|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Gaullisme local ] [ Revues des blogs ] [ Evènements ] [ TV, Radios, Journaux ] [ Lecture gaullienne ] [ Gaulliste libre ]
|
|
|
|
La plus grande famine de tous les temps...
22/04/2011 08:41
Un document paru sur ARTE. Il concerne l'achat de terres du tiers monde par les riches de ceux-ci. Dans la plus grande famine de tous les temps, celle de 2008, organisée sous le consensus de Washington, les pays riches mais dépendants du marché se sont retrouvés dans une situation inédite.
En effet, malgré leur pognon, ils n'arrivaient rien à acheter...On peut citer la Corée du Sud, dans la même situation que celle du nord. A la différence que l'échec du modèle économique dans le sud s'il est patent, n'est pas condamné médiatiquement.
On n'a su (sauf bien entendu, les sagaces lecteurs de "la Chute") que dernièrement, que le milliard d'affamé était une estimation basse, que la vérité, c'était que ce milliard était celui qui souffrait d'une faim sévère, mais il y a eu aussi et de loin les plus importants, les 3 milliards supplémentaires qui ont eu à subir des restrictions alimentaires, qui, sans être aussi importantes étaient conséquentes et pouvaient porter le nom de disette.
En effet, dans certains pays, pas loin de 80 % de la population devait au moins sauter un repas, sinon deux et s'en contenter d'un seul.
Cette famine est 100 % causée par des raisons politiques, et par la soumission à la politique du consensus de Washington.
Staline, à côté, était un petit garnement un peu bruyant. Mais il avait quand même pour principe d'investir massivement dans l'agriculture, tout au long de sa période de pouvoir.
L'agriculture est une activité importante, qui, pas plus que dans la France de la fin du XIX° siècle, ne supporte le régime du libre-échange.
La majorité des agriculteurs, n'en sont pas. Ce sont, au plus, des jardiniers, avec de petits lopins, mais qui font toute la différence. En Afrique, la problématique est la même que celle que j'ai décrite. Jusqu'à un hectare, la bêche ou la houe suffisent, mais, même des outils aussi simples sont coûteux s'ils sont en acier.
Au delà, pour cultiver, la problèmatique change. Une charrue et des vaches, c'est encore plus coûteux, et c'est dangereux d'en posséder.
En effet, la santé du bétail, c'est fragile, et il est facile de tomber aux mains des usuriers, comme on le voit dans beaucoup de pays du tiers monde.
Avec des taux de 30 ou 40 %, ou même des taux très bas, la problématique est la même, celle d'une mise sous servage.
En France, deux épisodes ont considérablement affaibli le pouvoir des prêteurs sur la paysannerie ; la banqueroute de Law, et la révolution.
Les deux, ont été, en fait, une répudiation de la dette. La banqueroute de Law a conduit à des baisses des taux d'intérêts, divisés pas 5, voir plus. (On passe aisément de 15 à 20 % à 3 à 5).
De plus, veiller sur la petite paysannerie, par des distributions de semences, la reconstitution des haies, ou leur création (comme au Burkina faso), fait gagne petit et de peu d'envergure, dans la doxa actuel. Il faut attirer l'investiiiisssseuuur, sacro-saint et peureux.
En réalité, le mouvement est malsain. Aucun gouvernement futur, encore moins les populations, ne se sentiront liés par les promesses des précédents. Et il n'y aura aucun moyen d'accepter, tels les irlandais de 1847, de voir partir les convois de nourriture, pendant que sur place, on créve la dalle.
On voit donc, la différence, uniquement de traitement médiatique et idéologique, entre Staline, décrété salaud devant l'éternel, et le FMI-Banque Mondiale, coupables de rien, même s'ils ont bâti l'architecture économique et politique du monde actuel.
Une idée vient d'être lancée. Médiatiquement condamnée, elle a pourtant de l'avenir devant elle. Ségolène Royal vient de reprendre Marat.
Sans, sans doute, qu'elle en voit les implications, notamment au niveau des restrictions d'exportations.
Pour JC Trichet, les européens doivent se serrer la ceinture, en écoutant leur I-pod (à la baisse), variante moderne de la brioche de Marie Antoinette...
Le régime économique (et politique) a une responsabilité écrasante. Haïti protectionniste était autosuffisant, Haïti libre échangiste (ça fait un peu partouze) créve la dalle.
Les agriculteurs, ne pouvant plus avoir de revenus décents, sont obligés d'abandonner les terres, de s'entasser dans les villes, à la merci des tremblements de terre et des épidémies.
Comme on le voit, la réussite est éclatante...
A propos, MLP fait désormais course en tête, les outsiders étant les autres. Pour rassembler au deuxième tour, ça risque d'être coton.
Quand à DSK, on verra quand il rentrera en campagne...
Par Patrick REYMOND
| |
|
|
|
|
|
|
|
A Nice, le retour de la tentation féodale
22/04/2011 08:31
Tribune de Ladislas Polski, secrétaire national du MRC, conseiller régional PACA, parue dans les pages Rebonds du quotidien Libération, jeudi 21 avril 2011.
Cent cinquante ans après le rattachement du comté de Nice à la France, et moins de quatre mois après le vote de la loi de réforme des collectivités territoriales, Christian Estrosi n’aura pas tardé. Le maire de Nice, président de la Communauté urbaine Nice-Côte d’Azur, convoquait il y a quelques jours son assemblée communautaire afin qu’elle valide le principe de la création d’une Métropole Nice-Côte d’Azur. Vont fusionner la Communauté urbaine Nice-Côte d’Azur et trois communautés de communes, qui s’étendent essentiellement sur les vallées et sommets du massif alpin du Mercantour.
Les métropoles prévues par la loi phagocyteront les compétences des communes, du département, de la région, et même certaines attributions de l’Etat, débarrassant de presque toute tutelle les nouveaux grands féodaux à leur tête, et faisant planer une menace réelle sur l’unité et l’indivisibilité de la République.
Ce n’est donc pas tout-à-fait un hasard si Nice est la première communauté urbaine à prétendre au titre de métropole : dans le département des Alpes-Maritimes, la culture de la féodalité qui imprègne particulièrement la droite locale est indissociable de la vieille tentation du séparatisme nissart, à laquelle Christian Estrosi semble céder chaque jour davantage, comme le montrent, par exemple, ses récentes déclarations au sujet de la ligne de train à grande vitesse, tant attendue par les « Azuréens », et que le maire de Nice souhaite désormais voir développée prioritairement vers Gênes, plutôt que vers Paris via Marseille.
Cette ambition métropolitaine, à la fois puérile et mégalomaniaque, débouche actuellement sur des contours incohérents pour le territoire de la future « métropole » niçoise. Car si une cohérence existe sur la Côte d’Azur, c’est celle de la bande littorale, et de ses contreforts immédiats : de Cannes à Menton, l’urbanisation est presque continue et crée un destin commun.
Mais le maire de Nice sait qu’il aura du mal à convaincre les communautés d’agglomération de l’ouest du département de se rallier à son panache blanc ; alors, il crée une métropole dont les contours englobent des stations de ski et des villages de montagne, mais pas la première technopôle d’Europe, Sophia Antipolis, pas plus que Cannes, Grasse ou Antibes…
Cette métropole loufoque risque de desservir considérablement la plupart des communes concernées. Car, alors que la loi Chevènement sur la coopération intercommunale était une loi de solidarité entre les territoires, destinée à faire bénéficier les citoyens d’une même intercommunalité, des mêmes équipements et services, l’extension du « Grand Nice » n’est envisagée que comme un outil de développement de la ville aux dépens de ses voisines : la plupart des communes périphériques, dont les maires se trouvent relégués au rang de vassaux, sont condamnées à accueillir sur leur sol les équipements dont la voisine niçoise ne veut pas sur le sien.
Ainsi se creusent bien entendu les inégalités socio-territoriales, entre des centres-villes favorisés et des périphéries délaissées.
Féodale et inégalitaire, telle est la métropole Nice Côte d’Azur qui se profile.
http://www.mrc-france.org/A-Nice-le-retour-de-la-tentation-feodale_a239.html
| |
|
|
|
|
|
|
|
Partage des bénéfices : De 1/3 à une prime exceptionnelle ... aléatoire !
22/04/2011 08:24
D'un tiers des bénéfices promis en 2009, la prime exceptionnelle de 1000 € pour tous, devrait laisser place, à une prime au montant négocié par les partenaires sociaux, dans les entreprises ... de plus de 50 salariés !
Les salariés français, français, devenus fatalistes, ne pourront que constater, une fois de plus, que les politiques, y compris leur Président, ne peuvent strictement rien faire pour augmenter leurs salaires ! Ainsi, Nicolas Sarkozy ayant retrouvé, comme le dit le Canard Enchaîné, son « costume d'ouvrier » pour rejouer au Président du pouvoir d'achat a affirmé qu'il : ne cèderait pas sur le versement de primes aux salariés dans les entreprises versant des dividendes à leurs actionnaires (...) »
Une peu comme en 2009, lorsqu'il : avait estimé qu'un tiers des bénéfices des entreprises devait aller aux salariés. Ce à quoi Laurence Parisot répliquait, avec le plus grand sérieux : « (...) Il y a des statistiques qui ne sont peut-être pas si faciles à comprendre quand on n'a pas eu la possibilité de faire un an ou deux de sciences-éco, mais ces statistiques sont très claires. Elles sont publiées par l'Insee et elles indiquent la modalité de partage de la valeur ajoutée dans notre pays. Ces dernières années, il n'y a eu aucune déformation de ce partage au détriment des salariés. C'est même le contraire (...) »
Expliquant lors de son dernier déplacement dans les Ardennes que : « (...) en l'espace de deux ans, les négociations avec le patronat sur cette question centrale n'avaient pas avancé d'un centimètre (...) » il a lancé : « Donc, je prendrai mes responsabilités »
Alors, quel devrait être le résultat de ce bras de fer ?
« (...) Dans toutes les entreprises de plus de 50 salariés soumises à la loi sur la participation, si les dividendes distribués sont supérieurs à l'année d'avant, il y aura obligation de verser une prime négociée avec les partenaires sociaux", explique une source gouvernementale. Elle précise également que le gouvernement souhaite une application de ce dispositif "dès cette année". Cette prime sera soumise jusqu'à un montant d'au moins 1 000 euros au même taux de cotisation sociale que les primes de participation, c'est-à-dire 8 %. Ce montant pourrait être revu à la hausse ultérieurement. Les entreprises de moins de 50 salariés ne seront, pour leur part, qu'incitées à verser une prime identique à leurs salariés. Elle sera exonérée des charges fiscales (...) » - Le Monde
Or, il faut savoir que, selon les chiffres produits par l'INRS au 1er avril 2011, les entreprises de moins de 50 salariés représentent aujourd’hui 98 % des entreprises !
Du côté de l'INSSE, la lecture des chiffres 2009 éclaire le débat : Entreprises selon le nombre de salariés - Au 1er janvier 2009. Seront concernés par le caractère obligatoire de la prime après négociation avec les partenaires sociaux. Les entreprises de :
50 à 99 salariés : 26 084 200 à 499 salariés : 4 798 500 à 1999 salariés : 2 051 2000 ou + : 506
Se limitent à une incitation, sans autre négociation, que celle de gré à gré
Si nous excluons les entreprises ne comptant aucun salarié et qui représentent : 1 911 485 entreprises. On obtient :
1 à 9 salariés : 995 199 10 à 49 salariés : 167 455
Ce qui signifie, pour ces derniers, qu'à moins de décrocher, rapidement, une place dans une entreprise de plus de 50 salariés (Ce qui leur permettrait de profiter du caractère obligatoire de la prime), la très grande majorité des salariés ne sera pas ou peu concerné par la prime ! Néanmoins, les salariés le savent tous, une prime exceptionnelle, comme son nom l'indique n'a qu'une vocation éphémère et ne résoudra, en aucun cas, les problèmes soulevés par un certain ... Nicolas Sarkozy, en 2007 : « (...) Les prix sont trop hauts et les salaires sont trop bas (...) Quand on est hanté par les fins de mois difficiles, on n'est pas entreprenant, on est pas dynamique, on n'est pas productif. Je vois avec plaisir tous ces théoriciens de l'économie qui m'expliquent que le problème du pouvoir d'achat cela n'existe pas, c'est la compétitivité des entreprises. Parfait. Mais comment peuvent elles être compétitives, les entreprises, avec des salariés qui sont eux-mêmes démoralisés et qui ont le sentiment qu'ils ne sont pas payés au juste prix de leur investissement personnel ? (...) »
Prochaine étape : Citer à nouveau Jean Jaurès et invoquer Guy Môquet ?
Slovar
http://slovar.blogspot.com/
| |
|
|
|
|
|
|
|
Daniel Garrigue réaffirme son indépendance
22/04/2011 08:13
Quelques jours après avoir démissionné de son poste de porte-parole de République Solidaire, le député Daniel Garrigue a publié sur son blog un communiqué rappelant son indépendance politique.
Communiqué de Daniel Garrigue: "On ne me quitte jamais pour rien.."
Interrogé dimanche soir, 17 avril, sur BFM-TV, à propos des départs -M. Lemaire, Mme Montchamp et moi-même- qui ont marqué la vie de République Solidaire, M. de Villepin a déclaré : "On ne me quitte jamais pour rien et on est, en général, fortement récompensé".
Je regrette la suffisance et la prétention de M. de Villepin.
1- D'abord, c'est vrai, je ne suis pas parti pour rien.
Je suis parti en raison d'un désaccord de plus en plus profond portant à la fois sur le fond et sur la méthode.
Sur le fond, parce que je ne me reconnaissais pas dans différents aspects du "projet" de M. de Villepin, notamment la mesure "phare", le revenu citoyen, qui me paraît incertaine dans son principe (l'assistance plutôt que l'insertion), dans ses contreparties (le vote obligatoire, la mise en place d'un "service public" aux contours insaisissables, la condition de nationalité) et dans son financement (démesuré dans la situation de crise que nous connaissons).
Sur la méthode, parce que le président de République Solidaire n'a accepté le débat ni avec ses proches, ni avec le mouvement qu'il a lui-même créé.
2- Par contre, je n'agis pour le compte de personne et je n'attends rien de personne.
Je n'ai pas d'autre ambition que celle de défendre une ligne politique qui est celle du gaullisme social, ligne que j'avais affirmée notamment en présentant la motion de République Solidaire lors du Conseil national du 4 décembre dernier.
Je continuerai à travailler et à m'exprimer de façon libre et indépendante, particulièrement sur les questions qui me paraissent essentielles :
- comment retrouver la croissance ?
- comment concilier l'effort et la solidarité ?
- comment relancer la construction européenne ?
J'ai quitté l'UMP en décembre 2008. Pour ce qui me concerne, je n'ai depuis lors jamais renouvelé ma carte, ni eu le moindre entretien avec M. Sarkozy.
Je n'ai que faire des récompenses, pas plus de celles de M. de Villepin que de celles des autres."
Daniel GARRIGUE. Député non inscrit de la Dordogne
Source: Blog de Daniel Garrigue
http://2villepin.free.fr/index.php/2011/04/21/1878-francois-goulard-n-est-pas-d-accord-avec-le-programme-de-dominique-de-villepin-daniel-garrigue-reaffirme-son-independance
| |
|
|
|
|
|
|
|
François Goulard n'est "pas d'accord avec le programme" de Dominique de Villepin
22/04/2011 08:10
François Goulard exprime dans la presse ses divergences avec le projet présidentiel présenté par Dominique de Villepin.
*****
François Goulard prend ses distances
Nouvellement élu à la présidence du conseil général du Morbihan, le Vannetais François Goulard, député UMP, n'a pas caché, lundi, qu'il n'était pas d'accord avec le programme présidentiel de Dominique de Villepin. François Goulard, cofondateur de République Solidaire avec Dominique de Villepin, n'était pas au côté de son ami, jeudi dernier à Paris, lors de la présentation à la presse des mesures phares du présidentiable anti-sarkozyste.
"Je ne suis pas d'accord avec ce programme, confie François Goulard, mais je ne fais aucun commentaire. Je n'étais pas à Paris depuis un mois et demi car j'étais en campagne électorale à Vannes-centre. J'ai donc eu peu de contacts avec Dominique de Villepin".
"Rien d'irrémédiable"... Vraiment?
François Goulard est quasiment sur la même longueur d'ondes que Daniel Garrigue, le porte-parole de Villepin, qui a démissionné le jour même de la présentation des grandes lignes du programme, pour cause de désaccord sur la forme et sur le fond.
Pour autant, le nouvel homme fort de la droite morbihannaise ne quitte pas République Solidaire: "Pas de divorce entre Goulard et Villepin, rien d'irrémédiable non plus", estime un proche du député vannetais.
Il n'empêche que François Goulard se montre plutôt dubitatif quand on lui demande si le programme de Dominique de Villepin abondé, voire corrigé, serait susceptible de susciter son adhésion à la feuille de route de 2012.
François Goulard, dit-on dans son entourage, n'aurait pas apprécié (comme Daniel Garrigue et d'autres à République Solidaire) le mode de fonctionnement "trop personnel" de Dominique de Villepin qui aurait bouclé un programme "comportant des erreurs" et jugé "peu crédible" sur certains points, avec l'aide "de trois ou quatre jeunes énarques inexpérimentés"...
Distance
Depuis plusieurs semaines, François Goulard s'agaçait du rappel par des commentateurs de sa proximité avec Dominique de Villepin. L'animal politique confiait qu'il était avant tout immergé dans la campagne des cantonales à Vannes-centre, au coeur de sa ville et de ses projets départementaux.
Au moment où Dominique de Villepin a quitté l'UMP, François Goulard s'est étonné qu'on ait pu lui demander s'il en ferait autant. François Goulard réaffirmait récemment sur les antennes de France Inter et de LCI que sa famille reste l'UMP et qu'il lui importe de s'y maintenir pour lutter, de l'intérieur, contre une droitisation vers l'extrême d'un parti "au bord de l'éclatement". François Goulard considère qu'il doit exister, au sein de l'UMP, une alternative à la candidature de Nicolas Sarkozy.
Il y a peu, c'était en tant que conseiller et supporter de Dominique de Villepin que le Vannetais envisageait la présidentielle. Aujourd'hui, c'est moins évident... "L'alternative à Sarkozy, oui, avec Villepin... ou un autre!", sourit un proche de François Goulard, plus que jamais électron libre dans le big bang d'une droite en recomposition.
Source: Le Télégramme
http://2villepin.free.fr/index.php/2011/04/21/1878-francois-goulard-n-est-pas-d-accord-avec-le-programme-de-dominique-de-villepin-daniel-garrigue-reaffirme-son-independance
| |
|
|
|
|