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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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L’euthanasie, un progrès pour l’humanité

26/01/2011 16:17

L’euthanasie, un progrès pour l’humanité


Le Parlement étudie en ce moment un texte qui pourrait rendre l’euthanasie plus facile en allant plus loin que la loi Léonetti. Malheureusement, une partie de l’UMP et François Fillon freinent des quatre fers sur un sujet où l’influence religieuse semble forte…

Un débat très vif

Le débat sur l’euthanasie ressurgit fréquemment dans l’actualité. Le cas de Chantal Sébire, une femme défigurée par la maladie, percluse de douleurs et désireuse de pouvoir mettre fin à sa vie quand elle le souhaitait avait ému beaucoup de Français. En effet, la seule chose possible légalement aujourd’hui est l’euthanasie passive, qui consiste par exemple à ne plus nourrir la personne, mais cette issue peut aboutir à une fin de vie absolument atroce et inhumaine.

Le premier projet de loi présenté au Parlement était équilibré et représentait une avancée majeure dans la mesure où il légalisait l’euthanasie active en instaurant tout de même les précautions nécessaires pour éviter le moindre abus avec notamment la création d’un collège de médecins chargés de confirmer le choix du malade souhaitant mettre fin à ses jours. Malheureusement, le Sénat vient d’introduire des amendements vidant de sa substance le texte initial.

De l’humanité et de l’état de nature

Il est bien évident qu’une légalisation de l’euthanasie ne peut être envisagée que dans un cadre équilibré et protégeant de tout abus, garantissant la volonté durable du malade de mettre fin à ses jours. Et cela me semblait être le cas du texte proposé initialement. Il est malheureusement assez clair que les croyances religieuses jouent un rôle dans l’opposition d’une partie de la droite à cette loi, comme le sous-entend à bas mot François Fillon dans une tribune au Monde.

Pourtant, la légalisation de l’euthanasie semble pourtant la solution la plus humaine pour des malades en phase terminale, souffrant de leur maladie, et préférant mettre fin à leurs jours sans en avoir la force. N’y a-t-il pas un côté inhumain à refuser qu’un homme ou une femme ne puisse pas abréger ses souffrances ? De multiples cas montrent clairement que la voie la plus humaine est de redonner à l’homme la maîtrise de sa vie, fût-ce pour y mettre fin volontairement.

La volonté d’interdire cette pratique me semble vouloir imposer la règle de la nature à l’homme, niant quelque part notre humanité qui consiste si souvent (et pas toujours pour de bonnes raisons, il est vrai) à dépasser cet état de nature pour établir de nouvelles règles. Et dans ce cas précis, cette règle me semble aller dans le sens d’une plus grande humanité dans le bon sens du terme : épargner des souffrances inutiles et reconnaître à ceux qui le souhaitent le contrôle de leur vie.

Bien sûr, des gardes fous solides doivent être mis en place pour éviter qu’une euthanasie soit décidée sur un coup de tête. Mais cela semblait bien pris en compte par le projet de loi initial. Dès lors, il est très regrettable qu’une partie de l’UMP mette tout son poids pour le remettre en cause.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Le Programme de Salut Public du Mouvement Républicain et Citoyen

26/01/2011 16:10

Le Programme de Salut Public du Mouvement Républicain et Citoyen


Voici le texte intégral du Programme de Salut Public qui a été adopté par le Mouvement Républicain et Citoyen, lors de son Congrès, le 26 juin 2010. Le document est mis en forme et prêt pour impression.

Le Programme de Salut Public est disponible ci-dessous au format PDF.
 


mrc_programme_de_salut_public.pdf MRC Programme de Salut Public.pdf  (254.46 Ko)






Livret A: 30 milliards pour les banques, qui en redemandent

26/01/2011 16:04

Livret A: 30 milliards pour les banques, qui en redemandent


Depuis 2009, sous le patronage du banquier François Pérol, alors conseiller de l'Elysée, les banques peuvent distribuer les livrets A. Elles conservent 30 milliards d'euros censés financer les PME. Confrontées à de nouvelles obligations réglementaires, celles-ci lorgnent sur les milliards encore centralisés à la Caisse des dépôts et qui financent le logement social. Le décret fixant les nouvelles règles fait l'objet d'une guerre feutrée
 Fifty-fifty » ! François Pérol, le sémillant patron de la Fédération bancaire française n’a pas oublié son passage au sein du premier cercle des conseillers de Nicolas Sarkozy. Redevenu banquier par la grâce présidentielle, il veut appliquer aux 265 milliards d’euros, déposés sur les Livrets A et Livret de développement durable (LDD), la règle simple et en apparence équilibrée que, celui qu’il se targue d'imiter si bien, avait formulée pour le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux.
A le suivre, ces fonds devraient pour moitié aller à la disposition des banques et pour son autre moitié financer le logement social via la Caisse des dépôts et consignations (CDC), « cette machine à transformer l’épargne des Français – dont François Bloch-Lainé disait qu’elle permettait de transformer « des liquidités en barrages » et qui permet surtout aujourd’hui de les transformer en « briques » », comme la désigne Augustin de Romanet, son directeur Général. Des briques en dur, que François Pérol a permis de transformer en cash.
C’est le dernier épisode d’une guerre à peine feutrée opposant les banquiers qui lorgnent sur ces milliards et la CDC, soutenu par Thierry Repentin; président de l’Union des sociétés d’HLM. Dans les pas de François Pérol, même si il le conteste, « je ne suis pas venu devant vous pour défendre les banques », ce fut au tour de Christian Noyer, le gouverneur de la banque de France, de venir plaider la cause des banquiers devant la commission des finances de l’Assemblée.  
Car le temps s’accélère. Le gouvernement doit impérativement trancher dans les prochains jours. Et fixer le fameux décret organisant le partage de la manne. Dans son premier canevas, rejeté par la Commission de surveillance de la CDC, mercredi dernier, le décret prévoit de fixer à 65% la part des fonds restants à disposition de la CDC. « Inacceptable », pour Michel Bouvard. Le député UMP de Savoie, par ailleurs président de la commission de surveillance rappelle que Christine Lagarde, le ministre de l’économie, « s’était engagée sur un plancher de 70 % en 2008 ». Et du sol au plafond, il n’y a qu’un pas. Car ce qui fut un minimum est en passe de devenir un maximum, sur lequel les députés comme la CDC s’apprêtent à transiger. 
Mieux, ils seraient prêts à ce que ce taux soit atteint graduellement en 2016.

Du cash, et du pas cher
Il faut dire que l’effort pour les banques est à la mesure de l’intense lobby qu’elles font peser sur Bercy. Car leur gourmandise naturelle pour ces fonds de bonne qualité et pas chers -le livret A, c’est du quasi cash bon marché - s’est soudainement accru. 
La crise financière dont elles furent à l’origine n’a pas totalement laissé de marbre l’instance internationale chargée de la régulation du secteur. Ridiculisée, dépassée par la sophistication financière qu’elle a laissé s’épanouir, cette autorité basée en Suisse est en passe de faire payer aux banques son discrédit. Les normes de solvabilité, dîtes Bâle III, telles qu’envisagées obligent les banques à placer d’avantage de fonds propres en face de leurs engagements. Selon les travaux du comité de Bâle, pour faire face aux prêts qu’ils accordent d’une main, les établissements financiers devront avoir dans l’autre main 100% des fonds qu’ils pourraient perdre dans une crise identique à celle de 2007.
Un taux de couverture de 100% : à ce jeux là, il devient plus compliquer de faire l’apprenti sorcier. Et les banques françaises qui se sont targuées de leur bonne santé sont gros-jean comme devant. Dans son édition du mardi 25 janvier, le journal Les Echos cite un banquier : « pour certaines banques (ce taux est) autour de 20% ». Ce sont donc des dizaines de milliards d’euros que les banques hexagonales vont devoir trouver et rapidement. Et de deux chose l’une : soit les actionnaires mettent la main à la poche, en augmentant les fonds propres, soit les banques trouvent des ressources nouvelles… 
Quand on sait que la première solution fait baisser le rendement des actions, on comprend vite l’appétit des banquiers pour les noisettes du livret. « La centralisation de la collecte du livret A et du LDD ne doit pas devenir une variable d’ajustement au regard des nouvelles règles de Bâle », dénonce Michel Bouvard.
« On a bien compris que les banques avaient un problème avec Bale III, explique Jean-Pierre Balligant, député PS de l’Aisne et également membre de la commission de surveillance de la CDC. C’est d’ailleurs clairement leur dernier argument en date pour demander une part accrue de la ressource des livrets. Mais je rappelle que ces fonds sont de l’argent public. La non fiscalisation de leurs intérêts est la contrepartie d’une politique publique. C’est par nature le cas pour le financement du logement social. C’est bien moins clair pour le financement des PME, au nom duquel les banques ont déjà arraché un morceau de la ressource. Aller plus loin, ce serait un hold-up. »
Imbroglio statistiques
Car les banques n’en sont pas à leur coup d’essai. En plus de la libéralisation de la distribution du Livret A (réclamée par Bruxelles), jusque là réservée à l’Ecureuil, au Crédit Mutuel et à la Poste, elles se sont déjà assurées en 2008 une part du gâteau (non réclamée par Bruxelles). Sous couvert de financer les PME, une partie des fonds des Livrets A ouverts à leurs guichets peut demeurer à leur bilan aux cotés des fonds issus des LDD dont elles avaient historiquement la charge.
A la date du 4 août, cette somme atteignait les 64 milliards d'euros. Sans compter la petite gâterie de 9,5 milliards ponctionnés sur la CDC fin 2008, au titre du plan de relance, et elle aussi destinée à financer les PME. Une sorte de 4 août à l’envers, ce jour d’été 2008 où elles obtinrent le privilège de conserver un peu de cet argent public.  
Pour rendre le tableau favorable aux banques, le rapport de l'Observatoire de l'épargne réglementée fait débuter ses observations à la fin du dernier trimestre 2008. Il fait ainsi l'impasse sur le transfert d'octobre 2008 de 9,5 milliards d'euros. L'observatoire peut ainsi conclure qu'entre le dernier trimestre 2008 et le dernier trimestre 2009, le taux de centralisation s'est certes réduit passant de 69,1 % à 66,4 %, mais les fonds encore dans les caisses de la CDC progressent eux de 163,5 milliards à 169 milliards d'euros. En faisant débuter ses observations un trimestre auparavant, le résultat aurait été tout autre: il y avait 174 milliards d'euros, pour un taux de centralisation de 73 %.
Résultat : entre août 2008, et fin 2010, pas moins de 30 milliards d’euros supplémentaires innervent désormais leurs comptes. Les établissements bancaires auront ainsi capté la totalité de l’augmentation de cette épargne sur les deux dernières années. Une petite bouffée d’argent frais qu’ils rémunèrent une bouchée de pain, et qu’ils ne prêtent ensuite aux PME qu’au compte goûte et à des taux très substantiels. Entre fin 2008 et fin 2009, leurs encours de prêts aux PME n’a progressé que de 6 milliards.
Au total, les adhérents de la FBF contrôlent donc près 93,5 milliards sur les 265 milliards déposés sur les LDD et les livrets A, ainsi que le montre une note de Bercy.  

François Pérol, grand gagnant
J’y suis, j’y reste : ces 93,5 milliards d’euros rapportés aux 265 milliards d’euros d’encours total donnent bien un taux de 65% de conservation pour la CDC. D’où la proposition du gouvernement qui permettrait aux banques de ne pas reverser d’argent à la CDC. Pour celles qui verraient émerger un taux de 70 % d’ici 2016, elle assurerait un passage sans douleur, les nouvelles collectes venant faire le joint. 
En revanche, que ce taux soit abaissé à 50% et ce sont 40 autres gros milliards qui iraient directement dans les poches des banques. 
En attendant, et dans tous les cas, le principal gagnant de ce système est… l’Ecureuil. Contrairement à la Poste qui absente du marché du crédit aux PME, a du rendre la totalité des fonds, l'autre acteur historique du livret A, les Caisses d'Epargne, a fait une belle affaire. L’établissement dont François Pérol prend la tête en février 2009, a pu constater à son bilan 13 milliards d’euros supplémentaires de fonds propres issus des Livret A.   
De quoi mettre du beurre dans les épinards du groupe Banques Populaires-Caisses d'Epargnes (BPCE) qui en avait bien besoin. Au bord du précipice, le groupe dont la fusion fut pilotée par François Pérol, alors banquier d'affaires chez Rothschild puis conseiller du Président, avait un besoin impératif de fonds propres pour colmater les pertes, notamment constatées sur les subprimes, de sa filiale Natixis.
Qu'importe donc la question de déontologie, on se souvient de l'épisode où François Pérol s'est joué de la commission éponyme, sa nomination à la tête de la BPCE a tout les atours d'un bon bon gros bonus pour bonne assistance de banque en danger. Et là pas question de partager «Fifty-fifty».
Emmanuel Lévy - Marianne





Nicolas Sarkozy décrit l’agenda de son G-Vain

26/01/2011 15:55

Nicolas Sarkozy décrit l’agenda de son G-Vain


Hier, Nicolas Sarkozy a tenu une conférence de presse sur les questions internationales, histoire de se présidentialiser un peu plus. Outre les sujets d’actualité récente, il a longuement développé son agenda de réforme du capitalisme. Pas de révolution en vue…

De l’ambition à la sobriété

Il y a encore peu de temps, Nicolas Sarkozy parlait de nouveau Bretton Woods et de la nécessité de refonder un capitalisme qu’il convenait de moraliser. Il n’avait pas de mots assez durs contre les spéculateurs, les banquiers ou les paradis fiscaux. Le président de la République, qui préside le G20 cette année, assurait que grâce à son action, le cas de ces trous noirs de l’argent sale avait été traité. Las, déjà sur ce sujet, il pêchait une nouvelle fois par fanfaronnade.

Comme le montre bien Hervé Nathan, Nicolas Sarkozy a de lui-même considérablement réduit les ambitions pour cette année 2011. Les trois priorités fixées par la présidence Française n’étaient pas inintéressantes (réforme monétaire, règles sociales pour la mondialisation, maîtrise des prix agricoles), mais alors qu’il se met au travail, il abandonne le lyrisme devant la petitesse de ce qu’il s’apprête à réaliser. Nous sommes bien loin des accents de 2008-2009.

La régulation ultralégère

Sur les questions monétaires, si certains problèmes sont bien analysés, pas une réponse sérieuse n’est proposée puisqu’il n’y a pas de remise en cause du dollar ou de la libre-circulation des capitaux et que la mise en place d’une taxe sur les transactions financières est exclue en solo. Comment ne pas halluciner en constater que l’agenda se limite à l’établissement de « critères du déséquilibre » ? Pas besoin de réfléchir aussi longtemps : les balances des paiements sont un bon indicateur…

De même, vouloir instaurer des règles sociales au sein du G20 est totalement illusoire. Déjà que les pays européens n’arrivent pas à se mettre d’accord sur le sujet, alors mettre l’Europe et la Chine d’accord est inimaginable. Enfin, sur les prix agricoles, il propose une régulation de la spéculation dont on se doute qu’elle ne sera pas bien sévère et une plus grande transparence des stocks. Bref, ce n’est pas ce G20 qui va mieux encadrer l’anarchie économique actuelle.

Par-delà le retour à la réalité soudain de Nicolas Sarkozy, il est triste de constater à quel point les leçons de la crise n’ont pas été retenues. Rien ne sera fait avant une nouvelle crise. Cela démontre également les limites des forums trop importants pour réformer quoique ce soit.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Paroles, paroles...

26/01/2011 15:49

Paroles, paroles...


A la suite de l’odieuse disparition de la jeune Laetitia s'ouvre de nouveau le débat sur la question de la récidive.
Comme un rituel après chaque crime le Président de la République s’indigne, le Garde des Sceaux lit péniblement ses fiches pour promettre de nouvelles dispositions législatives et des parlementaires réclament des missions d’information... Mais pourtant ce sont les mêmes qui ont laissé voter - au cours des dernières années - des lois laxistes.
Je pense bien sûr notamment à la loi pénitentiaire de 2009 qui supprime l’incarcération pour les condamnés à 2 ans ou moins de prison, la remplaçant par des peines alternatives qui ne sont jamais contrôlées en pratique.
Ce sont également les mêmes qui ont refusé à plusieurs reprises ma proposition de loi supprimant les remises de peines automatiques, qui aboutissent au fait qu’en France la plupart des condamnés n’exécutent aujourd'hui que la moitié de leur peine.
Ce sont les mêmes enfin qui ont laissé vider de son sens la loi sur la récidive, pourtant votée à grand renfort de tambours et de trompettes en 2008 pour rassurer l’opinion.
Mais alors pourquoi dans la pratique, l’UMP et le gouvernement ont-ils mené une politique pénale aussi laxiste, aidés en cela par le PS qui s’indigne à la moindre volonté de législation faisant croire aux Français que la droite est répressive ?
La raison est simple : la majorité parlementaire ne se donne pas les moyens de mettre en oeuvre le programme de 20 000 places supplémentaires de prison. Quand l’Angleterre dispose d’environ 80 000 places, la France plafonne tout juste au dessus de 60 000.
Tout est donc fait en réalité pour vider les prisons afin d'éviter la surpopulation carcérale intenable.
Plus récemment encore, une proposition de loi du Sénat signée par Mr Lecerf - Sénateur UMP du Nord - vise à réduire d’un tiers les peines de prison pour certains criminels atteints de problèmes psychologiques. Mais, là aussi, sans prévoir les structures psychiatriques d’enfermement indispensables...
Le choix est donc simple : soit nous continuons ainsi, et il y aura malheureusement beaucoup d’autres crimes odieux, soit on se donne les moyens de mettre en œuvre une politique pénale cohérente. Tout le reste n’est que verbiage !
C'est pourquoi j'ai appelé le gouvernement à faire adopter en urgence ma proposition de loi pour la suppression des remises de peine automatiques, dont aucune raison ne saurait justifier le rejet, qu’elle soit d’ordre moral ou juridique, et qui s’avère aujourd’hui plus que jamais de salut public.
Nicolas Dupont Aignan





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