Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Marine Le Pen, et maintenant?

07/03/2011 18:26

Marine Le Pen, et maintenant?


Maurice Szafran revient sur le sondage plaçant Marine Le Pen en tête du second tour. Selon lui, l'incohérence du Président a facilité ce résultat et il en appelle désormais à une véritable opposition.


Ce désormais fameux sondage Harris Interactive - Marine Le Pen en tête devant Nicolas Sarkozy et Martine Aubry au premier tour de l'élection présidentielle ne nous surprend malheureusement pas. Dans Marianne et sur Marianne2 nous avions évoqué cette hypothèse à plusieurs reprises depuis quelques mois. Nous n'en tirons a posteriori aucun motif de fierté, bien au contraire. Simplement de l'angoisse et un sens de la responsabilité encore plus aigüe.

1. La panique du camp sarkozyste.

Nul observateur ou acteur de la scène politique française - aussi critique soit-il envers Nicolas Sarkozy - n'a été en mesure d'anticiper cette chute sans fond ni fin. Sans fond? Jusqu'où? Sans fin? Jusqu'à quand ? Cette double interrogation est légitime car il n'existe plus la moindre logique, la moindre cohérence sarkozyste.

Comment en effet ne pas être stupéfait quand on s'arrête un moment sur la période, sur le comportement politique du président de la République et son n'importe quoi stratégique ?
Donc, courir après Marine Le Pen ; donc, jouer avec les musulmans de France, leur intégration dans la société française, les problèmes spécifiques posés par leur religion l'islam ; donc, faire semblant - puisque la présidente du Front National insiste sur ce point - de débattre de la laïcité et des adaptations nécessaires. Résultat ? Marine Le Pen progresse d'un sondage l'autre à la plus grande stupéfaction de la droite UMP incapable pour l'instant de la moindre réaction.
 
Autre « cadeau » fait à Marine Le Pen : le double discours économico-social, l'incapacité à la cohérence. Le président des riches, toujours et encore, renonçant certes au bouclier fiscal, mais ruinant cet « effort » en se trémoussant autour de l'ISF, sa suppression, son évolution... A dire vrai, les Français n'y comprennent rien et cela, une fois encore, renforce Marine Le Pen. Il n'est plus un membre de l'UMP qui n'en soit conscient. Cette lucidité et cette trouille de perdre, de tout perdre, resteront-elles sans conséquence dans les mois qui viennent? Rien n'est moins sûr. Il faudra évidemment observer les comportements d'Alain Juppé, de Jean-Louis Borloo, de Jean--François Copé et de Dominique de Villepin. Accepteront-ils, y compris jusque la défaite, l'autorité de Nicolas Sarkozy? Rien n'est moins sûr.

2. Le cas Aubry.
 
Ne serait-il pas honnête, indispensable même, que la première secrétaire du Parti Socialiste convienne qu'elle n'est sans doute pas en mesure de gagner l'élection présidentielle ; que son éventuelle candidature est dangereuse pour l'opposition républicaine ; qu'elle pourrait se retrouver au premier tour derrière Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen ; qu'en conscience, il lui est interdit de courir, de nous faire courir, ce double risque ? De Martine Aubry, nous attendons désormais ce geste et cette parole-là.

Cela nous contraint-il pour autant à soutenir d'ores et déjà Dominique Strauss-Kahn ? Pas forcément. Cela nous oblige simplement à exiger un comportement, une démarche, celle de la constitution d'un véritable arc d'opposition, contraignant DSK, Bayrou, Cohn-Bendit et Hulot, Mélenchon et d'autres à se parler, à construire, sinon une maison commune, du moins un avenir commun.

Sinon, il est probable que le cauchemar Sarkozy-Le Pen prenne forme.

 

Maurice Szafran - Marianne

http://www.marianne2.fr/Marine-Le-Pen-et-maintenant_a203619.html






Nigel Farage répond à l’invitation de Nicolas Dupont-Aignan

07/03/2011 09:58

Nigel Farage répond à l’invitation de Nicolas Dupont-Aignan


Nigel Farage défend les « valeurs de démocratie pour les nations », et s’est opposé notamment à l’adoption d’une constitution européenne en invoquant le « non respect des votes des peuples européens » (notamment français, irlandais et néerlandais), ainsi que l’absence de référendums pour l’immense majorité des pays européens.

Véritable star du parlement européen et sur Internet, il est également président d’un parti politique qui marque chaque jour un peu plus de points en Grande-Bretagne grâce à ses succès électoraux : UKIP.

Il est entré dans la "légende" en étant l’un des rares députés européens à démontrer avec talent comment l’UE était devenue un monstre anti-démocratique au service d’intérêts étrangers à celui des citoyens, quitte à s’en prendre violemment à des représentants hors-sol tels que la Baronne Ashton ou M. Van Rompuy

http://www.debout-la-republique.fr/Nigel-Farage-repond-a-l-invitation.html






Marine Le Pen, fille de Nicolas Sarkozy et du PS

07/03/2011 09:53

Marine Le Pen, fille de Nicolas Sarkozy et du PS


Aujourd’hui, un sondage du Parisien donne Marine Le Pen en tête du premier tour, avec 23% des voix, contre 21% à Nicolas Sarkozy et Martine Aubry. Quelles peuvent être les conséquences de l’ascension du Front National ?
Recomposition au sein des grands partis
Tout d’abord, il faut dénoncer l’indécence de Martine Aubry qui attribue la montée du FN au seul Nicolas Sarkozy. Bien sûr, le président est en partie responsable (débat sur l’identité nationale, sur l’immigration, réforme de l'ISF, bilan de son quinquennat…), mais le PS aussi, par-delà le rôle de François Mitterrand qui dans les années 1980. Le fait que le FN devance le PS démontre les immenses carences des socialistes, leur absence de crédibilité et la vacuité de leur discours.
L’ascension de Marine Le Pen va simplifier la donne au sein des grands partis. Le PS va forcément choisir le candidat qui semble offrir la meilleure chance d’être au second tour, DSK. Tout autre choix reviendrait à prendre le risque d’être éliminé dès le premier tour. Certes, il perdra à gauche, mais il mordra sur l’électorat du centre. Martine Aubry risquerait, elle, de perdre des deux côtés. Mieux, il semble probable que les Verts renonceront à une candidature dans un tel contexte.
A droite, cela pourrait renforcer Nicolas Sarkozy, qui dispose d’un socle de fidèles plus solide pour passer le premier tour, contrairement à ses rivaux. En outre, qui voudrait aujourd’hui y aller à la place du président sortant, qui de toutes les façons, a sans doute déjà fait son choix, comme il transparaît depuis l’automne ? Du coup, il sera aussi plus difficile pour Dominique de Villepin d’y aller, coincé entre DSK et Bayrou, et qui pourrait être accusé de faire le jeu du PS et du FN…
Le FN, l’assurance-vie du PS et de l’UMP
Certes, il serait très humiliant pour les partis qui se partagent le pouvoir d’être éliminés par le Front National du second tour de la présidentielle. Cependant, le Parti Socialiste y a survécu, sans la moindre remise en question. Après tout, l’irruption du FN dans la vie politique de notre pays il y a trente ans n’a rien changé à la bipolarisation du pouvoir. Certes, il y a trois pôles électoraux, mais le pouvoir ne peut être pris que par les socialistes ou l’UMP quelques soient les circonstances.
Mieux, le Front National est le moyen de teinter de manière suspecte toute idée un peu alternative qu’il reprend à son compte : la critique de l’europe ou de l’euro, le protectionnisme, l’idée de frontières… Et son poids rend plus difficile l’émergence d’une alternative républicaine. Que serait devenue la candidature Chevènement sans la présence de Jean-Marie Le Pen en 2002 ? Nul ne le sait… Ce parti protestataire est paradoxalement devenu l’assurance-vie du système.
Une opportunité pour les alternatifs ?
Certains pourront se décourager devant la percée de Marine Le Pen et estimer que NDA, Chevènement ou Mélenchon sont condamnés à des seconds rôles en 2012. Et si c’était le contraire ? Après tout, sa percée dans les sondages reflète deux choses : le ras-le-bol des Français à l’égard des socialistes et de l’UMP mais aussi sa présence médiatique beaucoup plus importante que celle des alternatifs républicains. Or ce second point changera en 2012.
La campagne présidentielle leur permettra d’émerger car le temps de parole des petits candidats est important. Du coup, les Français découvriront qu’il existe des alternatives républicaines à l’UMPS et qu’ils ne sont pas obligés de voter pour un parti extrémiste. Mieux, tout le système médiatique, effrayé par la montée en puissance du FN, pourrait finir par se demander s’il ne serait pas mieux de nous donner un peu plus la parole pour que le FN ne représente pas seul l’alternance.
Marine Le Pen est peut-être le Chavez (de droite) de notre pays. A tous les Lula de se battre pour montrer aux Français qu’il y a d’autres réelles alternatives possibles à l’UMP et au PS car à court terme, elle ne peut pas accéder au pouvoir. Et à moyen terme, qui le souhaite vraiment ?
Laurent Pinsolle





Dominique De Villepin : La montée du Front National: "Une colère devant la non prise en compte des préoccupations"

07/03/2011 09:46

Dominique De Villepin : La montée du Front National:


Selon l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin, interrogé sur sur I-télé/France Inter/Le Monde/Dailymotion, "le Front national monte (...), je crois que c'est la leçon qu'il faut retenir. Quelque part on peut avoir le sentiment que beaucoup a été fait pour cela. C'est d'abord la sanction d'une politique qui n'a pas de résultat et c'est la sanction de l'abandon de la question sociale au profit de la question identitaire."

Dominique de Villepin, qui a rendu sa carte de l'UMP, interprète ce sondage comme l'expression d'"une colère devant la non prise en compte des préoccupations quotidiennes des Français".

Interrogé sur les propos de la secrétaire d'Etat aux Solidarités, Marie-Anne Montchamp, ex-porte-parole de son parti, qui lui a demandé de "ne pas être candidat" en 2012 pour ne pas favoriser "la candidate Marine Le Pen", le président de République solidaire a répondu: "Je pense exactement l'inverse. La réponse face à une montée du Front national, c'est l'engagement, c'est la conviction, c'est la République et ce n'est quand même pas ceux qui ont tiré la sonnette d'alarme depuis quatre ans qui doivent aujourd'hui s'effacer."

Source: Le Parisien

http://2villepin.free.fr/index.php/2011/03/07/1819-dominique-de-villepin-invite-de-dimanche-soir-politique-sur-i-tele






Sarkozy 2012 = Giscard 1981 + Mitterrand 1993

07/03/2011 09:39

Sarkozy 2012 = Giscard 1981 + Mitterrand 1993


Le président de la République semble diriger le radeau de la méduse. Son précédent remaniement a tenu à peine trois mois, sa majorité se chamaille à la première occasion, et son gouvernement erre, sans cap, surfant sur des polémiques stériles et des mesures ahurissantes.

Un candidat évident

Ecartons tout d’abord une hypothèse franchement improbable, malgré les convictions de Jean-Michel Apathie. Nicolas Sarkozy sera bel et bien candidat en 2012. Il tient déjà un discours de candidat et le sentiment d’invincibilité donné par sa victoire de 2007 pourra toujours lui faire croire qu’il arrivera à s’en sortir. En outre, qui pour le remplacer ? Même si 60% des Français ne veulent pas qu’ils se représentent, il reste largement le meilleur candidat dans les sondages.

Qu’un président aussi impopulaire arrive encore à devancer ses rivaux potentiels dans son parti montre l’étendue du désastre pour l’UMP. François Fillon reste transparent, et affaibli par ses vacances en Egypte qui questionnent son bon sens. Alain Juppé, même s’il est le nouvel homme fort du gouvernement, ne nourrit plus d’ambition présidentielle, et préfèrera regarder Nicolas Sarkozy tomber, ce qui convient parfaitement à Jean-François Copé en vue de 2017.

La discorde à l’UMP

Faut-il y voir une raison pour laquelle le patron de l’UMP multiplie les déclarations tranchantes et les polémiques (TVA sociale, débat sur l’Islam…), outre le virage noté par Gaël Brustier ? Après tout, il a sans doute intérêt à une défaite en 2012 car il serait plus difficile pour lui de gagner en 2017 après vingt-deux ans de présidence de droite… Du coup, tout en jurant loyauté au président, il pourrait bien dynamiter sa campagne de l’intérieur, l’air de ne pas y toucher…

Pire, alors que les socialistes s’étaient spécialisés dans les querelles intestines, c’est maintenant l’UMP qui semble le camp le moins discipliné. François Fillon tacle Alain Juppé lundi matin sur RTL en soulignant qu’il devra consacrer moins de temps à Bordeaux ? Ce dernier ne revient à Paris que mardi et égratigne le premier ministre. Les députés et les anciens ministres (Yves Jego, Rama Yade…) agissent comme des snipers contre le gouvernement. C’est la chienlit à droite !

Une élection perdue d’avance ?

Bien sûr, une élection n’est jamais perdue d’avance. Mais entre un bilan très mauvais et en décalage criant avec les promesses de campagne, un comportement peu apprécié des Français et l’usure du pouvoir, Nicolas Sarkozy semble très mal parti. Le président semble carbonisé. Certes, il se raccroche à l’espoir de faire comme en 2002, mais, là, le PS est dans l’opposition et celui qui pourrait bien être éliminé à force de pousser Marine Le Pen, ce pourrait bien être lui…

Le gouvernement semble aussi usé que le gouvernement Bérégovoy nommé en 1992. Le chef de gouvernement n’a de chef que le nom. Il n’a plus aucune prise sur l’actualité, qui le ballotte dangereusement. Bien sûr, la réforme fiscale et la dépendance sont de vrais sujets, mais ils sont explosifs et les qualités d’artificier de Nicolas Sarkozy laissent présager le pire. En outre, l’Elysée semble dans la même bulle que Valéry Giscard d’Estaing en 1981.

Le scénario le plus probable aujourd’hui est un lourd échec de Nicolas Sarkozy. Sa réussite de 2007 peut lui donner l’illusion qu’il va redresser la situation en instrumentalisant le FN. Mais à moins que le PS ne soit très maladroit (ce qui ne peut pas être totalement exclu), sa défaite est très probable.

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






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