Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Discours de Nicolas Dupont-Aignan pour l’Ecole républicaine

07/02/2011 10:21

Discours de Nicolas Dupont-Aignan pour l’Ecole républicaine


Téléchargez le discours en cliquant sur le document WORD.

http://www.debout-la-republique.fr/IMG/doc/Pour_l_Ecole_republicaine.doc

 

http://www.debout-la-republique.fr/Discours-de-Nicolas-Dupont-Aignan,1277.html






Français, laissez tomber le Parti Socialiste !

07/02/2011 10:12

Français, laissez tomber le Parti Socialiste !


Dans un peu plus d’un an, la France pourra tourner la triste page de la présidence Sarkozy. Mais aujourd’hui, l’alternance ne semble pouvoir venir que du Parti Socialiste. Un parti en lequel même Jean-Pierre Chevènement ne semble plus vraiment espérer
Une pseudo aile gauche
Bien sûr, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg donnent aujourd’hui le change et font exister une aile gauche au sein du Parti Socialiste. Mais tout d’abord, il faut noter que cette aile reste aussi minoritaire que le CERES dans les années 1970. Ensuite, il faut bien constater que bien des penseurs de la gauche du PS (Chevènement, Mélenchon, Généreux) sont partis, signe que les véritables alternatifs finissent toujours par ne pas se sentir à leur place dans ce parti de notables libertaires.
Et si les deux figures de la gauche du parti expriment une critique assez intéressante des dérives de la déréglementation, force est de constater que leurs propositions sont très timides et ne remettent pas véritablement en cause les équilibres économiques actuels qui ont créé un système inefficace, instable et injuste. Benoît Hamon propose un protectionnisme timoré. Arnaud Montebourg, trop préoccupé par son ego, vante les coopératives et oubli le rôle des frontières
Un centre de gravité libertaire et supranational
C’est que le substrat idéologique du parti le rend incapable de penser une véritable alternative économique. Bien sûr, le PS est un parti relativement interventionniste et qui ne recule pas à la dépense. Mais le Parti Socialiste a aussi un fond profondément libertaire qui, couplé à un internationalisme volontiers anti-national le pousse alors dans les bras d’un néolibéralisme radical sur les questions structurelles de la libéralisation du commerce, de la finance ou de la monnaie.
Comme le soulignent Frédéric Lordon et Jean-Pierre Chevènement, ce sont les socialistes qui ont libéralisé les mouvements de capitaux, donnant le pouvoir à la finance et favorisant les paradis fiscaux et le blanchiment de l’argent sale. Ce sont aussi eux qui ont accepté l’indépendance des banques centrales et une politique de monnaie chère qui sert principalement les rentiers. Ce sont eux également qui acceptent un libre-échange porteur de délocalisations et de baisses des salaires.
Une histoire rectiligne
Certains espèrent encore qu’aujourd’hui, alors que tous les travers de ce système économique sont devenus plus apparents, le Parti Socialiste puisse changer et incarner une véritable alternative pour notre pays. Mais, par-delà le fait que l’aile gauche du parti, petite, est en plus peu radicale, comment espérer quoique ce soit de la part du parti de Dominique Strauss-Kahn, François Hollande et Manuel Valls, les plus grands défenseurs du système qui nous a pourtant mené dans le mur.
Et surtout, un peu d’histoire permet de comprendre pourquoi le Général de Gaulle disait qu’il n’aimait pas les socialistes parce qu’ils n’étaient pas socialistes. Souvenons-nous que dans les années 1970, le parti balançait entre Michel Rocard et François Mitterrand, pas vraiment des penseurs de l’alternative économique. Jean-Pierre Chevènement nous rappelle dans son dernier livre à quel point Pierre Mauroy ne voulait pas remettre en cause les prémices de la « pensée unique ».
Tout chez le Parti Socialiste, les hommes qui le dirigent, les idées qu’il défend, ou son histoire, montrent que ce parti ne pourra jamais porter une véritable alternative pour notre pays. Espérons que nous approchons du moment où les Français s’en rendront compte, pour l’oublier.
Laurent Pinsolle





Pierre Mauroy (PS) condamné pour « abus de confiance »

07/02/2011 10:05

Pierre Mauroy (PS) condamné pour « abus de confiance »


L’ex-Premier ministre PS est condamné à une peine de 20.000 euros d’amende avec sursis pour un emploi fictif à la communauté urbaine de Lille, au bénéfice de Lyne Cohen-Solal.

L’ex-Premier ministre socialiste Pierre Mauroy a été condamné pour « abus de confiance », vendredi 4 février, à une peine de 20.000 euros d’amende avec sursis. Il était poursuivi pour un emploi fictif à la communauté urbaine de Lille, en 1992, au bénéfice de Lyne Cohen-Solal (PS). Celle-ci est également condamnée à 20.000 euros d’amende avec sursis.

Le parquet de Lille avait requis début décembre la relaxe des deux prévenus.

Conformément aux réquisitions de non-lieu prononcées par le parquet à l’issue de l’instruction, le procureur de la République, Frédéric Fèvre, avait demandé au tribunal de « relaxer purement et simplement » les prévenus, poursuivis pour « abus de confiance » et « recel d’abus de confiance ». Il avait également demandé la relaxe de Bernard Masset, ancien directeur de Pierre Mauroy à la CUDL, qui était poursuivi pour « complicité d’abus de confiance ». « La justice est-elle à même de démontrer que les rémunérations consenties à Lyne Cohen-Solal l’ont été sans contrepartie ? Le dossier ne le démontre pas », avait affirmé le procureur.

Pierre Mauroy a fait bénéficier sans contrepartie Lyne Cohen-Solal – actuellement adjointe au maire PS de Paris – d’un poste d’attachée de presse à la CUDL, alors qu’elle était aussi rédactrice en chef de l’hebdomadaire socialiste Vendredi.

« Le prix à payer »

A 82 ans, l’ancien chef de gouvernement avait contesté pied à pied les éléments ayant conduit à son renvoi. Il a longuement expliqué la mission de Lyne Cohen-Solal, chargée de « vendre » le futur Euralille – troisième centre d’affaires français après la Défense à Paris et la Part-Dieu à Lyon – alors en construction. « Ce qui m’intéressait, c’est le poste stratégique qu’elle avait au siège du parti, pour garder le contact avec les journalistes », a-t-il expliqué. « Elle n’était pas aux 35 heures, c’était une responsabilité, une disponibilité permanente », a encore assuré l’ancien Premier ministre de François Mitterrand à la presse. Interrogée sur ses visites espacées à Lille, Lyne Cohen-Solal a estimé qu’elle n’était « pas payée pour faire des aller-retours Paris-Lille (…). Nous travaillions beaucoup, avec Pierre Mauroy, à Paris, pour Lille ».

Avant l’audience, Lyne Cohen-Solal, qui était aux côtés de Pierre Mauroy dès le début des années 1980 à Matignon, avait estimé que sa comparution était « le prix à payer » pour avoir été candidate à la mairie de Paris contre le maire sortant Jean Tiberi, en 1997. Elle avait été à l’origine d’une plainte contre Jean Tiberi dans l’affaire des faux électeurs du Ve arrondissement de Paris qui a valu à ce dernier une condamnation en 2009. Jean Tiberi avait déposé une plainte dans l’affaire de la CUDL, classée sans suite.

« Acharnement procédurier »

Le renvoi de Pierre Mauroy en correctionnelle, malgré le non-lieu général requis en octobre 2009, conclut une longue procédure, issue d’une plainte en juin 2000 d’Eric Darques, ancien élu de l’agglomération lilloise, qui s’est posé pendant les débats comme le « défenseur de l’argent public ». Le conseil de Lyne Cohen-Solal a déploré « l’acharnement procédurier » d’Eric Darques.

Pierre Mauroy et Lyne Cohen-Solal avaient d’abord été mis en examen pour « détournement de fonds publics » – le préjudice supposé est évalué à l’équivalent de 19.654 euros – avant la requalification des faits.

Pierre Mauroy a cédé en 2008 la présidence de la communauté urbaine à Martine Aubry. Il a occupé le fauteuil de maire de Lille pendant 28 ans. Il ne sera pas candidat au renouvellement de son mandat de sénateur qui arrive à échéance en 2011.

http://www.gaullisme.fr/?p=12024






Lettre ouverte à Mme Alliot-Marie, par une Gaullienne indignée

07/02/2011 09:59

Lettre ouverte à Mme Alliot-Marie, par une Gaullienne indignée


 

Madame,

Je ne comprends pas. Vous êtes Gaulliste, je le suis aussi. Et pourtant, un abîme nous sépare. Parce que je suis Gaullienne plus que Gaulliste (fidèle à un idéal, une vision, pas à un Système), ou parce que je suis Gaullienne de gauche* ? Ou tout simplement parce que vous êtes infidèle ?

Je ne vous comprends pas, Madame. Vous avez fait allégeance à un Président qui détruit la France, ses valeurs, ses traditions, son âme. Vous servez un homme qui a été programmé par l’Etranger – anglo-saxon et israélien – pour liquider toute trace de gaullisme en France. En osant même enchaîner le navire France à l’OTAN, donc à sa perte. N’avez-vous pas le sentiment de renier tout ce qui fait le Gaullisme authentique ?

Le général de Gaulle aimait la France, Sarkozy a pour modèle les Etats-Unis et pour maître Israël via le Crif.

Le général de Gaulle était un rassembleur, Sarkozy est un diviseur.

Le général de Gaulle était un homme d’Etat, servant avec passion son pays, Sarkozy sert le Veau d’Or et ses amis milliardaires. Et il se sert, au passage. Grassement. Alors que Charles de Gaulle payait la moindre communication de téléphone personnelle, Sarkozy, lui, ne paie même pas d’impôts ! Et il se goinfre comme un nouveau riche, avec l’argent des contribuables, de surcroît vulgairement. Notre pays était respecté, il est aujourd’hui la risée de tous.

Le général de Gaulle se méfiait des Anglais, il ne les voulait pas dans l’Union Européenne pour ne pas l’enchaîner à une puissance cupide et égoïste, Outre-Atlantique ; il se méfiait des Américains, d’Israël, et des Juifs qu’il trouvait trop « sûrs d’eux et dominateurs ». Sarkozy laisse le CRIF gouverner, et l’Amérique dicter ses ordres. Et quelle Amérique ? Néo-conservatrice. L’horreur absolue ! Vous acceptez, Madame, de voir notre pays brader son indépendance pour un plat de lentilles, au mieux un strapontin ?

Le général de Gaulle avait une haute idée de la fonction. L’Occupant de l’Elysée la rabaisse sans cesse.

Vous souvenez-vous du général de Gaulle quand il clamait : » Vive le Québec libre ? » Aujourd’hui, la France est en train de perdre tout ce qui fait son identité. Même la langue de ses aïeux, qui avec Sarkozy sera un jour ravalée au rang de patois, au nom d’une « anglicisation » imposée.

Le général de Gaulle voulait une Europe jusqu’à l’Oural, vous l’ancrez à Washington, à Londres, à Tel-Aviv. Il avait une politique pro-Arabe, vous préparez, avec Sarkozy, les futurs progroms contre les citoyens arabes.

La France des nouveaux riches, des parvenus, ne vous gêne pas, Madame ? Pourtant, elle faisait horreur au grand Général. Et cette France-là, aujourd’hui, se pavane, étale son clinquant, écrase les plus petits, les plus faibles, les plus modestes, et même ses Roms ou, aussi, ses citoyens noirs ou musulmans. Que devient la Patrie des Droits de l’Homme ? Ce n’est pas en proposant le « savoir-faire » français en matière de Sécurité intérieure aux dictateurs que vous la servirez, Madame ! Et que devient notre modèle social tant envié dans le monde ?

Et l’image de notre pays, son rayonnement, qu’en faites-vous ? Votre mentor actuel les piétine, les avilit. Cela ne vous pose pas de problèmes ? Lisez la Presse étrangère, Madame.

Voyez-vous, Madame, il ne suffit pas de poser, une fois l’an, devant la Croix de Lorraine. Ni de serrer la main à Jacques Chirac devant des Médias collabos, pour être l’héritier du Général (comme le prétend votre Président).

Votre allégeance au Monde de l’Argent et au CRIF, aujourd’hui, Madame, vous conduit même à tenter de mater les aspirations d’un peuple à la liberté, en armant son bourreau, et à poursuivre notre plus grand journaliste d’investigation, Thierry Meyssan, homme libre lui aussi, comme le général de Gaulle.

Le goût du Pouvoir et de l’Argent vous aveugle-t-il, Madame ? Qu’avez-vous fait de vos convictions, de vos idéaux ? La transmission du Gaullisme est une responsabilité, et elle ne passe pas par le culte du Veau d’Or !

Madame, ouvrez les yeux sur ce que vous êtes en train de devenir. L’ombre de vous même, certainement ! Le Gl de Gaulle ne devait pas aimer les traîtres. Sarkozy, oui. N’est-il pas le premier à trahir ses promesses, son mandat, le Gl de Gaulle, et le pays qu’il est censé représenter, en l’offrant à l’Etranger ? Crime suprême, d’ailleurs : Celui de Haute Trahison.

L’Histoire, elle, n’est pas aveugle… Et elle a une longue, très longue mémoire ! Puis-je vous le rappeler ?

Eva R-sistons, journaliste-écrivain.


* Note de Gaullisme.fr

 

Eva s’exprime librement, je publie son texte car je l’approuve,  mais à une exception près.
”Madame, le gaullisme est un tout. Ce n’est pas un idéal que l’on débité en morceaux. Quant on est gaullisme, on assume sa globalité. Il est donc néfaste d’y ajouter un qualificatif : de gauche, de droite, souverainiste, social… De Gaulle le disait d’ailleurs ! Le gaullisme est aussi une synthèse (pas un compromis) entre des valeurs patriotiques, sociales, économiques…”

Alain KERHERVE

http://www.gaullisme.fr/?p=12004






Démission impossible

07/02/2011 09:57

Démission impossible


Selon Le JDD, la secrétaire d’Etat à la jeunesse, Jeannette Bougrab, blessée d’avoir été grondée pour ses propos appelant au départ d’Hosni Moubarak, a envoyé à François Fillon et à Nicolas Sarkozy sa lettre de démission.

Le bizutage organisé par Fillon pour encadrer Jeannette Bougrab a été particulièrement humiliant. Convoquée à Matignon, elle a été sermonné par François Fillon qui lui a remonté les bretelles en présence de son ministre de tutelle Luc Chatel. Les fuites organisées par Matignon pour relayer l’info n’ont pas arrangé les choses. On peut comprendre que Fillon ait anticipé les problèmes et décidé de mater préventivement la jeune secrétaire d’Etat issue de vous savez quoi pour ne pas se retrouver dans quelques mois avec des Rama bis et Rachida ter sur les bras. On peut également comprendre Madame Bougrab confrontée à un exercice périlleux : sauver et l’honneur et le job ! Donc, comme l’avait fait Bernard Kouchner cet été dans l’affaire des Roms, on fait le nécessaire à huis-clos pour garder le poste et on fait répandre le bruit qu’on était à deux doigts, que dis-je, même pas à un doigt de démissionner.

Si on peut juger par le passé, la secrétaire d’Etat à la jeunesse a bien joué la partie. Ce qui restera dans les esprits sera son appel à la démission du dirigeant égyptien. Après les déboires tunisiens de MAM, qui peut imaginer Fillon ou Sarkozy licenciant un ministre dont le seul tort est d’avoir publiquement critiqué Moubarak?

http://www.causeur.fr/demission-impossible,8584






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