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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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François Bayrou et la carte des tempéraments

05/07/2011 08:05

François Bayrou et la carte des tempéraments


François Bayrou a confirmé hier son axe stratégique majeur : 2012 sera le choix d'une seule carte : celle des tempéraments.

Pour l'instant, 2012 est la campagne "virtuelle". Des candidats virtuels présentent des programmes virtuels.

Des candidats virtuels, car confrontés soit à des primaires soit à des obstacles importants (parrainages) donc en aucune manière des candidats définitifs.

Des programmes virtuels, car les indications actuelles relèvent davantage de motions de bonnes intentions que d'engagements précis.

Un temps différent s'ouvrira à l'automne. A cette occasion, pour François Bayrou, le choix ne sera pas la carte de droite ou celle de gauche mais la carte des tempéraments. L'opinion va lire dans les caractères pour faire son choix.

A ce moment là, Bayrou entend incarner la solidité et la proximité.

La solidité dans des valeurs ancrées dans la durée et la proximité par la connaissance de la vie provinciale ; telles sont les deux qualités que le leader du Modem entend capitaliser.

http://exprimeo.fr/article/6987/francois-bayrou-et-la-carte-des-temperaments.htm






Primaire au centre: la grosse ficelle

05/07/2011 08:00

Primaire au centre: la grosse ficelle


L'idée d'une primaire au centre (sur le modèle de la "primaire citoyenne" du PS et de celle d'Europe Écologie - Les Verts) ressurgit à intervalles réguliers.

Pourquoi pas!

Encore faudrait-il qu'il y ait plusieurs candidats potentiels au centre...

 

Or, dans l'état actuel des choses, il n'y a qu'une seule candidature attendue au centre: celle de François Bayrou.

 

Car, en réalité, l'idée d'une primaire au centre n'est rien d'autre qu'une grosse ficelle destinée à faire croire que François Bayrou serait concurrencé au centre par Jean-Louis Borloo ou Hervé Morin. Deux personnalités qui se positionnent sans contestation possible à droite et non au centre, puisqu'elles appartiennent à la majorité parlementaire de droite (désolé pour cette lapalissade, malheureusement nécessaire).

Si primaire il y avait avec Jean-Louis Borloo ou Hervé Morin, il devrait donc s'agir d'une primaire à droite avec Nicolas Sarkozy. La volonté de les situer au centre relevant au mieux du militantisme, au pire de la désinformation.

Laurent De Boissieu

http://www.ipolitique.fr/






Affaire DSK : quand les tabloïds deviennent une source

05/07/2011 07:55

Affaire DSK : quand les tabloïds deviennent une source


De la même manière que son arrestation avait créé l'un des plus gros buzz de l'histoire du journalisme, DSK a fait la une de tous les sites et journaux français et américains. Même chose sur les réseaux sociaux. Honni par les tabloïds américains, à peine plus d'un mois après son arrestation, certains journaux évoquent son retour en politique. Et Tristane Banon refait surface...


Du premier temps de la valse Strauss-Kahn, les dés étaient jetés. Le méchant et la gentille, le coupable et la victime clairement identifiés. Balayé !
C’est le New-York Times qui ouvre le bal. Le quotidien se penche sur le spectaculaire retournement de situation qu’a connu l’affaire Strauss Kahn ce week-end, évoquant le réveil d’un éventuel  sentiment anti-américain compte tenu du traitement médiatique et la perception que les Français ont eu de la justice américaine.

Prétextant un flou artistique sur fond de mondialisation judiciaire, les télévisions françaises ont toutes montré DSK menottes au poignet sortant du tribunal malgré un très maigre appel à la retenue diffusé par le CSA. Des images normalement interdites de diffusion en France tant que la culpabilité n’a pas été établie.

« Il y a eu le sentiment que ce n’était pas seulement Dominique Strauss Kahn qui était humilié mais la France toute entière »
écrit le journaliste Steven Erlanger faisant allusion à la jubilation avec laquelle les tabloïds américains se sont jetés sur leur proie. Dès le 17 mai, invoquant la présomption d’innocence, journalistes et blogueurs français s’étaient indignés du traitement médiatique infligé à DSK aux Etats-Unis. Malgré cette mise en scène humiliante, DSK a été relâché. Preuve aussi que le système profite aussi à l’accusé.

Le journal rapporte également des propos de Français  choqués par la violence et le caractère expéditif du système judiciaire américain. Menotté, exposé aux caméras du monde en entier,  jeté en prison -le symbole absolu de la culpabilité- DSK est blanchi par l’enquête du procureur qui avait misé toute sa réélection sur ce dossier. DSK passe du statut de coupable à celui de quasi-victime en à peine plus d’un mois sans qu’on en sache beaucoup plus sur ce qu’il s’est réellement passé dans la suite 2806.
 
Car c’est bien plus la « personnalité trouble » de Nafissatou Diallo, ses mensonges qui ont convaincu le procureur de New-York, déjà fragilisé dans deux autres affaires, d’arrêter les frais. Un retournement de situation bien plus motivé par des visées politiques qu’avec le fond de l’affaire. Jusqu’à preuve du contraire, la loi américaine n’autorise pas le viol d’une « menteuse ».

Les tabloïds, un virage à 180°
Au début de l’affaire DSK, la presse américaine avait été très virulente épinglant notamment la légèreté des autorités françaises vis à vis des affaires de mœurs. « Pour les tabloïds, allègrement francophobes, l’affaire Strauss-kahn, s’est révélée un don de dieu et il a été sacrifié en conséquence » écrit le Washington Post qui précise que « dans le cas de l’affaire Strauss-Kahn, les tabloïds n’ont finalement fait que leur travail habituel lors de la couverture de faits divers. A ceci près qu’ils n’étaient plus seulement lus par leur lectorat historique mais également par les envoyés spéciaux de la presse étrangère. Et la presse étrangère a cité le New-York Post comme si elle citait le New-York Times. Le journal n’hésitant pas dès lors à évoquer certains des détails les plus scabreux de l’affaire ».  

D’où une compétition inhabituelle entre les tabloïds et les journaux de « référence » et une impression de chaos médiatique. Car, en l’espèce ce sont bien les tabloïds qui ont donné le ton.

Tout cela est bien loin.
Dans un portrait sévère du procureur Cyrus Vance , le New York Times rapporte comment depuis quelques semaines ses partisans envisageaient son avenir politique en fonction de l’évolution de l’affaire DSK, et notamment la campagne pour sa réelection en 2013.

Aujourd’hui « le bureau du procureur de New York est en plein chaos. C'est la première fois qu'il essuie un échec si retentissant », témoigne une femme qui y a exercé. « Il y a beaucoup de débats, de colère, de questions et de confusion, confirme un ancien procureur. Vance a péché par naïveté et par faute de jugement. Il a cru bien faire en empêchant DSK de quitter le territoire américain, il n'a pas imaginé qu'il pouvait perdre ».

Mais ce sont surtout les tabloids qui font un virage à 180 degrés. Ils avaient pris fait et cause pour l’accusatrice et s’étaient peu embarrassés de la présomption d’innocence : « DSK le pervers » avait titré en une le New York Post. Ces tabloids maintenant prennent beaucoup de distance avec l’accusation : « the alleged victim » (la victime présumée) écrit aujourd’hui le New York Post, qui montre un DSK tout sourire. Le Daily News évoque « La soi-disant victime prise dans un filet de mensonges ».

l'affaire DSK, une valse à mille temps
De quoi s’interroger sur cet emballement médiatique à rebours. Rien de très nouveau derrière tout ça: l’orchestration « d’informations » sur un mode accusatoire et qui s’enchainent car aucun média ne veut être en reste dans la course à l’audimat.
« Cela révèle la fragilité du travail médiatique, même lorsqu’on parle d’enquête »
estime Jean-Marie Charon. Il y a quelques semaines, en effet, le New-York Times avait mis ses très fins limiers sur les traces de la présumée victime sans rien trouver.

« Cette affaire n’est pas dans le temps de l’enquête, tout est beaucoup trop rapide, c’est le commentaire qui l’emporte » ajoute le sociologue des médias. Dépassée par les événements, son analyse n’en reste pas moins pertinente.  Passé une première fois dans la grande lessiveuse médiatique, DSK découvre la puissance et la souplesse inattendue de son moteur programmé sur « lavage rapide option plus blanc que blanc ».

Prématuré ? A l’heure où nous mettons sous presse, comme disait « le-journaliste-de-jadis »,
Tristane Banon annonce dans l'Express qu’elle porte plainte contre DSK pour tentative de viol.
Un retournement dans le retournement. La réplique ne se fait pas attendre : DSK porte plainte pour dénonciation calomnieuse. La valse Strauss-Kahn ressemble de plus en plus à une danse folle et ennivrante. Une valse à mille temps.
 
Régis Soubrouillard - Marianne
 





La révolte contre l’UE commence à Athènes

04/07/2011 11:48

La révolte contre l’UE commence à Athènes


Le 15 juin dernier, avait lieu la 3ème grève générale en Grèce en protestation contre les plans concoctés par la Commission, la BCE et le FMI et qu’essaie de faire passer le gouvernement. Nicolas Dupont-Aignan était, pour l’occasion, à Athènes pour protester lui aussi contre ces plans absurdes.

La partie de poker entre la finance et les Etats

Sur son blog, Hervé Nathan montre justement qu’aujourd’hui c’est la corbeille qui décide à Athènes et que Commission, BCE et FMI ne font que suivre ce qu’elle souhaite.

Assez naturellement, les marchés ne veulent pas entendre parler d’une décote qui risquerait à nouveau de provoquer une crise financière systémique, démontrant à nouveau que le secteur financier n’est qu’un immense château de cartes à la merci du défaut d’un pays pesant 3% du PIB de la zone euro.

On perçoit dans les menaces des agences contre Athènes ou les banques qui ont des engagements en Grèce une forme de chantage, un pur rapport de force entre les marchés et les Etats européens pour se partager l’addition. Il est intéressant de constater à quel point la troïka infernale défend uniquement les intérêts de la finance, appuyée par la France, en contradiction totale avec les propos de Nicolas Sarkozy sur la moralisation du capitalisme.

En revanche, l’Allemagne pèse de tout son poids (qui est grand, en tant que prêteur de dernier ressort) pour partager l’addition avec le secteur financier et imposer qu’il prenne en charge une partie de la note, quitte à accroître les tensions sur les marchés financiers. On peut se demander si, de la sorte, l’Allemagne ne cherche pas tout bonnement à faire pourrir la situation pour enfin sortir d’un euro dont elle n’a jamais voulu. Résultats, les négociations continuent à piétiner.

La seule chose qui est certaine est que les conditions de l’accord qui doit être trouvé d’ici la fin du mois seront à nouveau sanglantes : baisse des salaires, hausse des impôts, véritable dépeçage du service public national pour dégager de la trésorerie (50 milliards d’euros de privatisations, c’est 20% du PIB du pays, l’équivalent de 400 milliards en France…). Comme le soutient Morad El Hattab, cela revient à presser un citron jusqu’à ce que les pépins craquent…

Une situation totalement intenable

J’avais écrit il y a quelques semaines qu’il n’y avait qu’une solution pour la Grèce, à savoir la sortie de l’euro, une forte dévaluation et une restructuration, si possible ordonnée, de sa dette.

C’est exactement ce qu’a écrit Nouriel Roubini dans le Financial Times. Les médias ont assez mal rendus compte de cet article, qui, avant de conclure, étudie les autres possibilités offertes à la Grèce : dévaluation de l’euro, voie allemande ou dévaluation interne.

Mais l’économiste qui avait prédit la crise de 2008 juge que ces options sont impraticables car les traités impliquent un euro cher, (d’autant plus quand on met des psychopathes à la tête de la BCE) et que le principe d’une compression interne des salaires pour améliorer la compétitivité de la Grèce provoquerait une Grande Dépression qui, non seulement achèverait l’économie grecque, mais rendrait totalement illusoire le remboursement des dettes que le pays a contracté.

Certes, certains évoquent la solidarité européenne mais celle-ci est illusoire tant elle devrait être importante. Jacques Sapir a chiffré à 3.5 à 4% du PIB l’effort annuel que devrait consacrer l’Allemagne. Pire, comme je l’avais expliqué, cette solidarité, si elle améliorerait la situation de la population grecque, ne ferait qu’entretenir un déséquilibre de la balance des paiements du pays qu’il faudra bien tôt ou tard corriger. Cette solution revient à une fuite en avant dans toujours plus de dettes.

La Grèce n’a pas 36 solutions aujourd’hui : elle doit dévaluer pour retrouver sa compétitivité. Soit elle procède à une dévaluation interne pour rester dans l’euro. Mais dans ce cas, Patrick Artus estime qu’il faudra baisser les salaires de 35% : je vous laisse imaginer la boucherie que représenterait un tel ajustement. C’est pourtant la voie prise aujourd’hui. L’alternative consiste à sortir de l’euro pour procéder à une dévaluation en bonne et due forme.

L’Argentine s’était imposée quatre années de récession avant d’abandonner le lien avec le dollar. La Grèce est dans sa troisième année. Si Athènes suit Buenos Aires, le moment de vérité aura lieu début 2013… Mais la situation est tellement instable que cela pourrait arriver plus vite…

Laurent Pinsolle

porte-parole de Debout la République

http://www.debout-la-republique.fr/La-revolte-contre-l-UE-commence-a.html






Régulation financière : les leçons venues de Chine

04/07/2011 11:42

Régulation financière : les leçons venues de Chine


Bien sûr, il ne s’agit pas de faire du régime chinois le modèle absolu d’organisation économique et encore moins pour la société. Néanmoins, la Chine démontre depuis quelques années qu’il est parfaitement possible de mieux réglementer la finance et de limiter la spéculation.

Un dirigisme à double sens

Dans les pays occidentaux, les dirigeants politiques et les instances de régulation ont pour principe de laisser faire les marchés et d’intervenir le moins possible, à moins d’un krach. La Bourse peut bien céder à une « exubérance irrationnelle », on laisse faire. Idem pour le marché immobilier qu’on laisse monter au-delà du raisonnable. Les interventions (par une baisse des taux d’intérêt ou une aide aux institutions financières) sont en général limitées aux cas extrêmes de baisse.

La Chine, à l’inverse, a adopté une politique macro-économique plus interventionniste. Elle se distingue par sa capacité à agir en cas de hausses excessives, là où les pays occidentaux se limitent essentiellement à agir en cas de fortes baisses. Que la bourse Chinoise monte excessivement, comme de 2006 à 2007, le gouvernement agit pour corriger les prix à la baisse. Idem avec les prix de l’immobilier : Pékin n’hésite pas à agir fermement pour calmer la hausse des prix.

Comment réguler la finance ?

Le gouvernement chinois avait décidé fin 2007 de provoquer une forte correction de la bourse de Shanghai après une multiplication par 6 des prix en à peine plus de deux ans. Et depuis l’an dernier, elle a agi de manière très volontariste (et avec succès) pour casser la hausse du prix de l’immobilier. Pour ce faire, Pékin a augmenté le montant de l’apport nécessaire à l’achat d’un bien immobilier et a également augmenter le montant des réserves des banques.

En un an, Pékin a ainsi imposé aux banques chinoises d’augmenter leurs réserves de 30% environ (de 17 à 22%), de manière à ralentir la croissance du crédit, qui s’était emballée avec le plan de soutien décidé en pleine crise économique. Et pour éviter d’être soumis aux hoquets du système financier international et maîtriser le cours de sa monnaie, la Chine est un des derniers pays à contrôler le mouvement des capitaux, qui ne circulent pas librement entre la Chine et le monde.

Tout ceci montre deux choses : non seulement qu’il est parfaitement possible de réglementer la finance et d’agir contre l’inflation des actifs. Mieux, cela signifie que la Chine pourrait être un allié de poids dans la réforme du système financier international contre le « laisser-faire » des anglo-saxons.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






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