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Papy n’a pas fait de Résistance
01/02/2011 17:43
La vénération de nos contemporains pour eux-mêmes a pour conséquence la convocation de leurs prédécesseurs au tribunal permanent − et expéditif − de l’Histoire, afin de vérifier si Napoléon n’était pas un peu raciste, Jules César misogyne ou si l’homme de Néandertal ne préférait pas, par hasard, payer des amendes plutôt que d’embaucher des handicapés ou de construire des HLM en zone résidentielle.
Mais cette névrose concerne de plus en plus l’intimité. Ainsi voit-on se former aujourd’hui un nouveau genre littéraire : l’introspection familiale à caractère sado-masochiste. Le principe est simple : dézinguer un ascendant mâle qui a vécu la période 1940-1944. Sauf si celui-ci était à Koufra avec Leclerc, on gagne à tous les coups. Ainsi se trouvent réunies deux passions contradictoires : la généalogie et la détestation de son passé.
L’énumération des ouvrages de ces vingt dernières années qui ont pour thème le passé collaborationniste du paternel serait longue. Il faut y ajouter le dernier livre d’Alexandre Jardin : Des Gens très bien, Grasset. Les Anciens mettaient au-dessus de tout le respect des ancêtres. Les Romains ne connaissaient pas de crime plus grave que le parricide. Les Modernes, apparemment, ne conçoivent pas de laisser tranquilles leurs parents, même quand ceux-ci sont morts. Il est piquant de constater que cette dénonciation des parents par leurs propres enfants fut précisément une des marques du régime nazi, dont on entend dénoncer par ailleurs sans indulgence les collaborateurs.
Épuration domestique
Comme le temps qui nous sépare de l’Occupation ne diminue pas, il faut désormais convoquer, à sa petite séance d’épuration domestique, le grand-père. C’est ce que fait Alexandre Jardin dans un ouvrage sans grand risque, puisque Vichy a disparu. Sans bénéfice non plus pour les victimes de ce régime. Son seul objet est de se déclarer dans le camp du Bien, contrairement aux salauds qui ont vécu sous Vichy. Il est assez curieux de voir cet auteur immature se prendre soudain au sérieux et, changeant de registre, porter des jugements grandiloquents sur notre histoire collective (à travers donc le cas de son grand-père qui fut, personne ne peut désormais l’ignorer, directeur de cabinet de Laval). Cela ressemble au spectacle d’un clown qui, soudain, au milieu du numéro, vous donnerait très sérieusement des leçons de métaphysique. C’est un peu inquiétant.
On reconnaît en général les vrais résistants au fait qu’ils ne sont pas couverts de médailles : l’exemple le plus remarquable est celui de l’écrivain Jacques Perret, qui n’a pas dépassé le cadre de caporal malgré des actes de résistance signalés, là où des résistants de juin 1944 devinrent colonels en quelques semaines. Jacques Perret a écrit beaucoup de beaux livres, mais dans aucun d’entre eux il n’éprouve le besoin de traquer ceux qui ont fait des choix moins courageux.
François Marchand
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CRS : Chevènement et Dupont-Aignan réagissent
01/02/2011 17:37
Chevènement :Je trouve qu’une grève de la faim chez les CRS, ça interpelle forcément
L’ancien ministre socialiste de l’Intérieur Jean-Pierre Chevènement (MRC) a estimé lundi qu’une grève de la faim chez des CRS « ça interpelle forcément », soulignant qu’on demande à la police « beaucoup d’efforts » et « en même temps on supprime des postes ».
« Je trouve qu’une grève de la faim chez les CRS, ça interpelle forcément, c’est quelque chose de jamais vu », a déclaré le président d’honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) sur Canal+, alors que des CRS marseillais en mission à Paris se sont mis samedi en grève de la faim pour protester contre la menace de fermeture de leur compagnie.
« C’est très original comme mouvement en tout cas » et « ça pose le problème des conditions dans lesquelles on fait évoluer la police », a-t-il ajouté.
« Les CRS sont une force de protection de l’ordre public, il appartient au ministère de l’Intérieur de voir comment les utiliser au mieux », a préconisé M. Chevènement, rappelant qu’il l’avait « fait autrefois en fidélisant les CRS dans certains quartiers dits sensibles sans pour autant dissoudre leurs unités ».
Selon lui, « sans doute le ministère confronté à la RGPP (Révision générale des politiques publiques), c’est-à-dire à la baisse des postes, essaie de transférer les postes des CRS vers d’autres formes de police ». Or, a-t-il dit, on demande à la police « beaucoup d’efforts, notamment en matière statistique, et en même temps on supprime des postes ».
« Les postes qui avaient été créés par M. Sarkozy (alors ministre de l’Intérieur) dans les années 2002-2003 aujourd’hui sont supprimés », a souligné le sénateur du Territoire de Belfort.
« Nous méritions d’avoir une police professionnelle, une police républicaine » et « il ne faut pas réduire les effectifs de police en dessous du niveau où ils étaient en 2002″.
Quant à la création de policiers citoyens, il a lancé : « c’est zéro, ça! » « La police c’est un métier, ça demande un professionnalisme certain, c’est un métier difficile » dans lequel « il y a chaque année des milliers de blessés et un certain nombre de tués. Par conséquent, je pense qu’il ne faut pas créer des forces supplétives et non professionnelles », a expliqué l’ancien ministre.
Nicolas Dupont Aignan : La seule chose qu’ils ont passée au Kärcher, c’est la police !
Le mouvement de protestation des CRS qui font face aux fermetures programmées de compagnies est d’une ampleur inédite pour la profession.
Aujourd’hui, certains CRS sont même engagés dans une véritable grève de la faim qui prouve tout à la fois leur détermination et leur désarroi.Car être CRS, plus qu’un métier, c’est une vocation. Souvent loin de leurs familles, les CRS se déplacent environ 200 jours par an. Et ils mettent bien sûr souvent en jeu leur propre intégrité physique.
Or, si le manque de concertation reproché au ministère de l’intérieur est désormais un classique, le mouvement de protestation me frappe surtout par la cohérence des critiques formulées.
En effet, alors que la délinquance augmente et que les missions assignées aux compagnies se multiplient sans cesse, la réduction des effectifs et la fermeture de casernes entières semblent totalement incompréhensibles.
Malgré les discours faussement sécuritaires du gouvernement, ce sont en fait plus de 10 000 postes de policiers qui ont été supprimés depuis 3 ans.
Ce sont même plus 1 300 postes de CRS qui ont été supprimés depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 !
Franchement, c’est à se demander quelle est la logique qui conduit Brice Hortefeux à prendre des décisions aussi absurdes. En fait, pour des raisons « budgétaires » le gouvernement semble prêt à laisser monter l’insécurité, sans même comprendre qu’au final le coût de la délinquance creuse d’autant les déficits !
Une fois n’est pas coutume, le gouvernement applique donc une logique libérale à un service public – sensé par définition servir l’intérêt des citoyens.
Il ne faut pourtant pas être grand clerc pour comprendre que le concept de « rentabilité » n’est pas pertinent pour une Institution dont le but n’est ni de gagner de l’argent, ni d’en économiser, mais simplement de garantir la sécurité de nos compatriotes et le maintien de l’ordre public;
A cet égard, il est particulièrement révélateur – bien qu’indécent – que ces annonces de fermetures fuitent au moment où le gouvernement annonce la création de brigades de citoyens volontaires et réservistes, qui seraient même armés au bout de quelques temps…
Tremblant devant les banques et les agences de notation, le gouvernement libéralise à tout va, ne comprenant pas que l’intérêt général ne peut pas être servi par des entreprises privées – et ne réalisant même pas que le coût final sera insupportable pour les Français.
En fait, c’est une véritable privatisation de la police nationale que dénoncent aujourd’hui les CRS.
Ils se font ainsi les porte-parole de l’ensemble de la profession, et je les assure de mon soutien total et déterminé.
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L’alliance des marchés et de l’Union Européenne
01/02/2011 17:33
Beaucoup, notamment à gauche, voient dans l’Europe le moyen de dompter les marchés et pour cette raison, ils sont partisans de « plus d’Europe » ou d’une Europe sociale. Ils n’ont pas compris que cette Europe n’a jamais servi que les intérêts du marché et qu’elle ne fera jamais rien d’autre.
Naïveté et réalité
Il est tout de même assez incroyable de pouvoir encore croire que cette Union Européenne pourrait être un moyen de domestiquer les marchés alors que depuis 25 ans au moins, elle démontre systématiquement le contraire. Juste en raisonnant par l’absurde, on serait bien incapable de citer aujourd’hui un seul exemple concret de protection. Les plans d’austérité européens démontrent bien aujourd’hui que cette Europe ne nous protège ni de la crise ni de la spéculation.
Aujourd’hui, l’Europe protège les créanciers (refusant la moindre restructuration des dettes souveraines contrairement aux idées avancées par l’Allemagne ou The Economist, qui ne sont pas des farfelus). Elle impose des cures d’austérité violentes aux peuples pour qu’ils honorent rubis sur ongle les créances d’un système financier que la collectivité vient pourtant tout juste de sauver de ses excès il y a un peu plus de deux ans, sauvetage en partie responsable du niveau des dettes.
Une alliance durable
Les évènements récents ont sans doute ouvert les yeux de beaucoup qui ont compris que cette Europe ne défend jamais les peuples mais les asservis à une finance dont elle n’a rien fait pour corriger les excès. Car le problème est plus profond. Il est structurel. Il est dans les gènes (fondamentalement néolibéraux) de cette Europe, éclaboussant tous les traités, qui sanctifient la « concurrence libre et non faussée ». Cette Europe est fondamentalement au service des marchés.
C’est cette Europe qui a imposé une privatisation complète de la création monétaire au service de la finance, qui peut emprunter à 1% à la Banque Centrale Européenne et prêter ensuite à 3 ou 7% aux Etats, tout en refourguant à cette même BCE leurs créances les plus douteuses. C’est cette Europe qui a imposé le dogme d’un euro cher qui ne profite qu’à une minorité et qui a amplifié le mouvement de délocalisations des emplois, envoyant des millions de travailleurs au chômage.
Tout casser pour toute recommencer
Cette Europe n’est pas un moyen de nous protéger des marchés. Au contraire, c’est le moyen s’asservir les peuples aux marchés. D’ailleurs, c’est bien pourquoi les marchés souhaitent le renforcement ses pouvoirs puisque cela lierait les peuples plus fermement encore.
Laurent Pinsolle
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Convention nationale pour l’Ecole républicaine le 5 février 2011 à L’Assemblée nationale
01/02/2011 17:24
Un nombre de jours de présence à l’école de plus en plus faible, les apprentissages fondamentaux (le français, les mathématiques…) malmenés, des enseignants insultés et menacés… : trente années de réformes ont véritablement mis à mal « l’école de la République » !
Il est aujourd’hui grand temps de stopper cette dégringolade.
Grand temps de retrouver une école du mérite, « creuset » de l’intégration républicaine.
Grand temps de refaire des instituteurs et des professeurs les piliers de l’éducation, du savoir et du respect.
Grand temps de restaurer le niveau d’éducation des générations futures, facteur essentiel de promotion sociale.
Car le déclin de l’école de la République n’est pas une fatalité. A tous les niveaux, des mesures de bon sens, concrètes et immédiates, sont possibles : conforter les enseignants dans leur mission, rompre avec le « pédagogisme », rétablir à l’école élémentaire les 15 heures hebdomadaires d’apprentissage du français (contre 9 actuellement), assumer l’exclusion des fauteurs de troubles dans les établissements scolaires, cesser de ne pas remplacer les départs en retraite des professeurs…
Oui, il est possible de redécouvrir le génie de l’école de la République pour peu que l’on en ait la volonté.
http://www.debout-la-republique.fr/IMG/pdf/Convention_Ecole_Rep_WEB.pdf
- Document de présentation (PDF)
http://www.debout-la-republique.fr/Convention-nationale-pour-l-Ecole.html
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La France n’est pas finie, le combat est devant nous. Partie 1
01/02/2011 11:19
Le 28 janvier, à partir de 17h, Jean-Pierre Chevènement était l’invité de la librairie Doucet, située tout près de la place de la République au Mans.
L’auteur du livre* « La France est-elle finie ? » a répondu aux questions de Madame Anne-Marie d’Argentré, puis du public présent (une centaine de personnes), avant de dédicacer le livre. Le tout en un peu moins de deux heures, le second rendez-vous manceau étant programmé à 19h dans les locaux de la télévision locale LM TV Sarthe (émission Tous azimuts - enregistrement visible bientôt sur le site). Cette rencontre avec l’auteur a été animée par la représentante de la librairie. Sans être spécialiste de politique, elle déclare avoir été touchée par la qualité littéraire du livre. Jean-Pierre Chevènement a rappelé que ses deux parents étaient instituteurs et que, dès l’âge de 4 ans, il avait appris à lire les livres à la maison. Seconde remarque : l’humour de l’auteur. Elle cite la partie placée sous le titre « La vie des saints », qui concerne Jacques Delors et son disciple, Pascal Lamy. « J’aime ces deux-là : leur dogmatisme libéral sans peur et sans reproche, tout enrobé qu’il puisse être de bonne conscience chrétienne moralisante, fait plaisir à voir, comme l’archétype d’une totale inconscience (car je ne puis retenir l’hypothèse d’une hypocrisie parfaite qui pourrait s’exercer ainsi à découvert, de manière « libre et non faussée »). Madame d’Argentré souligne d’entrée la place de l’Europe et de l’Allemagne dans ce livre qui parle d’avenir en parlant du passé. Jean-Pierre Chevènement rappelle qu’il a suivi les évènements politiques de près pendant 40 ans, depuis le congrès PS d’Epinay en 1971. Ayant lu dans son intégralité le traité de Maastricht, au printemps 1992, il en a été révulsé, s’est battu contre sa ratification (référendum 20 septembre 1992) et a quitté le PS en 1993. Pour comprendre pourquoi la France en est arrivée là, il faut remonter loin dans l’histoire, d’abord la première guerre mondiale (1,4 million de morts pour la France entre 1914 et 1918) et l’effondrement de la France en cinq semaines en 1940. Le choix européen a été une fuite en avant dans l’ambiguïté, l’Acte Unique étant en fait la transposition du néolibéralisme en Europe. A partir du diagnostic (constat de la supériorité de l’Allemagne en Europe, notamment), il s’agit de dessiner le projet pour la France du 21ème siècle. Madame d’Argentré choisit six citations et autant de mots clés, demandant à chaque fois à Jean-Pierre Chevènement de commenter.
1- Les engagements initiaux (CERES, PS avec Mitterrand) : socialisme moderne, république sociale en préservant les acquis de la Vème République.
JPC : le socialisme et la République ne sont pas contradictoires (synthèse de Jaurès). Mon socialisme est républicain, basé sur l’égalité réelle des chances. Nous créons le CERES après la fin de la guerre d’Algérie. Guy Mollet nous a fait combattre dans le Djebel algérien, ce qui est absurde. Nous approuvons l’indépendance de l’Algérie et la volonté du général de Gaulle de restaurer l’Etat. Dans les domaines de l’Etat, de la politique étrangère, de la dissuasion nucléaire, de l’indépendance nationale, nous sommes d’accord avec de Gaulle. Par la suite, nous avons soutenu la consolidation des institutions de la Vème République. Je continue au Sénat, en tant que vice-président de la Commission des affaires étrangères et de la défense, à être le spécialiste des questions nucléaires. Gaulliste devenu socialiste ? Socialiste gaullien ? De Gaulle était féru d’histoire (son père était professeur d’histoire). Madame d’Argentré souligne que les références (Jaurès, de Gaulle) de ce livre très dense incitent à le recommander aux élèves de sciences politiques.
2- Le pari pascalien de Mitterrand
JPC : il rappelle ce qu’est le pari de Pascal pour Dieu, puis il explique celui de Mitterrand. Constatant la misère des nations (guerre des tranchées, nationalismes), il parie sur la perspective d’une Europe réconciliée au-delà des nations. En chemin, il confond nation et nationalisme (la maladie de la nation). En réalité, il met en place la dérégulation, le néolibéralisme au niveau de l’Europe. Je ne conteste pas le projet de réunir les peuples européens. Ce que je conteste radicalement, ce sont les modalités de la construction européenne.
3- La Chine est très présente dans le livre.
JPC : l’influence économique de l’Europe ne cesse de s’affaiblir au profit de l’Asie. Les multinationales font leur chiffre d’affaires dans les pays émergents. L’industrie française, qui faisait 30% du PIB en 1982, n’en fait plus que 13%. La Chine a un taux de croissance de 10% par an. Elle aura rattrapé le PIB des USA en 2025. L’Europe est prise en tenailles entre le dollar et le yuan, l’euro étant la variable d’ajustement.
4- le néolibéralisme. La gauche en est accusée dans le livre. En quoi est-elle responsable ?
JPC : 1983 est le tournant majeur. Puis, ce fut le Sommet de Fontainebleau en 1984 et l’Acte Unique en 1985. La machine était lancée. Impossible de l’arrêter. Le néolibéralisme est la théorie devenue dominante à la fin des années 1970 (Thatcher, puis Reagan) qui considère que le marché sait ce qui est bon. Initiée dans l’économie, elle s’est étendue à d’autres domaines ensuite. La gauche a été plongée dans le bain acide du néolibéralisme à son arrivée au pouvoir en 1981. Celui qui porte le mieux le projet néolibéral est Pascal Lamy, qui était au cabinet de Jacques Delors au ministère de l’économie et des finances, et l’a suivi en 1984 en tant que directeur de cabinet à la Commission européenne. Actuellement directeur de l’OMC, il symbolise le fanatisme libéral total. Pour la droite, la situation est extraordinaire. En favorisant le néolibéralisme, la gauche a couvert ses retrouvailles avec l’argent et l’a délivrée des principes de solidarité sociale impulsés par le Conseil national de la résistance.
5 et 6- le bilan et l’avenir. Après la parenthèse néolibérale, la gauche doit se remettre à penser. L’avenir, c’est le projet pour la France en prenant appui sur la jeunesse.
JPC : le résultat, c’est la crise profonde qui n’est pas finie. Il faut remettre les neurones en marche. En Europe, l’Allemagne dominante impose des plans d’austérité. Pourtant, elle réalise 60% de son excédent commercial au sein de la zone euro. La France est le seul pays qui peut faire un contrepoids à l’Allemagne. Celle-ci est myope, n’a pas de politique étrangère (son ministre actuel est nul). La France peut, si elle veut.
Michel Sorin - http://mrc53.over-blog.com/ - 29 Janvier 2011
http://blogrepublicain.hautetfort.com/
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