Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Sarkozy vire MAM sans états d’âme

01/03/2011 10:17

Sarkozy vire MAM sans états d’âme


Management sans ménagements
Pas un mot, pas le moindre hommage, même hypocrite, à une dame que l’on congédie sans ménagements, c’est assez peu courant dans notre démocratie policée… Faut dire qu’elle l’a bien cherché, et fait tout ce qu’il convenait pour être traitée de la sorte… Si j’étais féministe, je serais aux anges : enfin une femme virée sans que l’on puisse le moins du monde mettre sa chute sur le compte de son sexe et du machisme au sommet.
Tout de même, j’aurais préféré que Nicolas Sarkozy eût pour elle les égards que le moindre homme du monde doit à la maîtresse qu’il congédie : le bouquet de fleurs (chères) avec un petit mot du genre : « Elles faneront, vous jamais ! », tout cela mis en musique rhétorique par l’excellent Henri Guaino, cela aurait eu de la gueule !
Peut-être s’est-elle sacrifiée pour que son compagnon Patrick Ollier reste au gouvernement, ce qui ajouterait du sel à la tragédie qu’un Sophocle moderne ne va pas manquer d’écrire…
Mais, j’en conviens, on n’en est plus là, il y a vraiment le feu au lac et la présidentielle c’est demain. Nicolas l’a bien compris, et s’est conformé à la célèbre formule de Jean Cocteau « Puisque ces événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ! ».
Je suis, sur le coup, resté relativement sceptique sur ces paroles présidentielles, jusqu’à ce que Benoît Hamon, porte-parole du PS apparaisse sur les écrans. L’opposition a le droit de tout dire, c’est même son devoir, mais il ne faut pas abuser : affirmer que c’est le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN qui a provoqué l’engagement des troupes française en Afghanistan est une stupidité : nos « boys » y sont depuis 2001… Zont pas de fiches au PS ? C’est grave…





La fin de l’euro commence-t-elle à Dublin ?

01/03/2011 10:14

La fin de l’euro commence-t-elle à Dublin ?


Les élections législatives Irlandaises ont paradoxalement très peu attiré l’attention alors que l’avenir de la monnaie unique se joue peut-être ici. Les partis qui vont former le gouvernement ont en effet promis de renégocier le « plan d’aide » européen. Un bras de fer décisif devrait commencer.

Une révolte démocratique

Nous ne sommes pas encore dans la situation de l’Islande, mais l’Irlande devient un nouveau foyer de trouble pour la zone euro. En effet, le Fianna Fail au pouvoir a connu une déroute historique, puisqu’il devrait passer de 73 sièges (sur 166) à seulement 20. La majorité devrait être composée du Fine Gael (36% des voix, 72 sièges) et du Labour (20% des voix, 38 sièges contre seulement 20 auparavant). Ces deux partis ont promis une renégociation des termes du plan négocié à l’automne.Ceci démontre la révolte du peuple Irlandais contre les conditions de cette aide, très mal acceptées. En effet, la population compare sa situation avec celle de l’Islande, qui a choisi de ne pas sauver ses banques et de ne pas suivre les recommandations de la communauté internationale avec succès, comme le reconnaît Paul Krugman. Les Irlandais ont l’impression qu’ils paient pour sauver les banques continentales qui avaient contribué à la bulle des quinze dernières années.

Une situation très instable

Du coup, on peut anticiper un beau bras de fer entre le nouveau gouvernement Irlandais et l’Union Européenne sur la renégociation du plan de soutien. La nouvelle équipe au pouvoir ne pourra pas se contenter de concessions a minima sous peine de perdre immédiatement la confiance des électeurs (ce qui pourrait également provoquer l’explosion de la coalition), mais les instances européennes ne seront guère partantes car cela pourrait pousser la Grèce à faire de même.

En outre, il n’est pas évident que l’Allemagne accepte une restructuration qui serait sans doute très critiquée par des médias aujourd’hui déjà échaudés par la perspective d’avoir un Italien à la tête de la BCE. Pire, la banque centrale Irlandaise créé actuellement de la monnaie pour aider ses banques (outre la recapitalisation par le gouvernement) car l’argent fuit le pays (comme en Argentine avant 2002). En résumé, la situation est totalement explosive, tant économiquement que politiquement.

Bref, les plans « d’aide » européens ont seulement permis de gagner du temps et de réduire la pression sur les marchés. Mais tout n’est pas réglé économiquement car les capitaux fuient la Grèce et l’Irlande et les peuples de ces deux pays contestent de plus en plus les plans.

Laurent Pinsolle

 

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






Sarkozy remanie sous la dictée

01/03/2011 10:10

Sarkozy remanie sous la dictée


Ah la la, quel métier que le métier de Président ! Être obligé de se coltiner un JT le dimanche soir - une première dans l'histoire de la V ° République, non ? - et tout ça pour annoncer quoi ? Un remaniement qui se veut minimaliste, mais qui, en réalité, marque un échec pesant du Président.

 Il l'a joué « historique ». Le Président a enrobé l'annonce d'un remaniement réalisé dans l'urgence en invoquant le « changement historique » que constitue la révolution arabe (voir le texte intégral de l'allocation ci-dessous). Après avoir rappelé que toutes les démocraties avaient développé des relations  avec des dictatures qui constituaient des « remparts contre le terrorisme et le fondamentalisme religieux ». « Nous ne devons pas avoir peur » a ajouté le Président comme s'il voulait reprendre la fameuse antienne de Jean-Paul II, précisant que le mouvement qui touche les pays arabes s'est accompli « au nom des valeurs qui nous sont les plus proches, les droits de l'homme et la démocratie ». Le Président a tenté de préciser la ligne de crête difficile entre une « ingérence qui ne serait pas acceptée » et une « indifférence qui serait une faute politique ». On aurait aimé que cette analyse judicieuse eut dictée la politique de la France depuis deux mois...

Enfin, Nicolas Sarkozy a tenté de montrer en quoi le destin des peuples arabes pouvait avoir des conséquences dramatiques en Europe s'il arrivait que de nouvelles dictatures s'imposent dans ces pays, évoquant même les flux migratoires souvent brandis par Marine Le Pen. Sauf que la solution proposée, le retour en grâce de l'Union pour la Méditerranée , chère à son conseiller spécial Henri Guaino, apparaît très en deça de la main, compte tenu du bilan très modeste de cette initiative et du peu d'enthousiasme de nos partenaires européens, et notamment de l'Allemagne sur ce sujet.

 

Si le Président a voulu ancrer sa décision dans la Grande Histoire , il n'est pas interdit, bien entendu de resituer ce remaniement dans la petite histoire du sarkozysme. On ne reviendra pas ici sur tout ce que tous les analystes ont bien décrypté cette semaine : la faillite de la politique étrangère française, l'incompétence et l'inexpérience du Président, son mépris des diplomates, sa façon de jouer la com à tout propos, son mercantilisme exacerbé ont bien affaibli une organisation internationale façonnée par des siècles de diplomatie. Au-delà de cet échec très lourd qui surgit au moment où le Président voulait se concentrer sur ce qu'il considérait comme son point fort, la politique internationale, avec la présidence du G20, le remaniement marque une étrange défaite présidentielle.
 
Pourquoi ? Parce que, une fois encore, la volonté présidentielle a dû s'incliner devant les exigences d'un homme - Alain Juppé - qui n'a jamais et ne sera jamais sarkozyste. Le scénario ressemble à celui qui avait vu François Fillon, celui que l'on appelait « Nobody » dans les coursives de la sarkozie, imposer tel ou tel ministre dans le remaniement de novembre dernier.

Novembre 2010. Cela paraît si loin déjà. Et cette fois-ci, le Président était dans la main d'Alain Juppé, et celle-ci, apparemment n'a pas tremblé. Pour venir au Quai d'Orsay où il a déjà exercé ses talents, le maire de Bordeaux voulait, et il l'avait déjà fait savoir, disposer d'une réelle autonomie. Rien à voir avec les maigres prérogatives accordées à Kouchner puis à Mam. Le Président doit donc s'exécuter. Il a, dans cette partie d'échec, sacrifié la « Tour » de l'Elysée, Claude Guéant, qui doit se féliciter d'obtenir un ministère maintenant, tant son ambition devenait incertaine si elle était restée arrimée à une réélection de plus en plus incertaine. Eh oui, on en est là au Château, on pense plutôt au dernier tour de manège qu'à un bis repetita....

Au-delà de ce jeu de chaises musicales - Mam dehors, Juppé au Quai d'Orsay, Guéant place Beauvau, Hortefeux à l'Elysée, Longuet à la Défense -, le remaniement marque un autre échec du sarkozysme : les hommes du Président, qu'ils soient d'ombre - Guaino et Guéant, encore qu'ils sont aussi des vus à la télé - ou de lumière - les Estrosi, Hortefeux, Bertrand et consorts - ont été carbonisés par trois ans et demi de magistère. Ceux que l'on appelle les ministres en cour - Juppé, Kociusko-Morizet, Le Maire, Baroin - viennent d'autres écuries et notamment de la chiraquie. Bien sûr, il ne manquera pas, dans les jours qui viennent, d'exégètes pour affirmer que le remaniement est un magnifique coup « à la Mitterrand  », qui permet au président de confronter François Fillon à un concurrent supposé redoutable. La vérité est plutôt que le retour au premier plan d'Alain Juppé, après la « mode Fillon » de l'an passé, traduit une incontestable nouveauté : Sarkozy ne dispose plus de leadership sur la droite, et il aura du mal à empêcher la classe bourgeoise de lui chercher un successeur raisonnable.

 

 

L'allocution du Président de la République en version intégrale

 

Mes chers compatriotes,
A peine la plus grave crise économique et financière depuis la deuxième guerre mondiale semble-t-elle s'estomper, à peine l'Europe a-t-elle dominé la crise de l'euro que, de l'autre côté de la Méditerranée , se produit un immense bouleversement. Certains peuples arabes prennent leur destin en main, renversant des régimes qui, après avoir été, au temps de la décolonisation, les instruments de leur émancipation avaient fini par devenir ceux de leur servitude. Ces régimes, tous les États occidentaux et tous les gouvernements français qui se sont succédés depuis la fin des colonies ont entretenu avec eux des relations économiques, diplomatiques et politiques, malgré leur caractère autoritaire parce qu'ils apparaissaient aux yeux de tous comme des remparts contre l'extrémisme religieux, le fondamentalisme et le terrorisme.

Mais voici qu'à l'initiative des peuples s'esquisse une autre voie. En opposant la démocratie et la liberté à toutes les formes de dictature, ces révolutions arabes ouvrent une ère nouvelle dans nos relations avec ces pays dont nous sommes si proches par l'histoire et par la géographie. Ce changement est historique. Nous ne devons pas en avoir peur. Il porte en lui une formidable espérance car il s'est accompli au nom des valeurs qui nous sont les plus chères, celles des droits de l'homme et de la démocratie. Pour la première fois dans l'histoire, elles peuvent triompher sur toutes les rives de la Méditerranée. Nous ne devons avoir qu'un seul but : accompagner, soutenir, aider les peuples qui ont choisi d'être libres. Entre l'ingérence qui ne serait pas acceptée et l'indifférence qui serait une faute morale et stratégique, il nous faut tout faire pour que l'espérance qui vient de naître ne meure pas car le sort de ces mouvements est encore incertain. Si toutes les bonnes volontés ne s'unissent pas pour les faire réussir, ils peuvent aussi bien sombrer dans la violence et déboucher sur des dictatures pires encore que les précédentes.

Nous savons ce que pourraient être les conséquences de telles tragédies sur des flux migratoires devenus incontrôlables et sur le terrorisme. C'est toute l'Europe alors qui serait en première ligne. Nous avons donc le devoir d'agir avec une ambition qui soit à la dimension des événements historiques que nous vivons. C'est pourquoi la France a demandé que le Conseil européen se réunisse pour que l'Europe adopte une stratégie commune face à la crise libyenne dont les conséquences pourraient être très lourdes pour la stabilité de toute la région.
De même l'Europe doit se doter sans tarder de nouveaux outils pour promouvoir l'éducation et la formation de la jeunesse de ces pays du Sud de la Méditerranée , imaginer une politique économique et commerciale pour favoriser la croissance de ces jeunes démocraties qui veulent naître.
L'Union pour la Méditerranée , fondée à l'initiative de la France le 13 juillet 2008, doit permettre à tous les peuples de la Méditerranée de bâtir enfin une destinée commune. Le moment est venu de refonder cette Union à la lumière des événements considérables que nous vivons. La France fera des propositions en ce sens à ses partenaires.

Mon devoir de Président de la République est d'expliquer les enjeux de l'avenir mais tout autant de protéger le présent des Français. C'est pourquoi, avec le Premier Ministre François Fillon, nous avons décidé de réorganiser les ministères qui concernent notre diplomatie et notre sécurité.
Alain Juppé, ancien Premier ministre, homme d'expérience qui a déjà exercé ces fonctions avec une réussite unanimement reconnue sera Ministre des Affaires étrangères. Pour le remplacer au ministère de la Défense , j'ai choisi Gérard Longuet, lui aussi homme d'expérience. J'ai souhaité dans le même temps confier la responsabilité de ministre de l'Intérieur et de l'Immigration à Claude Guéant qui m'a accompagné depuis neuf ans dans toutes les responsabilités que j'ai exercées, en particulier au ministère de l'Intérieur dont il connaît tous les rouages et dont il a occupé tous les postes de responsabilité.

Ainsi les fonctions régaliennes de l'État se trouveront-elles préparées à affronter les événements à venir dont nul ne peut prévoir le déroulement.

Mes chers compatriotes, c'est mon devoir de prendre les décisions qui s'imposent quand les circonstances l'exigent. Je connais vos attentes qui sont grandes à juste titre. Je me suis engagé à moderniser la France pour que notre modèle survive à tous les changements si brutaux de ce début du XXIème Siècle. Pour obtenir les résultats que vous attendez et que nous obtiendrons, je me dois de ne faire prévaloir aucune autre considération que le souci de l'efficacité et de l'intérêt général dans le choix de ceux auxquels sont confiées les plus hautes responsabilités de l'État.

Dans ces circonstances si troublées la nécessité du rassemblement de tous les Français autour de nos valeurs républicaines est plus nécessaire que jamais. La peur, l'affrontement, l'exclusion n'ont jamais permis de préparer l'avenir, au plan international comme au plan national. A l'inverse le refus de voir les réalités en face exacerbe les tensions.
Mes chers Compatriotes, vous pouvez compter sur ma détermination et sur mon engagement.
Vive la République !
Vive la France !

 

 

Philippe Cohen - Marianne |

 

Dessin : Louison

 

http://www.marianne2.fr/Sarkozy-remanie-sous-la-dictee_a203348.html

 

 






Primaires PS : les Mariannautes très divisés !

01/03/2011 10:01

Primaires PS : les Mariannautes très divisés !


Cette semaine, les Mariannautes se sont passionnés sur la stratégie électorale de la gauche et, au-delà, de l'opposition républicaine pour battre le président sortant en 2012. Apparemment, la proposition d'Elie Arié d'annuler les primaires au sein du PS ne fait pas l'unanimité, même si elle a ses partisans.

Elie Arié en est persuadé : les primaires sont suicidaires pour le PS. Conçues à l'origine pour rassembler la gauche en permettant l'expression de tous ses courants, elles risquent d'aboutir à faire désigner le candidat du PS par des gens qui n'en font pas partie! Reprenant en partie l'argumentation de Michel Vauzelle (président de PACA), Arié en tire une conclusion qui lui parait logique : le PS doit défaire, lors d'un congrès extraordinaire, la décision prise précédemment en faveur d l'organisation de primaires au sein du PS.

Même argumentée avec un certain bon sens, cette analyse ne fait évidemment pas consensus parmi les Mariannautes, qui sont près de 500 à avoir commenté ce billet. Certains y décèlent une machinerie contre Ségolèle Royal qui, selon eux, est encore en capacité de l'emporter. D'autres estiment qu'un débat démocratique sanctionné par un vote, n'est pas forcément porteur de divisions. D'autres encore pensent que les primaires ne sont pas un sujet car au bout du compte, ce qui est en cause est la trop grande proximité entre la gauche libérale et la droite sarkozyste. Enfin, bien des Mélenchoniens perçoivent dans cette rhétorique l'annonce d'une campagne visant à déligitimer les candidatures non PS à gauche.

En revanche, Elie Arié a pour lui tous ceux qui sont avant tout que l'élection de 2012 doit être un référendum contre Sarkozy. Ce qui doit contrarier notre ami, qui s'efforce depuis juin 2007, de ne pas tomber dans l'anti-sarkozysme primaire...

 

 

Béatrice D. : Socialistes, réveillez-vous !
Même sans primaires, votre candidat(e) a peu de chance d'être élu(e) : S-K ne rassemblera pas à gauche (dans et hors du parti), les autres pas à droite.
Il faudrait que tous les partis démocrates prennent conscience que pour lutter contre les deux bêtes immondes (dont les électeurs, eux, votent presque tous et ont des intérêts à défendre - et pas des valeurs), il serait peut-être intéressant, au moins pour les Présidentielles (pour les Cantonales et les Législatives, la pluralité, la diversité devrait pouvoir s'exprimer sans risques), que les Républicains démocrates s'allient.
Les tribus gauloises sont-elles prêtes à cette urgence républicaine ?
Ou s'allieront-elles après la défaite (dans la rue, pour une révolution) - pour ne pas déroger à la règle historique ?
Personnellement, tant que nous avons encore des éléments de démocratie (pas comme en Egypte et en Tunisie), je serais favorable au premier cas de figure.
Mais les guerres tribales, qui font les délices des "gens qui sentent mauvais" me font penser que ce n'est pas gagné.
Pardonnez-moi cette trivialité : "la soupe est peut-être trop bonne" pour que nos républicains, qui ne sont pas ceux d'hier, oublient leurs batailles d'ego et leurs ambitions personnelles. HONTE A EUX ! Il est vrai que la France , c'est peu de choses... par rapport aux gains et au pouvoir potentiel (mais loin d'être assurés - on peut toujours rêver) d'un joli portefeuille. N'est-ce pas ?
Mais ce n'est que mon humble avis, et je sais bien que cette proposition va susciter les foudres des GAULOIS... J'assume. Trois ans et demi (une éternité) pour un désastre... Vous en reprendrez bien pour SIX ANS ET DEMI ??? A la vôtre ! 

 

Pomme Canada : Tout Sauf Sarkozy !
Oui, c'est évident, le PS n'a pas le loisir de prendre des risques de défaite . Sa division en 2007 devait être une leçon pour 2012. Que le PS prenne conscience du danger! La France ne se relèvera pas d'un deuxième mandat du calamiteux président actuel. Pire que les mauvais bilans de ce mandat, c'est la division des français que le Minus actuel impose par son idéologie néfaste et sans complexes de droite extrême. Que de dégâts ! Sarkozy ira jusqu'à faire alliance avec le FN pour garder le pouvoir.
En 2012, c'est TSS= Tout Sauf Sarkozy pour la plupart des français. 

 

Pépin Lecourt : il faut défendre les primaires !

Supprimer les primaires ?

Je croyais que Royal était grillée, qu'elle n'avait aucune chance ?

Car c'est de cela qu'il s'agit en fait, la crainte qu'une fois encore elle déjoue les sondages sur mesure qui l'enterrent comme à Reims et d'être obligé de bourrer encore une fois les urnes ce qui ferait mauvais effet afin d'introniser un candidat du clan Solférinien pardessus la tête des militants.
Car quand Mr Arié dit « ce que tous les socialistes pensent » il veut dire les notables, les socialistes qui comptent, par le militant débile lambda tout juste bon à mettre dans l’urne le bulletin qu’on lui aura préalablement glissé dans la main.
Car pourquoi les primaires devraient diviser des prétendus démocrates ?
Chaque candidat plaide son programme, les militants choisissent et une fois le vainqueur désigné, les autres en tant que démocrates se rangent derrière l’élu et font campagne pour lui ?
C’est pas comme cela la démocratie ?
Selon Arié il semble que cela ne soit pas comme cela au PS, alors s’ils ne sont pas capables de se rassembler derrière le candidat des primaires, pourquoi se rassembleraient-ils sans les primaires ?

Tout ceci est une mascarade, car DSK/Aubry/Hollande/Fabius sont parfaitement capables de se rassembler, même vision, même magouilles, le problème c’est Ségolène, s’ils étaient sûrs que ce soit l’un d’entre eux qui gagne, les primaires ils trouveraient cela très bien, s’ils sont capables de s’entendre sans primaires, ils sont capables de le faire avec primaires, le problème c’est avec Royal, si elle passe, ils se retrouvent comme en 2007 obligés de faire élire Sarko en sous-main car c’est à cause de ces « socialistes » de la ploutocratie que nous bouffons du Sarko depuis 2007.
La ploutocratie ne veut décidément pas de cette Royal au point que ses médias lorsqu’ils font des analyses sur les candidats pour 2012, 3 fois sur 4 font semblant d’ignorer Royal comme si elle n’existait pas, ils n’osent même pas prononcer son nom de peur que cela donne des idées à de nouveaux électeurs, on simule l’élection sans Royal comme si elle n’avait aucune chance mais pourtant on redoute comme la peste ces primaires à cause d’elle !
Cher Arié, mettez-vous dans la tête que de très nombreux électeurs souhaitent que le PS soit éliminé comme l’UMP, que la défaite d’un PS surtout sans Royal est nécessaire à la régénération du paysage politique Français.
Vous devriez méditer sur ce sondage que les médias n’ébruitent pas ( tiens pourquoi ? ) de Harris interactive publié dans le dernier Humanité Dimanche qui indique que 58% des sondés souhaitent une révolte en France et 49 % croient qu’elle est aujourd’hui possible, alors cela vous donne une idée de ce qu’ils attendent de vos fossiles du PS ! 

 

Vassili Arkhipov : le candidat ne doit pas parler au nom du PS 
Il est faux de dire que le PS doit d'abord s'entendre sur un programme et ensuite désigner son candidat. Cela ne fonctionne pas comme ça. On l'a bien vu en 2007. Un président de la cinquième république ne peut pas être le porte-parole d'un parti. Il a vocation à nouer une relation personnelle avec l'ensemble des Français. A gauche, seule Ségolène Royal l'a compris... et pour cause. On l'a obligé à défendre des mesures simplistes et démagogiques, comme le SMIC à 1500 euros et on lui a tiré dans les pattes dès qu'elle s'écartait de la vulgate bien pensante du parti. Les primaires doivent donner une légitimité au candidat du PS qui aille au-delà des élus, des assistants d'élus et des fonctionnaires territoriaux qui constituent l'essentiel des « militants » socialistes. 

 

thierry lyonnais : la révolution, comm à Tunis!

 

Faute d'avoir un projet, et des solutions crédibles, les socialistes font des primaires...
Ca va à nouveau déboucher sur de la démagogie à gogo et sur un concours d'égo et de peopolisation ou en sortira pas forcément le plus compétent.. C'est ainsi qu'ils ont promu Ségolène, la championne de l'égo-démago, le vide sidéral
L'ump est une bande de minables intéressés..
Et on nous impose le Fn comme seule alternative...
Les Français méritent mieux que ces charlots ; faisons notre révolution à la tunisienne !! 

 

Jean Pierre Ané-Prince : en Italie aussi...

Pour reprendre l'exemple de l'Italie, il y a également des voix qui demandent là bas aussi la suppression des primaires car elles ne résolvent pas le problème du leadership, au contraire.
Ce sont les idées et un programme solide qui peuvent faire gagner la gauche et pas seulement le rejet de Sarkozy (ou de Berlusconi).

 

 

 

Philippe Cohen – Marianne

 

Image Louison

 

http://www.marianne2.fr/Primaires-PS-les-Mariannautes-tres-divises-_a203168.html

 

 






Ces photos que Sarkozy voulait cacher...

01/03/2011 09:49

Ces photos que Sarkozy voulait cacher...


Dur, dur, en ce moment, de montrer des photos qui évoquent la complicité entre Nicolas Sarkozy et Hosni Moubarak. L'Élysée a nettoyé son site-web des clichés gênants, comme l'explique le site Owni.fr.

Trois jours après la chute de Moubarak, l'Élysée a nettoyé son site web des photos montrant la complicité de Nicolas Sarkozy et du dictateur égyptien. Exclusif, l'enquête d'OWNI.

Dans la
galerie photo consacrée, sur elysee.fr, à la visite officielle de Nicolas Sarkozy en Libye, en juillet 2007, on voit bien le président français serrer la main de Mouammar Kadhafi, puis signer un livre d’or.

Mais la
photographie du petit mot écrit par Nicolas Sarkozy ne s’affiche pas dans le diaporama. Elle est pourtant bel et bien présente sur le site web de l’Élysée. Comme treize autres photographies, montrant à quel point Nicolas Sarkozy et Hosni Moubarak, l’ex-président dictateur de la République arabe d’Égypte, avaient pu faire « copain-copain ».

Lire la suite sur le site d'OWNI.

 

 

OWNI - Vent des Blogs

 

http://www.marianne2.fr/Ces-photos-que-Sarkozy-voulait-cacher_a203158.html






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