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Marine Le Pen, 90% Le Pen, 10% Marine
25/03/2011 10:02
La nouvelle présidente du Front National est habile. Presque tous les médias ont véhiculé sans la questionner la thèse selon laquelle elle est moins extrême que son père, plus fréquentable et républicaine. Et si le recentrage du FN était surtout cosmétique ?
Une communication habile
En avril dernier Marine Le Pen expliquait sur Europe 1 que les « saillies » de son père, si elles faisaient son charme, étaient contre-productives. Déjà, en se plaçant sur l’angle de la communication, elle sous-entendait qu’elle ne remettait pas en cause ce qu’est son parti, mais seulement sa communication. Cela limite la rénovation apparente du Front National à une opération de communication destinée essentiellement à augmenter son potentiel électoral.
En cela, la scénarisation de son accession à la présidence du parti de son père était idéale : la confrontation avec plus à droite qu’elle l’a fait passer pour une modérée. Absolument tous les médias ont rapporté sans broncher cette version des faits, qui correspond pourtant exactement à ce que la nouvelle présidente souhaitait que l’on raconte. Son discours, en rupture avec ceux de son père, accréditait parfaitement cette thèse. Bref, l’opération de communication est un succès total.
Mieux, les médias modérés, après avoir relayé l’histoire qu’elle souhaitait raconter, continuent à la traiter comme une pestiférée et à lui donner des leçons de morale dignes d’un procès de Moscou, comme mardi soir au Grand Journal de Canal Plus. Ils ne se rendent pas compte qu’il y a une grande incohérence à valider la thèse d’un recentrage du FN tout en le traitant aussi mal. Du coup, cette émission est sans doute une des meilleures promotions possibles pour Marine Le Pen
Sociologie et programme économique
Pour être honnête, certains aspects de son programme ont évolué avec l’arrivée de la nouvelle présidente. Sa partie économique, volontiers anti-étatiste, antifiscal et d’inspiration franchement libérale est en passe d’être rénovée dans une direction plus proche d’un dirigisme colbertiste et social. D’ailleurs, le FN version Marine Le Pen n’hésite pas à reprendre les analyses de Jacques Sapir sur son site, et même les miennes (mises en ligne dans leur dossier sur l’euro).
En fait, cette évolution est totalement logique et correspond davantage à une base populaire, qui souffre de la mondialisation et en attente d’un Etat plus protecteur. Sociologiquement, avec sa domination des classes ouvrières, que le Parti Socialiste lui a abandonnées, le Front National est « passé à gauche », prenant la place du Parti Communiste. Là aussi, on peut voir dans l’évolution du parti une mise en cohérence avec un objectif électoral plus ambitieux, un souci de communication.
Car le vote Front National est un vote essentiellement social, un vote des exclus du système. C’est un vote qui n’est pas très compliqué à comprendre. Face à des grands partis qui promettent beaucoup et réalisent peu, qui défendent la globalisation néolibérale qui fait mal à ces classes populaires, et qui semblent davantage préoccupés par leur nombril que par le sort des Français, le vote FN a une vraie logique. Mais c’est un vote de protestation et non d’adhésion.
Un programme qui a moins évolué qu’on ne le dit
Mais sur les autres aspects de son programme, le nouveau Front National n’est pas si différent de l’ancien. Marine Le Pen n’a eu besoin de supprimer que deux des vingt-cinq chapitres de son programme, ce qui tempère largement l’évolution affichée du parti. Sur de nombreuses questions, le FN version Marine ressemble comme deux gouttes d’eau au FN version Jean-Marie. Sur l’immigration, elle continue à véhiculer les mêmes mensonges et à surfer sur la peur de l’autre.
Sur les questions de société, le Front National reste dans les marges extrêmes de notre vie politique. Il est toujours favorable à la peine de mort. Et Marine Le Pen s’est également prononcé récemment contre le remboursement de l’IVG, un retour en arrière assez incroyable pour la condition féminine et une pratique profondément inégalitaire dont les conséquences seraient sans doute dramatiques. Enfin, je ne parle pas des mesures discriminatoires entre Français…
On retrouver toujours dans le Front National de Marine Le Pen la même dialectique frontiste du bouc-émissaire étranger, qu’elle n’a que légèrement renouvelée en ciblant davantage les musulmans. On peut être souverainiste ou lutter contre la globalisation ou l’Europe sans tomber dans la haine de l’autre, Là-dessus encore, le Front National bleu Marine reste dans la droite ligne du parti paternel. Marine Le Pen n’a fait que quelques inflexions dans le discours, certes bien ciblées.
Un problème de personnes
En outre, un parti politique, ce n’est pas qu’un discours. Certes, le discours de son accession à la présidence du FN marquait une forte inflexion. Mais depuis, dans le détail, la différence n’est pas si grande. Et puis surtout, le FN, ce sont aussi des dirigeants, qui accèderaient au pouvoir si Marine Le Pen était élue à la présidence de la République. A tous ceux qui sont tentés de voter FN, je demande de réfléchir aux personnes auxquelles ils donneraient les manettes du pouvoir…
Une analyse rapide de la composition du Bureau National du FN permet de constater qu’une bonne partie de ses membres n’a pas changé, avec des personnes liées à l’OAS… Ce parti conserve aussi comme logo la flamme tricolore des fascistes Italiens nostalgiques de Mussolini. En outre, on ne peut pas dire que les expériences des gestions municipales frontistes aient révélé de grandes compétences parmi les divers maires que le Front National a fait élire.
Par ses dirigeants, par sa culture, par son histoire, bref, par ce qu’il est encore aujourd’hui, et qui n’est pas si différent de ce qu’il était hier, le Front National reste un parti d’extrême-droite, un parti qui refuse de laisser les journalistes pénétrer son Congrès, un parti dont le président d’honneur parle du « nez » des juifs, dans la pire tradition extrémiste du début du siècle dernier, un parti qui élit la fille de son père pour lui succéder (ce qu’aucun autre parti républicain n’a jamais fait).
Bref, si Marine Le Pen a parfaitement réussi son opération de communication, il faut se souvenir d’une chose : c’est essentiellement une opération de communication. La nature profonde du parti a un peu changé, mais seulement un peu, et peut-être plus par calcul que par réelle conviction républicaine.
Laurent Pinsolle
Sur le front républicain, je vous invite à lire l’excellent papier de Romain Pigenel
Demain, lettre ouverte à quelques compagnons tentés par le vote FN
http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/
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Front National : Quels programmes sur l'emploi et l'économie ?
25/03/2011 06:59
Le discours de Marine Le Pen séduit une partie des victimes de la mondialisation et de son lot de précarité ou de chômage. Mais que propose t-elle comme solutions en termes d'économie et d'emploi. Nous sommes allés lire le programme du FN sur son site Web
En décembre 2010, Louis Aliot, compagnon et boîte à idées de Marine Le Pen, déclarait : « (...) Il faut faire comprendre au plus grand nombre que nous avons un programme économique et social alternatif à la gauche et à la droite. Et nous devons montrer que nous ne sommes pas seulement une force de contestation, mais aussi une force de propositions (...) » - MSN C'est un peu en évoquant ce « programme économique et social alternatif » et beaucoup la question ... de l'immigration, que le Front National a fait campagne, pour les cantonales, avec le résultat qu'on connaît.
Bien qu'il reste plusieurs mois à Marine Le Pen et son équipe pour peaufiner son programme présidentiel, on peut déjà en découvrir l'essentiel, disponible, sur le site du mouvement. Nous nous sommes tout particulièrement intéressés aux rubriques : « Acteurs économiques et emploi » ainsi que « Economie et budget »
Et qu'y trouve t-on ?
Les réponses, dans l'immédiat se résument au même message laconique : « Cette partie du programme du Front National est en cours de réactualisation. Merci de revenir dans quelques jours »
Certes, on peut trouver sur le site du Front National un document sur un projet économique. Seulement il s'agit d'une critique ... de celui de l'UMP !
Qu'y lit-on ?
Extrait : « (...) Les experts du Front National ont donc évalué les conséquences prévisibles du projet économique et social de l’UMP, en se fondant sur des hypothèses réalistes, et en tirant le bilan du passé ; leurs conclusions sont sans appel : les conséquences du projet économique et social de l’UMP constituent dans tous les domaines une aggravation importante des difficultés déjà rencontrées par les Français. L’objectif de ce document n’est pas de comparer les projets de l’UMP et du FN, mais d’expertiser objectivement le projet de ceux qui ne cessent de se présenter comme les « professionnels » de la politique, les « experts » économiques, sans avoir l’humilité de regarder leur bilan. Le FN continue par ailleurs de développer son propre projet économique et social, n’en déplaise aux bonimenteurs de l’UMP, comme le prouvent nos fréquentes publications et interventions médiatiques (...) »
Pour avoir, toutefois, quelques éléments, il faut donc se tourner vers le magazine Challenge qui nous donnait quelques pistes, le 23 mars : Ce serait Jean-Richard Sulzer, professeur de finance à Dauphine qui plancherait sur le programme économique et social.
Selon lui : « (...) Alors que son père était ultralibéral, par réaction au communisme, Marine Le Pen est dirigiste, dans le sens colbertiste du terme. C'est-à-dire qu'elle n'est pas contre un Etat fort (...) Le Front présentera ce mois-ci (mars 2011) une dizaine de grandes options économiques consécutives à ce réajustement idéologique. Elles auront pour base la liberté du commerce et de l'industrie à l'intérieur du pays, garantie par un Etat gendarme, qui lui-même sera plus protecteur vis-à-vis de l'extérieur (...) »
Pour en savoir plus, il faudra attendre que le Front National veuille bien effectuer : La réactualisation des programmes : «Acteurs économiques et emploi » ainsi que « Economie et budget ». Ce qui ne devrait, selon toute vraisemblance, pas être fait avant ... dimanche, deuxième tour des élections cantonales.
Slovar
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Pour un vrai front républicain
25/03/2011 06:54
Mais qu'elle bonne idée que celle de faire un front républicain, voilà bien un moyen d'essayer enfin de redresser la situation politique et économique française, qui convenons-en, en a bien besoin. On va enfin avoir une union des démocrates et des républicains au nom de la survie de notre pays et de ses principes. Enfin une union de tout les partis de France pour rendre à notre pays son indépendance et sa souveraineté. Mais quel front républicain ce serait, alliant souverainiste de droite comme de gauche et n'ayant pour seul objectif que le retour à la souveraineté du peuple et de la nation française...heu... mais... Autant pour moi, je me suis trompé en fait, il faut dire que le titre est un peu trompeur en fait. Malheureusement il parait que le front républicain c'est seulement pour faire barrage au FN. J'avoue être un petit peu déçu là, avec toutes ces mauvaises nouvelles qui s'accumulent, je pensais en avoir de bonnes, enfin en plus de la déculotté de l'UMP au premier tour des cantonales.
Le vrai front républicain n'est pas celui qu'on croit
La vérité dans cette affaire c'est qu'il est presque comique d'entendre des partis, qui n'ont eu de cesse depuis trente ans de bafouer toute les lois et les principes de la république, s'en faire soudain les défenseurs. Et cela uniquement quand ça les arrangent et que cela correspond à leurs petits intérêts électoralistes. Où étaient donc les défenseurs de la république du PS et de l'UMP lorsque le président et les députés, y compris de gauche, ont fait voter un texte qui avait été rejeté par référendum en 2005? Où sont donc nos défenseurs de la démocratie lorsque l'on impose au peuple de France des politiques pour lesquelles il n'adhère pas? Lorsqu'on lui impose de renflouer le système bancaire avec des deniers public pour ensuite justifier la destruction des services publics, et cela au nom de la réduction de la dette provoquée par ces mêmes sauvetages. Où sont donc nos républicains lorsque les entreprises française s'en vont à l'étranger parce qu'elles ne peuvent résister à la concurrence étrangère, à cause d'une monnaie unique idiote et d'une concurrence suicidaire avec des pays à salariés massivement sous-payés. Où sont donc ces républicains lorsqu'il faut résoudre les problèmes concrets des français, du logement au chômage, en passant par la délinquance, la baisse du niveau de vie et l'effondrement de nos services publics. La république ce n'est pas que des textes poussiéreux qu'il faut vénérer comme nos des primitifs le font avec des totems ou des idoles. La république c'est avant tout des principes en action, et le moins que l'on puisse dire c'est que s'il y a bien des partis anti-républicains en France, ils sont malheureusement déjà au pouvoir.
Le FN est un épouvantail, rien d'autre, il permet au PS et à l'UMP de continuer à faire croire qu'ils défendent l'intérêt français alors même qu'ils ont été au pouvoir ces trente dernières années et que la situation actuelle du pays est bien le fruit de leurs politiques conjointes. C'est décidément bien facile d'accuser autrui d'irresponsabilité ou de démagogie quand, soit même, l'on provoque de façon répété des catastrophes politiques et économiques. Le vrai front républicain n'est pas celui qui arrêtera le FN et les fantasmes qu'il entraîne chez certain, le vrai front républicain se sera celui mettra, une bonne fois pour toute, fin à la parenthèse néolibérale dont notre peuple ne cesse de payer les conséquences depuis 1983. Le vrai front républicain sera celui qui mettra fin au libre-échange et à la concurrence libre et donc complètement faussée. Ce sera un front qui ne considérera plus la hausse des salaires comme une catastrophe et les stock option comme une invention géniale. Le vrai front républicain sera celui qui osera remettre de la politique dans l'économie et qui rompra avec l'idée que le féodalisme économique est un modèle de civilisation progressiste. Donc en réalité le vrai front républicain sera celui qui se dressera contre les politiques néolibérales de l'UMP et du PS, et contre les contraintes européennes. Il y a bien une bête immonde à abattre mais elle triche sur son identité.
Yann
http://lebondosage.over-blog.fr/article-pour-un-vrai-front-republicain-70052772.html
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Libye : Sarkozy gourmande ses amazones
25/03/2011 06:50
« Libye, M. Sarkozy ironise sur le silence de Mmes Dati et Yade », nous informait Le Monde de mercredi 23 mars, dans un encart si petit qu’il fut passé inaperçu s’il n’eut été rédigé en gras. Il faut dire que le journal de l'intelligentsia postprandiale a fait les choses de manière singulière. Ce texticule anodin ne figure pas dans la rubrique « international » au rayon « Libye ». Il est coincé dans la page dédiée à l’entre-deux tours des élections cantonales, quelque part entre « Fillon et le Front national » et « la gauche et le Front national ». « Aucun lien » aurait dit Serge Karamazov, héros de
la Cité de
la Peur, film impérissable au titre prémonitoire.
Aucun lien ? Voyons cela. Selon l’articulet, le président de
la République aurait moqué deux de ses anciennes ministres pour leur silence quant à l’affaire libyenne. Première victime, Rama Yade, qualifiée ironiquement de « professionnelle des droits de l’Homme ». Il est vrai que les heureux détenteurs de cette spécialité rare, Nicolas Sarkozy préfère se les adjoindre, quitte à leur attribuer un rôle de quasi-ministre alors même qu’ils ne sont que quasi-philosophes. N’est-ce pas « le meilleur droit-de-l’hommiste d’entre nous », Bernard Henri-Lévy, qui assista l’Elysée dans le processus décisionnel qui aboutit samedi à une entrée de guerre en Libye ? Quant à la légitimité de Rama Yade en matière de droits humains, c’est avant tout à M. Sarkozy qu’elle la doit. N’est ce pas lui qui créa, au sein du Quai d’Orsay, cette inutile verrue que fut le Secrétariat d’Etat aux droits de l’Homme dont la seule vertu fut de permettre au chef de l’Etat de faire d’une pierre trois coups en casant dans un gouvernement ouvert à tous les vents une femme, jeune et « issue de la diversité » ?
Toujours selon l’entrefilet, le président de
la République aurait également critiqué Rachida Dati, dont il s’étonne du silence alors que «
la France intervient pour défendre les populations arabes ». Aussi loin que nous puissions remonter, il est difficile de se rappeler ce qui, dans le parcours politique de Rachida Dati, ferait d’elle une « professionnelle de la défense des populations arabes ». La députée européenne aurait-elle, entre autres incongruités jadis détectées dans son curriculum vitae, quelques compétences cachées en matière de géostratégie ? De relations internationales ? Serait-elle sans que nous le sachions une arabisante de génie apte à reprendre très bientôt le relais d’un Gilles Kepel ? Non. Ce que semble lui reprocher Sarkozy, c’est de se taire « en tant qu’Arabe ». Quand on est « d’origine nord-africaine », on se doit d’avoir une opinion d’Arabe, sur des affaires d’Arabes. Pourquoi ? Comment ? Une affaire de gènes, sans doute.
Crypto-communautariste, Nicolas Sarkozy ? De prime abord, c’est que semblent suggérer les quelques lignes innocemment rédigées dans un coin de la « page dédiée Front National ». Décidemment, Gaël Brustier et Jean-Philippe Huelin ont vu juste : pratique inconsciente de l’assignation à résidence identitaire, intégration dans le débat public d’un essentialisme de zinc, l’air de rien, le débat se droitise.
Si elle ne se situe certainement pas là où la presse de gauche buoniste nous a indiqué qu’il fallait la chercher, la « décontamination » fait son œuvre…
Coralie Delaume
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Les Portugais refusent de tomber dans le piège grec !
25/03/2011 06:45
Les Portugais refusent de tomber dans le piège grec !
Le vote du parlement portugais rejetant ce soir le nouveau programme d’austérité du gouvernement de José Socrates est historique, à la veille du sommet européen sensé "stabiliser" la zone euro.
Le fait qu’un plan de "sauvetage" ovationné à Bruxelles soit si violemment rejeté par un parlement national résonnera dans l’histoire comme un nouveau coup de semonce démocratique, après les non aux référendums français et néerlandais.
Ce rejet est en effet un formidable bras d’honneur à la pensée unique mondialiste, toujours prompte à faire suer les peuples pour mieux renflouer les banquiers.
Les parlementaires portugais n’ont pas cédé au chantage de Dominique Strauss-Kahn et du FMI : ils inspirent aujourd’hui le respect à tous les amoureux de la démocratie et de liberté en France comme en Europe.
J’invite ce soir le Portugal à quitter la zone euro afin de retrouver sa marge de manoeuvre monétaire et pouvoir enfin gérer son déficit conformément à son intérêt national, c’est-à-dire sans sacrifier sa croissance et sans suicider définitivement son économie.
Nicolas Dupont-Aignan,
Député de l’Essonne et président de Debout la République
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