|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Gaullisme local ] [ Revues des blogs ] [ Evènements ] [ TV, Radios, Journaux ] [ Lecture gaullienne ] [ Gaulliste libre ]
|
|
|
|
Le scandaleux silence au sujet de Fukushima. Fukushima : It’s much worse than you think
21/06/2011 13:11
Très mauvaise nouvelle. Pour le moment et compte tenu des technologies aujourd'hui disponibles, l'objectif d'empècher l'explosion nucléaire de l'ensemble du site de Fukushima paraît hors de portée alors que le processus cataclysmique ne cesse de prendre de l'ampleur.
Il y a quelques jours, des images virtuelles d'un éventuel sarcophage que Tepco pourrait installer au dessus des réacteurs en perdition de Fukushima circulaient sur les télévisions. Mais assez curieusement, il s'agissait apparemment de structures assez fragiles, quasiment en matière plastique, très éloignées des milliers de tonnes d'acier et de ciment envisagés pour remplacer l'actuel sarcophage en place à Tchernobyl. On ne voit pas comment de telles structures pourraient contenir une explosion majeure sur le site de Fukushima. Tout au plus pourraient-elles empêcher la diffusion de gaz radioactifs sous basse pression. De toutes façons, Tepco annonce que la mise en place de ces protections ne sera pas possible avant longtemps, compte tenu du niveau de contamination actuel du site.
En fait, les priorités devraient être toutes autres. Il devrait être indispensable d'empêcher dans les jours, semaines ou mois qui viennent la contamination d'une partie du Japon par les cœurs en fusion des réacteurs touchés par le tsunami. Or, très mauvaise nouvelle, pour le moment et compte tenu des technologies aujourd'hui disponibles, cet objectif paraît hors de portée alors que le processus cataclysmique ne cesse de prendre de l'ampleur. Une toute aussi mauvaise nouvelle est que, désormais, le monde entier fait silence sur le désastre mondial qui se prépare. Les conspirationnistes ne devraient pas être les seuls à s'interroger sur les raisons de ce silence.
Si l'on en croit l'industriel Tepco, le gouvernement japonais qui l'a toujours soutenu y compris dans ses décisions les plus hasardeuses et les industriels américains du nucléaire qui ont depuis les origines partie liée avec le Japon pour la gestion de son parc nucléaire, la situation à Fukushima serait potentiellement pire qu'elle ne le fut à Tchernobyl. Selon ces sources cependant, il n'y aurait pas de danger immédiat, tant du moins que l'on continuera à pomper de l'eau et qu'un nouveau fort tremblement de terre ne se produira pas. Pas de danger immédiat sans doute, mais pas de solutions fiables avant quelques années au mieux. En attendant, selon ces sources, il n'y aurait pas de raisons de s'inquiéter. Curieuse préconisation.
Pour d'autres experts au contraire, la situation n'a jamais cessé depuis le début de s'aggraver. Aujourd'hui il y aurait de forte probabilités (certains disent 50/50) pour que le pire se produise. Un article récent de Aljazeera.net cité ci-dessous vient de faire un bilan assez terrifiant de la situation. On pourrait suspecter la neutralité de Aljazeera mais la chaîne se borne à reprendre les diagnostics de deux experts confirmés du nucléaire, l'américain Arnorld Gundersen (photo) et le japonais Shoji Sawada. L'un et l'autre, à première vue semblent parfaitement objectifs et bien informés. Certes ils sont tous les deux devenus des whistle-blowers alertant sur les dangers du nucléaire. Le site Fairewinds auquel participe Arnorld Gundersen est un leurs représentants les plus influents aux Etats-Unis. Mais cela ne devrait pas être une raison pour disqualifier leurs analyses.
Pour Arnold Gundersen, notamment, la fusion des réacteurs touchés constitue désormais un processus sans doute impossible à empêcher, compte tenu encore une fois des connaissances scientifiques et technologiques du moment. Le refroidissement par eau ne pourra que le retarder de quelques temps, tout en noyant la région et la mer environnante sous des milliers de tonnes d'eau fortement contaminées. Une fois les nappes phréatiques ou les couches terrestres profondes atteintes, ce ne serait pas seulement une large périphérie autour de Fukushima qui deviendrait inhabitable, mais sans doute la ville de Tokyo elle-même. Dans l'hypothèse la plus grave, celui de l'explosion des centaines de tonnes de combustibles nucléaires présents sur le site, le Japon tout entier puis très vite des zones étendues de l'hémisphère nord pourraient être interdits à la vie humaine.
D'ores et déjà, deux experts de santé publique américains estiment avoir observé une augmentation anormale de la morbidité des nouveaux nés dans une dizaine de villes de la cote ouest des Etats-Unis situés approximativement sous le vent de Fukushima (voir ci dessous le rapport Sherman-Mangano). On s'étonne que, devant une observation aussi troublante, des inquiétudes beaucoup plus nombreuses ne se soient pas encore manifestées, notamment aux Etats-Unis, si soucieux en général de la santé publique.
La situation paraît en voie de devenir si grave que le silence des autorités nationales et internationales est véritablement inexplicable. Même si peu de remèdes ne paraissent pour le moment disponibles, il conviendrait néanmoins que les scientifiques du monde entier y réfléchissent et travaillent à la mise au point de solutions. L'inaction actuelle donne beaucoup d'arguments à ceux dénonçant une conspiration du silence de la part des gouvernements et des industriels impliqués, non seulement au Japon mais aux Etats-Unis. La complicité objective entre Barack Obama et l'Exelon Corporation, le plus gros fournisseur d'énergie nucléaire et un des plus importants contributeurs de sa campagne, est dénoncée.
Rien cependant n'y fait. L'attitude généralement affichée par l'ensemble des décideurs et des médias est particulièrement à courte vue, mais elle n'indigne encore personne. Le message général s'apparente au suivant : "le magma monte dans la cheminée du volcan. Une explosion destructrice se produira bientôt. Mais qu'importe, dormez tranquilles au bord du cratère...pour le moment".
Précisons à l'attention de ceux qui militent pour l'abandon de l'énergie nucléaire que ce dernier objectif de l'abandon, à supposer qu'il soit décidé, ne pourra pas être mis en oeuvre avant 25 ou 30 ans. Au Japon le monde se trouve confronté à une échéance beaucoup plus immédiate et à des risques beaucoup plus graves : un Tchernobyl de magnitude 10 pouvant se produire dans quelques mois. La réaction de prévention devrait être toute différente.
Jean-Paul Baquiast et Christophe Jacquemin
Sources * Article d'Aljazeera : http://english.aljazeera.net/indepth/features/2011/06/201161664828302638.html * Fairewinds : http://www.fairewinds.com/home * Arnold Gundersen : http://en.wikipedia.org/wiki/Arnold_Gundersen * Paul Jorion : http://www.pauljorion.com/blog/?p=24334 * Rapport Sherman Mangano : http://www.counterpunch.org/sherman06102011.html " The recent CDC Morbidity and Mortality Weekly Report indicates that eight cities in the northwest U.S. (Boise ID, Seattle WA, Portland OR, plus the northern California cities of Santa Cruz, Sacramento, San Francisco, San Jose, and Berkeley) reported the following data on deaths among those younger than one year of age : 4 weeks ending March 19, 2011 - 37 deaths (avg. 9.25 per week) 10 weeks ending May 28, 2011 - 125 deaths (avg.12.50 per week) * Exelon Corporation : http://www.exeloncorp.com/Pages/home.aspx
http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/le-scandaleux-silence-au-sujet-de-96250
| |
|
|
|
|
|
|
|
Jean François Copé et le nouveau "qui perd gagne"
21/06/2011 13:04
Etrange ambiance dans des fédérations locales de l'UMP avec le sentiment que la perte de la présidentielle peut être l'assurance de la compétitivité pour les élections locales ...
Et si une partie de la droite souhaitait de moins en moins discrètement la défaite aux présidentielles pour reconquérir les bastions locaux en 2014 ?
C'est une sorte de "réflexe" qui apparaît dans un jeu au "qui perd gagne" bien étonnant.
Mais en dehors des parlementaires conscients que leur sort est lié à celui du Chef de l'Etat, bon nombre de responsables politiques locaux estiment que la perte de l'Elysée est le plus sûr moyen pour gagner les Villes en 2014.
C'est une nouvelle mentalité avec laquelle Jean François Copé devra compter pour la mobilisation pour 2012.
http://exprimeo.fr/article/6935/jean-francois-cope-et-le-nouveau-qui-perd-gagne.htm
| |
|
|
|
|
|
|
|
Marine le Pen et le "trimestre en or"
21/06/2011 13:02
L'actualité judiciaire semble se liguer pour constituer la rampe de lancement de Marine le Pen dans le dernier trimestre 2011.
Rendu de l'appel Clearstream + procès Chirac + feuilleton DSK avec jugement éventuel en décembre 2011 = déclassement quasi-généralisé de "l'élite" politique.
Difficile d'imaginer meilleures circonstances pour la leader du FN au moment où les candidats pour 2012 se mettront en ordre de départ officiel.
Tout se prépare pour un score historique de Marine le Pen à la condition qu'elle continue à travailler le contenu de son offre pour la placer en totale "rupture" des anciens usages
| |
|
|
|
|
|
|
|
Pour contrer Bayrou, Borloo organise son staff
21/06/2011 12:57
Si certaines mauvaises langues murmurent que Jean-Louis Borloo hésite encore à se lancer dans la course à la présidentielle, ses proches, eux, s’activent pour préparer sa candidature.
Etre candidat ou ne pas être candidat, là n’est pas la question. Si les journalistes émettent en chœur de sérieux doutes sur la candidature du leader valoisien, son entourage balaye ces interrogations d’un revers de main. « Il a le droit de se poser des questions, de douter, estime l’un de ses proches. Il a validé l’idée qu’il pouvait être candidat à la présidence de la République, à présent, il réfléchit aux moyens, au calendrier, aux hommes qui l’accompagnent. »
Maîtriser le calendrier : premier défi pour Borloo
Indécis Borloo ? En quinze jours, entre fin mai et mi-juin, l’ex-ministre de l’Ecologie a changé trois fois la prétendue date de l’annonce de sa candidature.
Premier avertissement le 27 mai, en marge d’un déplacement dans le Val-de-Marne. « Je prévois de le faire dans quelques semaines, avant que les Français ne partent en vacances », confie alors le patron des radicaux au Point.fr.
Quelques jours plus tard, dans un entretien accordé à La Voix du Nord, le presque-candidat prend ses distances avec les déclarations des jours précédents en affirmant que « la réponse publique serait exprimée entre l'été et l'automne. » Plus question donc de permettre aux Français de partir en congé le cœur léger et ragaillardi par la certitude de pouvoir glisser un bulletin Borloo dans l’urne en 2012. « La force d’un candidat, c’est de maîtriser son calendrier », assène un membre de son équipe.
S’il continue à reculer pour mieux sauter, le patron valoisien risque de faire perdre patience à ses électeurs potentiels et à ses propres troupes. « Au Parti radical, il y a deux camps : ceux qui le pressent de se déclarer pour occuper le terrain face à Bayrou, et ceux qui le somment de prendre son temps », poursuit ce collaborateur.
Tiraillé, dubitatif, Borloo a fini par préciser davantage son calendrier sur Europe1 le 14 juin, en assurant que sa déclaration surviendrait « entre septembre et octobre ». « Ce sera début octobre à Valenciennes », promet l’un de ses conseillers. D’ici là, le PR n’a plus qu’à espérer que Bayrou reste aussi discret que possible. Crédité de 7% d’intentions de vote dans le dernier sondage Ifop, le président du Modem devance le chef des radicaux d’un point malgré son effacement médiatique.
Equipe réduite
Alors, pour que leur président soit fin prêt le moment venu, les membres du PR planchent sur la constitution de l'équipe de campagne. Le 31 mai, les plus actifs d'entre eux se réunissaient pour élaborer un premier organigramme de « l'armée Borloo ».
Divisée en dix « ateliers thématiques » - « Médias-Ripostes», « Monde culturel », « Discours », «Association, syndicats», « Relations avec les élus », « Nouvelle génération », « Monde économique », « Relations internationales », « diversité », « Budget, organisation, logistiques »- l'écurie radicale cherche encore un directeur de campagne. « Un préfet ou un haut fonctionnaire », precise-t-on du côté de la rue de Valois. Le nom de Frédéric Salat-Baroux, gendre de Chirac et ancien secrétaire général de l'Elysée, circule depuis quelques semaines dans la presse, au grand dam du camp borlooïste.
« Il n'a jamais été question que Salat-Baroux soit directeur de campagne ! Il est venu à cette réunion du 31 mai, il devait être chargé des études et des discours avec Henri Plagnol », admet un participant. Depuis, pas de nouvelles de l’ancien conseiller de Chirac.
Quant à l’ex-UDF aujourd’hui député UMP du Val-de-Marne, Henri Plagnol, c’est à lui et à lui seul que revient la lourde tâche de rédiger les discours du futur candidat. Pourquoi lui ? « Parce que c’est un très bel esprit, un normalien, une plume », se réjouit un proche de Borloo.
Pôle essentiel, « Médias-Ripostes » est divisé en trois ateliers, « Internet », « réseaux sociaux », et « communication », confiée aux membres du PR les plus médiatiques (Rama Yade, Yves Jégo, Valérie Létard). En tant qu’ancien porte-parole de l’UMP, Dominique Paillé devrait coordonner le tout, tandis que Laurent Hénart s’occupera de l’intendance. « Le but c'est que cette équipe réponde à l'immédiateté, explique-t-on dans l'entourage de Borloo. Jean-Louis, de son côté, doit faire des émissions longues, ou des conférences de presse régulières, pour solenniser la fonction de candidat à la présidence de la République. »
Benoît Parayre, entré au cabinet de Borloo comme conseiller pour la communication et la presse en 2005, reste chargé des relations presse. Jean-Paul Alduy, sénateur des Pyrénées Orientales et ancien maire de Perpignan, a pour mission la quête des parrainages et la gestion des comités de soutiens départementaux.
Enfin, Patrice Gassenbach, president de la fédération de Paris et ancien trésorier du Parti radical, devrait être chargé « de la trésorerie et de la recherché du local de campagne », selon Dominique Paillé.
Quant aux présidents des autres partis constituant l’Alliance, l’organigramme actuel les cantonne aux simples rôles de « relais ».
Pour l'instant, plusieurs cases restent désespérément vides. « On n'a pas besoin d'être 100, vingt personnes suffisent pour faire une campagne présidentielle, assure un membre de l'équipe. La question aujourd'hui, c'est comment devancer Bayrou ? »
Résoudre le problème Bayrou
Jean-Louis Borloo a beau faire, François Bayrou demeure, aux yeux des Français, le mieux placé pour incarner le Centre, selon le dernier sondage Ifop . Prendre le dessus sur le patron du Modem, voilà, sans doute, le principal défi du leader valoisien. « Ce n'est pas acté », reconnaît-on aisément au Parti radical.
« François Bayrou paraît courageux, déterminé, mais isolé, analyse un conseiller de Borloo. Il est sur un discours d'un centre sidéral, indépendant mais les Français se trompent : il va être moins armé pour affronter la campagne présidentielle. Je conseille à Jean-Louis de le respecter, de lui rappeler qu'il fait partie de notre famille. »
Invité de France Inter, ce lundi 20 juin, François Bayrou, quant à lui, a pris soin de rappeler que Jean-Louis Borloo avait participé au gouvernement Sarkozy et oeuvrait, quelques mois plus tôt, pour décrocher Matignon. Chacun sa stratégie.
Laureline Dupont - Marianne
| |
|
|
|
|
|
|
|
Bruno Le Maire au chevet de l’agriculture
20/06/2011 18:52
S’il fallait en sauver un seul au gouvernement, ce serait peut-être lui. Bruno Le Maire appartient à une espèce en voie de disparition en Sarkozye : les serviteurs de l’Etat compétents et impliqués. Mais s’il est un bon gestionnaire, est-il pour autant un bon politique ?
Serviteur de l’Etat compétent et impliqué
A l’entendre parler d’agriculture mardi soir sur Public Sénat, il était difficile de ne apprécier le discours du ministre. Loin des Jean-François Copé ou Manuel Valls, professionnels égotiques de la langue de bois dont le discours est tellement calibré pour plaire aux électeurs et contribuer à leur carrière qu’on ne sait jamais véritablement ce qu’ils pensent, Bruno Le Maire apporte paradoxalement une fraîcheur technocratique à l’équipe gouvernementale au pouvoir.
En fait, il semble directement venu des années 1960. On pourrait croire qu’il s’agit d’un secrétaire d’Etat du Général de Gaulle tant son style et son implication rappellent les serviteurs de l’Etat que notre administration a pu produire. On note une grande implication, une forte connaissance des dossiers, une vraie volonté de servir ses concitoyens. D’ailleurs, les agriculteurs semblent l’avoir adopté, malgré son manque de connaissance de la campagne.
Un alternatif en peau de lapin ?
Bruno Le Maire tient également fréquemment des propos assez proches des alternatifs, remettant en cause en parole le « laisser-faire » et le « laissez-passer ». Vendredi, il a déclaré que « Le libéralisme dans l’agriculture, c’est une faute économique et politique », rappelant déjà des déclarations assez offensives de 2009 où il remettait en cause la mondialisation dans des termes proches de ceux de Jacques Sapir aujourd’hui ou d’un Arnaud Montebourg.
Mais il y a un hic. Bruno Le Maire fait parfois la bonne analyse et semble indiquer la bonne direction, mais dans les faits, rien ou presque ne change, comme le soulignait récemment Nicolas Dupont-Aignan. Le ministre se contente d’être un infirmier des agriculteurs, prodiguant mots réconfortants et financements exceptionnels pour leur permettre de continuer à travailler. Mais jamais il n’a véritablement initié une réforme qui permettrait de changer la donne.
Technocrate vs politique
Tout se passe comme s’il était incapable de penser en dehors du cadre qu’on lui donne, se bornant à gérer à la marge les immenses problèmes de l’agriculture française. S’il dénonce les fruits et légumes importés d’Amérique du Sud ou d’Asie, il ne prend pas de mesures pour mettre fin à ses importations. S’il dénonce les prix trop bas de certains produits, il n’a pas remis en place des prix de soutien… Pourtant, on le sent sincèrement concerné par le sort des agriculteurs.
Le problème de Bruno Le Maire est sans doute qu’il est trop un technocrate se limitant à gérer ses dossiers, certes avec bonne volonté. Il n’est pas un vrai politique capable de remettre en cause le cadre établi pour en construire un nouveau. Il raisonne dans le cadre existant sans imaginer pouvoir le changer. En cela, il serait sans doute un très bon ministre pour un premier ministre ou un président lui donnant une direction remettant véritablement en cause le statut quo.
Bruno Le Maire est un des rares hommes politiques actuels qui semblent sincères. Son manque d’action ne vient sans doute pas d’un cynisme politicien mais d’un mode de raisonnement qui l’enferme dans un cadre trop étroit dans lequel il ne peut pas trouver de vraies solutions…
Laurent Pinsolle
http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/
| |
|
|
|
|