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La politique de l’autruche
20/04/2011 08:14
Une fillette de 5 ans est victime vendredi dernier d’un viol. On apprend ce matin que le suspect est un récidiviste déjà condamné à deux reprises en 1996 et en 2009. A chaque fois, bien sûr, il n’a pas effectué la totalité de sa peine…
Le Ministre de l’Intérieur fait bloquer un train entre l’Italie et la France pour éviter l’entrée de réfugiés tunisiens à qui l’Italie a accordé des titres de séjours provisoires. Mais ce même ministre se refuse à remettre cause l’espace Schengen qui supprime les frontières nationales !
Le Ministre du Travail Xavier BERTRAND évoque l’idée de réduire la liste des métiers autorisant le recours à la main d’œuvre étrangère en raison des difficultés de recrutement. Madame PARISOT, Présidente du MEDEF, veille au grain et rappelle que c’est Mme LAGARDE qui avait signé l’arrêté en 2008.
Le cours des actions des banques françaises chute en bourse car on apprend que l’idée d’une restructuration de la dette grecque (terme élégant pour dire que ce pays ne pourra pas rembourser ce qu’il doit) fait son chemin. On m’avait traité de pessimiste quand j’avais dit il y a un an que le plan de sauvetage européen était voué à l’échec car plongeant la Grèce dans une récession cumulative sans issue. Pour autant, la seule solution possible pour ce pays : la sortie de l’euro est toujours rejetée comme un tabou.
Ces quatre informations de la journée ont un point commun, le refus des dirigeants politiques français de regarder la réalité en face et leur incapacité à prendre les mesures qui s’imposent. Le remplacement des actes par des discours et des attitudes volontairement provocatrices mais sans aucun effet. Et pourtant on sait très bien ce qu’il faudrait faire pour enfin résoudre les problèmes de notre pays.
Pour éviter les crimes atroces, il serait temps d’appliquer les peines de prison !
Pour empêcher les flux migratoires, il y a urgence à rétablir les contrôles aux frontières.
Pour favoriser l’embauche des jeunes qui dans nos cités cherchent du boulot ou des séniors en fin de droit, il serait temps de rappeler à l’ordre le MEDEF.
Pour relancer la croissance en Europe et sauver les pays du Sud et la France, il faut sortir de l’Euro et rebâtir une vraie coopération entre les nations.
Une chose est sûre, en entendant à la radio ou à la télévision les évènements se succéder en se répétant les déclarations jamais suivies d’actes concrets autres que symboliques, nos concitoyens comprennent que pour sortir de l’impuissance publique qui gangrène notre pays il faut une vraie alternative.
Nicolas Dupont-Aignan, Député Gaulliste
http://www.gaullisme.fr/2011/04/19/la-politique-de-lautruche/
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De la réforme des deux chambres parlementaires
20/04/2011 08:09
Dans son projet, Dominique de Villepin souhaite ramener le nombre des députés à 400 et celui des sénateurs à 200.
Au niveau de l’introduction de la proportionnelle, elle pourrait réserver 101 sièges (c’est-à-dire 1 par département) sur un collège national qui permettrait de féminiser fortement la représentation nationale mais aussi de faire entrer des députés issus de la diversité ethnique et sociologique. En effet, en s’appuyant sur les résultats nationaux des législatives 2007, une poignée de sièges serait distribuée à des partis absents ou peu présents au Palais Bourbon :
5 pour le Front National 4 pour les Verts 2 pour la Ligue Communiste Révolutionnaire 1 pour le Parti Radical de Gauche 1 pour le Mouvement pour la France 1 pour Lutte Ouvrière 1 pour Chasse Pêche Nature et Traditions
En outre, les autres partis se seraient vus attribuer :
56 pour l’Union pour un Mouvement Populaire 33 pour le Parti Socialiste 9 pour le Mouvement Démocrate 5 pour le Parti Communiste
Sachant que 11 sièges seraient dévolus aux Français de l’étranger et que 6 seraient réservés aux Territoires d’Outre-Mer, il n’y aurait plus que 282 sièges à répartir sur la France métropolitaine et les Départements d’Outre-Mer. Selon la démographie, il y aurait donc de 1 à 9 sièges par département avec une moyenne comprise entre 2 et 3. Le Rhône pourrait ainsi passer de 14 à 6 députés. Le découpage des circonscriptions pourra aussi intégrer les territoires des 69 futurs conseillers territoriaux du Rhône (qui remplaceront les actuels 41 conseillers régionaux et 54 conseillers généraux) pour gagner en lisibilité.
Pour le Sénat, il serait sans doute nécessaire de généraliser le scrutin de liste au niveau régional et d’introduire la proportionnelle en affectant des coefficients modulateurs sur les scrutins locaux de 2014 que constitueront les municipales et les territoriales (ces dernières devant remplacer les élections cantonales et régionales).
Ainsi, les listes pourraient se décliner en différents collèges s’appuyant sur les strates de population et feraient participer de façon directe les citoyens au choix des sénateurs. Les candidats pourraient ainsi opter pour un collège et recueillir les signatures d’au moins 1% des citoyens avec des dispositions permettant une bonne distribution entre les communes.
http://griffonlyonnais.wordpress.com/
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Présidentielle 2012 : candidates et candidats affirmés et potentiels
20/04/2011 08:03
Ce ne sont pas les candidats affirmés ou potentiels à un concours de beauté ou d’élégance, pourtant selon mes gouts esthétiques je me suis amusée à les classer par ordre allant du plus au moins présentable
Les femmes d’abord :
Ségolène Royale (beauté féminine à la limite du « glamour »)
Marine le Pen (beauté naturelle)
Corinne Lepage (de beaux yeux et un beau sourire éclairent son visage)
Florence Arthaud (assez jolie « sans prétention »)
Martine Aubry ex aequo avec Christine Boutin (gagneraient à porter des toilettes plus modernes)
Eva Joly (gagnerait à mieux s’habiller, se coiffer et porter des lentilles)
Les Messieurs ensuite
Arnaud Montebourg (beau charmeur à l’élégance décontractée)
Dominique de Villepin (le charme affirmé)
Nicolas Dupont –Aignan (présentable en toute circonstance genre « gendre des familles » )
Jean-Luc Mélenchon (encore assez beau, du charme musclé...)
Jean-Louis Borloo (de la personnalité, du chien, du charme)
Manuel Vals ( assez » mimi mais trop contracté)
Hervé Morin (un brun moyen parmi d’autres)
Olivier Besancenot (un visage faussement naïf)
François Hollande (devenu l’ombre de lui-même il flotte dans son costume : trop aminci)
François Bayrou (inclassable, trop rouge et trop rond)
Nicolas Sarkozy (pitié !...a le mérite d’avoir une belle femme)
Nicolas Hulot (un profil de chouette sous des mèches en désordre)
Dominique Strauss-Kahn (des rides et des rondeurs pesantes)
Ndlr : évidemment la beauté ne se mange pas en salade, les électeurs ne voteront pas selon leur beauté et leur élégance …mais selon la "salade" qui les aura convaincu et d'après la formule consacrée ils voteront pour le meilleur et pour le pire selon leur propre conviction.
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You are here: Home // Economie, France // Comment limiter l’impact de la hausse du prix du pétrole ?
20/04/2011 07:54
Le Président Directeur Général de Total, Christophe de Margerie, affirmait récemment que prix du litre d’essence à la pompe atteindrait à moyen ou long terme le prix de 2 euros le litre. Cette affirmation a suscité l’affolement général de tous qui se sont rués à la recherche de solutions. La ministre de l’économie et des finances, Mme Christine Lagarde, a tout de suite dégainé une nouvelle taxe de 115 millions d’euros sur les pétroliers. Il est évident que cette taxe supplémentaire, pour compenser la hausse des prix des carburants est une paille apportée à l’édifice, surtout si on la compare aux milliards d’euros de bénéfices des grands groupes pétroliers. En 2010, Total a réalisé 10 milliards d’euros de bénéfices et en 2011 le record historique de l’entreprise devrait être battu. Inversement le public demande une baisse de la TIPP, même temporaire, pour amortir à la pompe l’envolée des prix du pétrole sur les marchés. Malheureusement ce n’est pas une bonne idée. D’une part parce que le cadeau fiscal pourrait être effacé en cas d’une nouvelle remontée des cours du pétrole, d’autre part parce qu’en période de tension budgétaire le gain fiscal est salutaire pour le Gouvernement. Enfin parce que le prix est un facteur incitatif aux économies d’énergies et à la baisse de la consommation. Pour baisser les cours du prix du pétrole, c’est simple il suffit d’agir sur les facteurs suscitant sa hausse. Avant d’engager une analyse, il convient de poser quelques postulats. Tout d’abord à terme l’offre de pétrole ne pourra pas répondre à la demande et la hausse de la demande de la production et la raréfaction de l’offre de pétrole induit la réalisation de risques écologiques, géopolitique et économique.
Réguler les marchés pétroliers
Les marchés provoquent sur les prix du pétrole de trop fortes oscillations qui engendrent au final une incertitude et donc au final un risque économique.
Tout d’abord pour améliorer le système il faudrait agir sur les acteurs des marchés pétroliers. Il conviendrait d’abord de différencier les acteurs qui agissent dans une finalité commerciale (distributeurs, producteurs d’électricité, transporteurs … etc) des acteurs qui agissent dans un intérêt uniquement financier (fonds d’investissement, Banques d’affaires … etc). Il faudrait imposer aux acteurs financiers des règles plus contraignantes en restreignant par exemple leur capacité d’intervention sur ces marchés, en limitant leur taille ou leurs investissements. Il faudrait aussi inciter de plus petits acteurs à entrer sur ces marchés. Les entreprises fortement dépendantes dans leur activité du pétrole, par exemple les transporteurs (routiers, artisans taxis … etc) devraient être incités à couvrir leur risque de la variation des cours du pétrole en spéculant sur les marchés. Cette couverture de risque pourrait être faite dans le cadre d’un groupe, d’un syndicat professionnel …etc. Comme les agriculteurs les acteurs commerciaux fortement dépendant de l’aléa de la variation des cours pétroliers ont intérêt à se rendre sur les marchés. L’intervention de ces petits acteurs sur les marchés et la limitation des acteurs financiers aura l’avantage de rendre les marchés plus liquides et donc moins manipulables.
Les marchés pétroliers ont un très gros travers, ils n’ont pas d’outils économétriques uniques et fiables. Il est assez difficile de spéculer sur les marchés pétroliers car ces marchés sont assez opaques et peu lisibles pour un non averti. Tous les chiffres, toutes les données économiques, toutes les statistiques des marchés pétroliers sont contestables voir même contradictoires. Par exemple il est impossible de déterminer quelles sont les réserves pétrolières mondiales. Chaque année celles de l’Opep augmentent alors que l’on tire perpétuellement sur la pompe. Officiellement les réserves mondiales exploitables seraient de 1200 milliards de barils (US Geological Survey). En 2007 l’Energy Watch Group, un lobby vert indépendant contestait ces données annonçait le passage du pic de Hubbert (c’est à dire le pic au de là duquel les réserves pétrolières sont sur la pente descendante), les réserves pétrolières mondiales n’étaient plus que de 850 milliards de barils. On peut aussi douter de la réalité de la production des pays de l’Opep qui produiraient plus de pétrole qu’il ne l’annonceraient, de la même façon on peut douter des réalités statistiques de la consommation chinoise. Bref il y a une incertitude à tous les étages. Pour améliorer les marchés il faudrait adopter de nouveaux outils.
Pourquoi ne pas utiliser les stocks stratégiques pétroliers comme un instrument de régulation des prix ? Depuis 1974 et en tant qu’adhérent de l’Agence Internationale de l’Energie et depuis une Directive européenne de 2006, la France est tenue de maintenir un niveau minimal de stocks de pétrole afin de garantir la sécurité de son approvisionnement. Les États membres de l’UE doivent maintenir un niveau minimal de stocks de produits pétroliers équivalant au moins à 90 jours de la consommation intérieure journalière moyenne pendant l’année civile précédente. En cas de crise d’approvisionnement, concrètement en cas de rupture d’un canal d’approvisionnement le gestionnaire des stocks peut céder tout ou une partie de ses stocks à d’autres opérateurs pétroliers. Il faut donc qu’il y ait un élément générateur suffisamment grave pour avoir recours aux stocks. D’autre part cette décision se fait dans le double cadre international de l’UE et de l’AIE. On pourrait assouplir les conditions de recours aux stocks stratégiques et ouvrir plus largement les stocks en cas de hausse inconsidérée des prix du pétrole sur les marchés, pour assouplir les marchés.
Agir sur l’offre et sur la demande de pétrole
Les solutions pour agir sur l’offre pétrolières sont très limitées pour les Etats membres de l’OCDE, principaux pays consommateurs de pétrole. Autant les pays producteurs ont intérêt à maintenir une offre pétrolière faible afin de maintenir un prix élevé autant les pays consommateurs ont intérêt à obtenir une offre abondante voir suffisante pour laisser le baril de pétrole à un prix convenable. Les intérêts des offreurs et des demandeurs sur le marché pétrolier semblent divergents. Pourtant il faut parvenir à maintenir des relations diplomatiques apaisées et un dialogue avec les pays offreurs et leur faire comprendre que leurs intérêts ne sont pas si divergents des notres. Autant un pétrole trop peu cher est d’abord préjudiciable pour notre économie. D’abord parce que cela freine les investissements de la filière, dans l’exploration, la production et le raffinage et à terme provoque une raréfaction de l’offre, mais surtout parce qu’un prix du pétrole trop peu élevé empêche d’entamer la mutation énergétique de notre économie vers une société de l’après pétrole. Inversement un pétrole trop élevé fait par exemple courir aux pays producteur le risque de la malédiction de la rente pétrolière, mais surtout à terme il y a un risque récessionniste mondial qui provoquera irrémédiablement la chute des prix du pétrole sur les marchés. Les Etats ont intérêt à trouver un prix équilibré entre la rente pour les pays producteurs et le prix économiquement viable pour le consommateur. Pays producteurs et consommateurs ont donc intérêt à converser pour converger. Les Etats occidentaux ont intérêt à assurer leur approvisionnement. Pour ce faire il convient de nouer des partenariats ou des accords internationaux. L’Union pour la Méditerranée entre autres intérêts présente l’avantage d’apporter à notre pays cette sécurité. Il convient d’organiser notre politique énergétique dans le cadre européen pour avoir plus de poids et surtout pouvoir entrer en concurrence avec les Etats-Unis et la Chine. D’autre part on peut se demander si nous n’avons pas intérêt à nationaliser l’entreprise Total, notre géant pétrolier. Actuellement on se rend compte que les entreprises pétrolières chinoises publiques comme Sinopec ou privées contrôlées par l’Etat chinois, comme China National Petroleum Corporation sont très compétitives dans l’acquisition de leurs sources d’approvisionnement, d’abord parce qu’elles n’ont pas le souci de parvenir à une rentabilité immédiate, ensuite parce qu’elles défendent les intérêts nationaux chinois avant de défendre leurs intérêts privés. La privatisation d’une entreprise comme Total permettrait au moins de mettre les bénéfices réalisés par l’entreprise au service de l’intérêt général.
Les solutions pour agir sur la demande pétrolière sont pléthoriques. Le pétrole le plus facile à rechercher est d’abord celui que l’on ne consomme plus. Il convient d’agir en priorité sur la demande afin d’engager d’abord un ralentissement de la hausse de la demande et ensuite peut être de provoquer une réduction de notre demande. Cette recherche d’économies d’énergie présentera le double intérêt, d’améliorer d’abord notre compétitivité économique, ensuite de répondre à nos objectifs de réduction d’émission de CO2. Les économies d’énergies peuvent prendre différentes formes, approfondissement des procédés de recyclage, amélioration de l’isolation des bâtiments, développement des transports en commun …etc. Les mesures du Grenelle telle que le bonus écologique pour l’automobile vont dans le bon sens. Il ,convient de différencier les usages des produits issus du pétrole, ceux qui sont à court et à moyen terme irremplaçables de ceux qui sont à court et moyen terme substituables. Il est par exemple évident que le secteur des transports (routier, aérien, maritime) ne pourra pas se passer de pétrole. Il est donc opportun de concentrer les efforts dans d’autres secteurs. Il est nécessaire de développer un bouquet d’énergies. Les énergies renouvelables peuvent servir le bâtiment (solaire thermique, géothermie) ou la production d’électricité (photovoltaique, éolien, hydraulique …etc). Le nucléaire fait bien entendu partie de ce bouquet d’énergies.
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Marine le Pen progresse encore
20/04/2011 07:50
Une nouvelle enquête d'opinion à paraître conforte la progression de Marine le Pen qui semble désormais installée de façon difficilement contournable dans le second tour.
La marge de progression de Marine le Pen s'annonce forte car elle consolide ses ancrages dans trois directions majeures :
1) Elle progresse au sein même de son camp d'origine qui quitte Nicolas Sarkozy. Elle va faire le plein des voix de son camp "de base".
2) Elle s'enracine dans l'électorat ouvrier mécontent à 80 % de Nicolas Sarkozy. Un électorat qui peine à trouver une alternative à ... Marine le Pen.
3) Elle progresse chez les salariés du secteur privé ulcérés par la question de la "vie chère" laissée sans réponse par les forces politiques classiques (mécontents à 79 % de Nicolas Sarkozy).
Marine le Pen capitalise ainsi le vote "anti-système" qui semble aujourd'hui se consolider contre toutes les autres forces politiques.
Elle capitalise aussi le seul style qui tranche à tous égards avec les apparences du reste de la "classe politique".
http://exprimeo.fr/article/6714/marine-le-pen-progresse-encore.htm
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