout simplement pas sorti du TOP 10.
Le jour de sa mise en vente, le livre était même en tête du fameux baromètre des ventes Amazon.
Le nouvel ouvrage "choc" de NDA sort demain 31 mars aux éditions du Rocher, et vous pourrez le trouver dans toutes les bonnes librairies !
N’hésitez d’ailleurs pas à nous signaler s’il n’est pas disponible dans votre librairie de quartier, ou dans votre FNAC.
Vous pouvez en outre le trouver commander sur les plates-formes de vente en ligne.
A très bientôt pour des séances de dédicaces !
http://www.debout-la-republique.fr/L-euro-les-banquiers-et-la,1305.html
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