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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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La seule chose que Claude Guéant nettoie au Karcher, ce sont les effectifs de police

08/07/2011 07:56

La seule chose que Claude Guéant nettoie au Karcher, ce sont les effectifs de police


La seule chose que Claude Guéant nettoie au Karcher, ce sont les effectifs de police

Le rapport publié par la Cour des comptes est une véritable claque adressée à Claude Guéant. C’est en effet la première fois qu’un document officiel confirme par des chiffres précis et des faits objectifs l’incroyable débandade dont sont victimes les forces de l’ordre de notre pays.

Les policiers comme les gendarmes ne savent plus aujourd’hui comment exprimer leur désarroi face à la baisse vertigineuse des effectifs, à la mauvaise répartition des forces de l’ordre sur le territoire et au manque cruel de moyens.

Claude Guéant ajoute donc l’indécence à l’incompétence en accusant de mensonge à la fois la Cour des Comptes, mais également les fonctionnaires de police et les gendarmes auxquels j’apporte mon soutien total.

A l’heure où l’Etat est pourtant capable de dégager plusieurs dizaines de milliards pour renflouer les banques en Grèce, comment justifier que l’on ne remplace pas un fonctionnaire de police sur deux partant en retraite pour économiser seulement quelques dizaines de millions d’euros ?

Alors que le président Sarkozy est en campagne pour sa réélection en 2012, la Cour des comptes a donc raison de poser la question de son bilan après tant d’années d’exercice des plus hautes responsabilités.

Nicolas Sarkozy avait suscité chez les Français un grand espoir en faisant de la sécurité l’une de ses promesses majeures en 2007. Il est donc normal qu’il soit jugé sur ses actes. Or en la matière, force est de constater que la seule chose passée au karcher, ce sont les effectifs de police.

Nicolas Dupont-Aignan,

Député de l’Essonne et président de Debout la République.







Quand la mondialisation rend la « gauche » antisociale

07/07/2011 14:40

Quand la mondialisation rend la « gauche » antisociale


Hier matin, Manuel Valls était l’invité de Jean-Michel Apathie. Connaissant bien son hôte, il a entamé un couplet sur le nécessaire équilibre des finances publiques, allant même jusqu’à dire qu’il n’était pas réellement possible de financer les emplois jeunes du programme socialiste…

Les « socialistes » antisociaux

La mondialisation néolibérale et la crise placent les gouvernements de gauche dans une drôle de position. C’est un gouvernement socialiste qui fait le sale travail demandé par la troïka technocratique FMI / BCE / Commission Européenne en Grèce. Idem au Portugal. Le gouvernement de Zapatero cherche désespérément à protéger le crédit de son pays auprès des investisseurs. En France, des candidats aux primaires socialistes promettent du sang et des larmes.

Les tenants de la globalisation néolibérale se féliciteront de ce ralliement de la « gauche » à une forme de « réalisme ». Mais cette conversion (qui remonte à 1983 en France) démontre trois choses. Tout d’abord, que sur les questions économiques, il devient bien difficile de distinguer le discours de l’aile modérée du PS de celui de l’UMP. Qui peut croire aujourd’hui que François Hollande ou Manuel Valls sont très différents d’Alain Juppé ou François Fillon ?

Ensuite, cela pose le problème du débat démocratique. En effet, en matière économique, les Français se retrouvent à choisir entre bonnet blanc et blanc bonnet, ce qui n’est pas sain. Enfin, cela démontre que la mondialisation et l’effacement des frontières conduit à réduire le champ des possibles démocratiques, ce qui revient à dire que seul un rétablissement des frontières (sans tomber dans l’autarcie bien sûr) nous permettra de reprendre notre destin en mains.

Du « care » au « racisme social »

La première réaction de la gauche était merveilleusement résumée par le « care » de Martine Aubry. Non seulement cet anglicisme démontrait une soumission à l’ordre économique anglo-saxon. Mais en outre, il illustrait bien le rôle que voulait jouer le PS dans cette jungle qu’est la globalisation néolibérale : une infirmière qui va cajoler les pauvres Français avec de gentilles allocations ou des emplois publics. L’assistance comme un contrepoids à la globalisation.

Malheureusement, si cette politique était possible de 1997 à 2002 quand il y avait une « cagnotte » et que l’euro valait moins d’un dollar, aujourd’hui, le contexte financier est beaucoup plus dur, avec une dette qui atteint 85% du PIB. Du coup, plutôt que de remettre en cause la libéralisation de la finance, du commerce ou l’euro, certains « socialistes » semblent prêts à se transformer en petits soldats sans pitié de la globalisation, dans un tête-à-queue idéologique absolument incroyable.

La fondation Terra Nova, bien consciente du divorce définitif que cela devrait provoquer avec les classes populaires, a donc théorisé une nouvelle stratégie électorale pour la « gauche », abandonnant carrément les ouvriers et les exclus du système au Front National pour privilégier les « inclus » et déplacer le débat sur les sujets de société. Jean-François Kahn vient de signer une remarquable tribune dans le Monde fustigeant cette évolution qu’il qualifie de « racisme social ».

Le Général de Gaulle aurait dit « qu’il n’aimait pas les socialistes parce qu’ils n’étaient pas socialistes » (et « les siens parce qu’ils aimaient trop l’argent »). Encore une fois, ses paroles ne prennent pas une ride et traversent le temps comme les prophéties d’un homme qui savait anticiper l’avenir.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Les anglo-saxons veulent-ils la fin de l’euro ?

07/07/2011 09:42

Les anglo-saxons veulent-ils la fin de l’euro ?


C’est un des arguments les plus intéressants des soutiens de la monnaie unique : les Etats-Unis et la Grande-Bretagne souhaiteraient sa fin pour assurer la prééminence du dollar et de la City. Et par conséquent, il faudrait donc tout faire pour la protéger.

Pourquoi peut-on le penser ?

En effet, récemment, Georges Soros a exprimé ses doutes sur la monnaie unique et un certain nombre d’économistes ou de journalistes anglo-saxons (Paul Krugman, Joseph Stiglitz, Nouriel Roubini, Martin Wolff) expriment leurs critiques à l’égard de cette construction baroque. Pire, on pourrait déduire de la spéculation des marchés contre les dettes souveraines de la zone euro une volonté de détruire in fine la zone euro puisque c’est bien ce à quoi cela pourrait mener…

Mais tous ces éléments mis bout à bout ne prouvent pas cette théorie. En effet, parmi les critiques de la monnaie unique, il y a deux prix Nobel plutôt progressistes qui ne me semblent en aucun cas animés par une volonté de domination de leur pays et ils ne recommandent pas forcément la fin de l’euro. En outre, la spéculation des marchés peut être justifiée par les simples indicateurs actuels sur le niveau de la dette ou des déficits publics et non par une volonté de casser l’euro.

En effet, quand on voit la situation de la Grèce, avec sa dette qui s’envole à 160% du PIB, une croissance en berne et un déficit qui devrait atteindre péniblement 7.6% du PIB en 2011, il n’est pas anormal que les marchés en déduisent une décote probable de la dette de 50% comme ils le font aujourd’hui. On pourrait même dire que le niveau de décote induit par les marchés est très raisonnable étant donnée la situation des différents pays de la zone euro…

La monnaie unique n’est pas en cause

Alors, bien sûr, on peut voir la menace que représente l’euro pour le dollar, dans le sens où la monnaie unique européenne pourrait devenir un rival et faciliter l’évolution du monde vers un multipolarisme monétaire qui ferait perdre aux Etats-Unis le privilège exorbitant du dollar, monnaie nationale et monnaie de réserve du monde. Cependant, il faut noter que la fin de la monnaie unique ne serait pas forcément la fin de l’euro, qui pourrait être conservée comme monnaie commune.

Pire pour les Etats-Unis, cette monnaie commune pourrait s’étendre au-delà de la simple zone euro et remettre en question plus encore la domination du dollar. D’ailleurs, il est tout de même extrêmement intéressant de constater que les administrations étasunienne et chinoise soutiennent fortement la monnaie unique, ce qui devrait amener à se poser la question inverse, à savoir si l’euro monnaie unique ne sert pas davantage les intérêts des Etats-Unis et de la Chine.

En effet, Barack Obama est intervenu plusieurs fois pour pousser les dirigeants européens à adopter les plans de sauvetage, poussant Angela Merkel à accepter le fonds européen au printemps 2010. En effet, la monnaie unique, par sa cherté structurelle, profite aux Etats-Unis, poussant Airbus, par exemple, à acheter de plus en plus de composants outre-Atlantique. Et il en va de même pour la Chine, qui soutient la monnaie unique en achetant des dettes souveraines.

Loin de vouloir la fin de la monnaie unique, les anglo-saxons semblent au contraire s’en satisfaire, de même que la Chine. Cela devrait amener à se poser la question légitime de nos intérêts car il paraît douteux que l’euro dans sa forme actuelle puisse leur être favorable, ainsi qu’à nous…

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Medef : La flexibilité « équitable » expliquée aux salariés

07/07/2011 09:34

Medef : La flexibilité « équitable » expliquée aux salariés


Savez-vous en quoi consiste la « compétitivité équitable » du Medef ? Réponse : supprimer l'horaire légal de travail, ne plus payer d'heures supplémentaires, conserver les allègements de charges et ne pas augmenter les salaires !

Au Medef, on a le chic pour éviter les mots qui fâchent au profit d'expressions nébuleuses mais ... nettement plus élégantes. Ainsi, Laurence Parisot dans sa conférence de presse du 5 juillet ne parlait pas de « flexibilité accrue » mais « d'adaptabilité » et de « compétitivité équitable »

Et oui, le mot flexibilité c'est évocateur, mais laid ! Et pourtant, c'est bien ce qu'a décrit Laurence Parisot au cours de sa conférence de presse.

Il faut savoir que dans le raisonnement du Medef, le salarié est une sorte de « partenaire » qui a d'immenses devoirs, mais doit être conscient que ses droits doivent être minimes, sous peine de voir son entreprise pérécliter.

Donc, selon Laurence Parisot : « (...) Les 35 heures continuent à faire des dégâts, notamment parce que le dispositif 35 heures a créé dans les esprits l’idée que la base horaire était devenue une finalité dans le travail. Alors que cela doit être d’abord un moyen (...) »

En clair, salariés, la dolce vita est terminée. Oubliez vos RTT, investissez-vous, autant qu'il est nécessaire, mobilisez-vous, mais ... à titre quasi gracieux !

Car, dixit Laurence Parisot : « (...) un tel mouvement doit profiter à la fois à la question du coût du travail avec une baisse de la cotisation employeurs, mais aussi profiter au salaire net des salariés, avec une baisse de la cotisation des salariés (...) »

Profiter au salaire net des salariés, mais de combien ?

Pour en connaître le montant, il est bon de se référer à une
intervention du Medef, en mars 2011 : « (...) la contrepartie offerte aux salariés est expliquée par le chef de file de la délégation patronale, Patrick Bernasconi : (...) La réduction maximale de cotisation est fixée à 0,4 point. Le taux de cotisation est actuellement de 6,40% : 4% sur la part employeur et 2,4% sur la part salariale (...) La baisse prévue représente (...) 60 à 70 euros de pouvoir d’achat en plus pour un salarié (...) »

Au delà de ce pourboire, Laurence Parisot nous confie comment elle entend rénover les relations entre salariés et employeurs, dans le cadre de la « compétitivité équitable » : « (...) du point de vue de la durée du travail, cela veut dire que nous gagnerions en adaptabilité si la durée du travail devenait une durée conventionnelle. Une durée conventionnelle, cela veut dire une durée qui se négocie au niveau de l’entreprise, éventuellement au niveau de la branche. Cela, c’est un apport en souplesse qui nous rend plus compétitif ou plutôt également compétitif au sens de aussi compétitif et c’est bien de la compétitivité équitable car dans équitable, il y a le respect de chacun et notamment des salariés de nos entreprises (...) »

Revenons deux secondes à la définition de la « laide » flexibilité,
proposée par la Banque de Ressources Interactives en Sciences Economiques et Sociales. Elle en définit plusieurs types, dont deux, sont bien connues des salariés

« (...) La flexibilité quantitative externe se réalise par le recours au marché du travail. Elle consiste à faire varier les effectifs de l'entreprise en fonction des besoins par le recours aux contrats de travail précaires et les licenciements. (
Plus de 600 000 ruptures conventionnelles depuis sa création )

La flexibilité qualitative externe consiste à remplacer le contrat de travail par un contrat commercial plus facile à rompre. On peut citer le recours aux travailleurs intérimaires (...) » (
Lire : les effectifs intérimaires sont en hausse de 17 % depuis le 1 er janvier )

Et une qui ressemble à s'y méprendre à « l'apport en souplesse » vantée par madame Parisot !

La flexibilité quantitative interne s'obtient par la variation de la durée de l'activité en fonction de la production : variation des horaires de travail, utilisation de temps partiels, annualisation de la durée du travail : les creux dans l'activité de l'entreprise sont compensés par les périodes de boom ce qui évite le recours aux heures supplémentaires plus onéreuses (...) »

Cette souplesse ne saurait bien entendu mettre fin aux allègements de charges qui : « (...) ne sont pas un cadeau. Les allégements de charges sont une nécessité. Sans ces allégements de charges, la situation de notre commerce extérieur serait bien pire encore (...) »

Résumons nous : Plus de flexibilité et de productivité des salariés cumulé au maintien des allègements de charges. Donc plus de profits à distribuer aux actionnaires ! Maintenant, pour ce qui concerne les dits salariés, ce serait à l'état de prendre en charge ou
transférer sur le consommateur/salarié cette baisse de cotisation. CQFD !

On pourra regretter que Laurence Parisot n'ait pas eu le temps de de nous expliquer en quoi les 35H00 ont été si désastreuses pour les profits des entreprises du CAC 40 et ses actionnaires ?

2007 : « (...) près de 95 milliards d'euros (...) »
2008 : « (...) près de 85 milliards d'euros de bénéfices (...) »
2009 : « (...) 49,6 milliards d'euros de profits (...) »
2010 : « (...) Plus de 80 milliards d'euros de bénéfices (...) »

Entreprises qui, au demeurant, payent
infiniment moins d'impôts, sur les sociétés que les PME, voir, pas du tout !

Quant aux rémunérations des dirigeants exécutifs des entreprises du SBF 120. Indice qui comprend les 120 principales sociétés cotées en France et donc celles du Cac 40, on pourra constater, que la vie
n'a pas été trop dure en 2009 comme en 2010.

Mais comme le dit Laurence Parisot : « (...) La France a changé. L’Europe a changé. Le monde a changé (...) » Et c'est pourquoi, elle affirme sans rire que : « (...) Dans une telle approche globale, sans limite dans le temps, sans contrainte, nous pouvons avoir l’espérance de remplir cet objectif d’une meilleure compétitivité au service de tous (...) »

Reste à savoir la définition exacte du : Tous ... de Laurence Parisot !

SLOVAR

http://slovar.blogspot.com/







Pour Juncker, la Grèce devra se résoudre à perdre une grande partie de sa souveraineté

07/07/2011 09:24

Pour Juncker, la Grèce devra se résoudre à perdre une grande partie de sa souveraineté


Après le déblocage d'une nouvelle tranche d'aide internationale de 12 milliards d'euros pour la Grèce au cours du week-end, le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a prédit que le pays sera confronté à de sévères limitations de sa souveraineté, comparant la situation d'Athènes à celle de l'Allemagne de l'Est après la réunification.

Dans un entretien publié dimanche dans le magazine allemand Focus, M. Juncker explique que "la souveraineté de la Grèce sera énormément restreinte" en raison de "la vague de privatisations à venir" d'un montant de 50 milliards d'euros. "Il serait inacceptable d'insulter les Grecs mais il faut les aider. Ils ont dit qu'ils étaient disposés à accepter le savoir faire de la zone euro", a observé Jean-Claude Juncker.

Dans le cadre des mesures d'aide financière de la part de l'UE et du FMI, le Parlement grec a notamment voté la création d'une agence de privatisation. Cette agence, pilotée par des experts européens, sera fondée, selon les dires de M. Juncker, "sur le modèle de la 'Treuhand' allemande", cet organisme qui avait vendu 14 000 firmes est-allemandes de 1990 à 1994. Des privatisations qui doivent commencer "immédiatement", selon le ministre des finances allemand, Wolfgang Schauble.

"LES SALAIRES ONT AUGMENTÉ DE 106,6 % EN 10 ANS"

La Treuhand était censée revendre les actifs publics en faisant un bénéfice mais elle a clôturé ses comptes sur un énorme déficit de 270 milliards de marks (172 milliards de dollars ou 118,4 milliards d'euros). Quatre millions d'Allemands étaient salariés des entreprises passées dans le giron de la Treuhand en 1990. Seulement 1,5 million d'emplois demeuraient lorsque l'agence ferma en 1994.

Dans les colonnes de Focus, Jean-Claude Juncker souligne néanmoins que la Grèce est pour une bonne part responsable de sa crise. "De 1999 à 2010, les salaires ont augmenté de 106,6 % alors même que l'économie ne se développait pas au même rythme. La politique des revenus était totalement hors de contrôle et ne reposait en rien sur [les gains de] productivité".

Désormais, l'Eurogroupe envisage un second plan d'aide à la Grèce, dont les grandes lignes ont été discutées samedi. Le secteur financier, par la voix de l'Institut de la Finance internationale (IIF), a fait savoir qu'il était prêt à s'engager dans un effort "volontaire, coopératif, transparent et large" pour soutenir la Grèce, via un "rollover" de la dette grecque. M. Juncker s'est dit convaincu que les mesures prises pour aider la Grèce "résoudrait la question grecque".

lemonde.fr - 3 Juillet 2011

http://blogrepublicain.hautetfort.com/






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