Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Après la Tunisie et l’Egypte, à qui le tour ?

14/02/2011 10:14

Après la Tunisie et l’Egypte, à qui le tour ?


Il ne fait pas bon être un autocrate dans un pays arabe de nos jours. Avec Ben Ali en janvier puis Moubarak ce mois-ci, les révolutions pacifiques et populaires ont déjà réussi à renverser deux dictateurs. Déjà, l’Algérie gronde et le pouvoir tente de contenir la révolte du peuple.
L’Histoire est en marche
Un peu plus de vingt ans après la libération des pays d’Europe de l’Est, nous assistons à un nouveau mouvement de libération de peuples opprimés. Les proximités entre les mouvements Tunisien et Egyptien sont grandes : une colère sociale en partie provoquée par l’augmentation du prix de la nourriture, un autocrate ayant détourné des sommes incroyables à son profit, le tout déclenchant une révolte pacifique en faveur de la démocratie aboutissant au renversement du vieux dictateur.
Bien sûr, tout n’est pas fini. Si les vieux autocrates ont quitté le pouvoir, nous sommes encore dans une période d’incertitude où il n’est pas sûr qu’une démocratie apaisée s’installe à Tunis et au Caire. Des promesses ont été faites, mais tant que des élections libres n’auront pas eu lieu et qu’un gouvernement issu de la volonté populaire ne se sera pas installé au pouvoir dans les deux pays, la transition démocratique ne sera pas complète, comme le montrent les incertitudes en Tunisie.
Croire en l’homme
Ce grand mouvement de libération porte un immense message d’espoir dans la nature de l’homme. Il montre à nouveau que les dictatures sont finalement friables, que les autocrates les mieux installés peuvent être chassés du pouvoir en un mois à peine, quasiment sans effusion de sang. Le besoin de liberté est bien dans la nature de l’homme moderne et ces révolutions promettent un bel avenir à la démocratie qui devrait bien un jour effacer de la surface de la planète les régimes autoritaires, même si ce combat sera difficile comme le montre la répression des manifestations en Algérie.
L’autre message extrêmement positif est le fait que démocratie et islam sont parfaitement solubles, contrairement à certaines idées préconçues. En effet, certains déploraient presque le départ d’Hosni Moubarak, du fait qu’il était un allié fidèle des Etats-Unis et d’Israël, et malgré le caractère dictatorial de son régime. Mais le vent de la liberté qui, après la Tunisie et l’Egypte,  souffle en Algérie, au Maroc et au Yémen montre bien que les peuples musulmans aspirent aussi à la liberté.
Le mouvement de démocratisation entamé en décembre est un immense message d’espoir pour le monde. Même si beaucoup reste à faire, y compris en Tunisie et en Egypte, il démontre l’universalité des valeurs de liberté et de démocratie. Merci à tous les manifestants !
Laurent Pinsolle





Algérie : «On ne perd pas le moral, ce n’est qu’un début !»

14/02/2011 10:05

Algérie : «On ne perd pas le moral, ce n’est qu’un début !»


Après la tentative de manifestation du 12 février réprimée par les autorités, les coordinations se réunissent  en Algérie. Pour décider des modalités d’une poursuite de l’action contre le régime.

 

Mehnimalik (Wikipedia - cc)

«  Il n’y aura pas de marche » avait décidé le pouvoir  algérien malgré les appels aux manifestations lancés dans tout le pays depuis deux semaines pour ce samedi 12 février. La stratégie policière a donc consisté à bloquer les manifestants sur la place du 1er mai dans la capitale et place du 1er novembre à Oran. La hantise du régime : que les Algériens occupent la rue comme l’ont fait les Tunisiens et les Egyptiens. Tout l’appareil sécuritaire se préparait donc depuis des semaines. Dès que les premiers cortèges sont apparus en criant «  Marre de ce pouvoir ! », des plus jeunes dont c’était la première mobilisation à Me Ali Yahia Abdennour, 90 ans, figure de la Ligue algérienne des droits de l’homme depuis des décennies, ils se sont retrouvés encerclés. Dans toutes les grandes villes, ce fut le même signal : briser toute tentative de marche.

« Nous avons été dispersés violemment, ils nous ont frappé et bloqué entre des cordons de dix à vingt policiers. Le dispositif de flics en civil était impressionnant, ils insultaient et malmenaient les manifestants
» raconte Kamel Daoud, de la coordination oranaise. Comme à Alger, une petite contre-manifestation a eu lieu avec une vingtaine de jeunes brandissant des portraits de Bouteflika.
A Alger, Ali Belhadj, l’ex-numéro 2 du Front islamique du Salut, a surgi avec son groupe en criant «  Etat terroriste ! » mais les islamistes se sont fait huer.  La guerre civile et le souvenir de la barbarie sont dans toutes les mémoires. La mobilisation algérienne, même embryonnaire, veut passer à une autre étape de l’histoire du pays.
Vers 14 heures, le  rez de chaussée de la mairie d’Oran était transformé en centre provisoire de détention, les prisonniers étaient ensuite emmenés en camion vers les commissariats.  
Dans la capitale, les leaders , arrêtés vers 12 heures, ont été relâchés après 19 heures. Le blogueur Amine Menadi dont nous signalions ce matin l’arrestation, avait été conduit au grand commissariat d’Alger-centre. «  On était parqués mais on avait pu conserver nos portables, on a même manifesté à l’intérieur » nous dit-il.  Libéré dans la soirée, le jeune homme affirme que « la peur a changé de camp ». Pourtant, il est clair que cette première manifestation n’a pas mobilisé comme l’avaient espéré les organisateurs.« Nous n’avons pas réussi à faire la jonction avec les mouvements sociaux, sinon nous aurions été au moins dix mille à Alger » commente un témoin avec amertume, «  nous avons un problème d’organisation car dans l’état d’explosion et de colère du pays, le chiffre de 2000 manifestants dans la capitale est tout à fait insuffisant… » .  Un autre affirme : « On n’aurait pas dû quitter la place, il fallait faire comme les Egyptiens. Tenir. Seulement, quel prix sommes-nous prêts à payer, nous les Algériens ? Les gens en ont tant vu ! »
Mais le déploiement policier décourageait la plupart des hypothèses.  A Alger comme à Oran, les coordinations se réunissent ce dimanche pour envisager les futures actions et tirer la leçon de cette première journée de révolte. On sait déjà que dans la capitale, le Rassemblement pour la culture et la démocratie appelle à revenir samedi prochain.  Les jeunes affirment de leur côté : «  On ne perd pas le moral, ce n’est qu’un début ! »
Bref, le chemin de la révolution sera, chacun le pressent ce soir, très très long en Algérie…

 

Martine Gozlan – Marianne

http://www.gaullisme.fr/?p=12542






Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan sur les événements en Algérie

14/02/2011 10:01

Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan sur les événements en Algérie


Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan sur les événements en Algérie
Alors que les arrestations arbitraires se comptent désormais par dizaines en Algérie et que certains manifestants semblent être littéralement tabassés par les forces de police, les autorités françaises doivent prendre leurs responsabilités et condamner fermement les dérapages du régime de Bouteflika.
Les violences insupportables du pouvoir Algérien à l’encontre de son peuple, la confiscation des richesses du pays à des fins privées et l’absence étouffante de démocratie ne rendent plus possible le silence de la communauté internationale.
Comme en Tunisie et en Egypte, il est du rôle de la France de soutenir les peuples qui se révoltent pour leur liberté : la résistance à l’oppression est une valeur constitutionnelle en France. Elle l’est d’autant plus en ce qui concerne l’Algérie, pays auquel la France est intimement lié par l’Histoire et auprès duquel notre pays a un rôle à jouer.
Le peuple Algérien, fier et courageux, doit prendre le risque d’une véritable démocratie : il mérite mieux qu’Abdelaziz Bouteflika, qui a brandit l’injure de génocide de l’identité algérienne par la France et dont les amis militaires ont dépecé le pays.
Alors que partout dans Alger ce sont des slogans en français qui appellent au départ du président Bouteflika, la France doit être à la hauteur du message universel qu’elle semble tristement avoir cessé de porter avec la présidence Sarkozy.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne, président de Debout la République





Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan suite à la fuite d’Hosni Moubarak

14/02/2011 09:57

Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan suite à la fuite d’Hosni Moubarak


Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan suite à la fuite d’Hosni Moubarak

Nicolas Dupont-Aignan se réjouit aujourd’hui de la victoire historique du peuple égyptien sur l’oligarchie qui lui avait confisqué le pouvoir depuis tant d’années et dont la fuite d’Hosni Moubarak est le terrible aveu.
Faisons désormais confiance aux égyptiens pour assurer la transition démocratique de leur pays, et respectons le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Le peuple égyptien nous donne aujourd’hui une grande leçon de liberté, et la France doit désormais se montrer à la hauteur en se préoccupant à l’avenir plus du sort des peuples que de celui des oligarques qui les gouvernent.
Aujourd’hui comme il y a peu en Tunisie, et alors que le président Sarkozy nous a fait hier de nouvelles promesses sans avoir tenu les précédentes, le vent de la liberté et de l’espoir nous vient du sud de la Méditerranée.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne et président de Debout la République





Nicolas Sarkozy, DSK : des candidats de moins en moins virtuels

14/02/2011 09:52

Nicolas Sarkozy, DSK : des candidats de moins en moins virtuels


Malgré certains augures (Jean-Michel Apathie ou Malakine) qui persistent à croire que le contexte national les pousserait à passer leur tour, je persiste à croire que Dominique Strauss-Kahn et Nicolas Sarkozy se présenteront aux élections présidentielles. Cette semaine l’a à nouveau confirmé.

Un aller simple Washington-Solférino

Il est étonnant de constater à quel point l’éventuelle candidature du patron du FMI aux primaires socialistes déchaînent les passions. Tout le monde sait qu’il devra attendre juin au plus tôt pour annoncer ses intentions mais beaucoup persistent à pester contre cette attente. Pourtant, depuis plus d’un an, le candidat malheureux aux primaires de 2006 sème régulièrement des indices sur ses véritables intentions et sa montée en puissance depuis la fin 2009 est impressionnante.

En outre, DSK laisse des indices très clairs sur ses réelles intentions. Il a accéléré la cadence fin mai 2010 en participant à l’émission d’Arlette Chabot. Depuis, il intervient régulièrement sur les ondes, ou utilise sa femme, qui avait participé au Grand Journal de Canal Plus, pour faire sa promotion. Anne Sinclair vient cette semaine de clarifier la situation en affirmant qu’elle ne souhaitait pas que son mari fasse un nouveau mandat à la tête du FMI, indiquant implicitement sa candidature.

Comment en effet ne pas céder à la tentation de sondages aussi bons, d’autant plus qu’il serait dans la confortable position de l’opposant ? Dominique Strauss-Kahn n’est pas Jacques Delors : il s’est présenté aux primaires en 2006, ce qui démontre sa soif de pouvoir. Quand au Parti Socialiste, l’envie de retrouver les palais nationaux pourrait bien le pousser à se discipliner, car une nouvelle défaite pourrait alors condamner durablement le parti. Bref, la candidature DSK est une évidence.

Un président en campagne

Quelques uns suggèrent que Nicolas Sarkozy pourrait renoncer. Je n’ai jamais cru à cette hypothèse. Non seulement aucun président sortant n’a renoncé à se représenter, même dans des situations difficiles (souvenons-nous de Jacques Chirac en 2002), mais en plus, une telle décision me semble totalement en contradiction avec la psychologie du vainqueur de l’élection de 2007. L’hypothèse François Fillon (qui rappelle celle de Michel Rocard en 1988) est nulle et non avenue.

En outre, comment ne pas comprendre que depuis le remaniement, le président de la République est déjà passé à sa campagne de réélection ? Son nouveau gouvernement est clairement une équipe de campagne, resserrée et supposément plus professionnelle. Il déroule depuis quelques mois un nouveau style, plus humble, plus posé, plus présidentiel. C’est ce qu’il a fait lors de la conférence de presse de début d’année ou de l’émission « Face aux Français » hier.

L’histoire qu’il va proposer aux Français est déjà écrite : le président qui a sauvé notre pays de la plus grave crise économique depuis des décennies face à des socialistes irresponsables. Et il cherche déjà à rassembler son camp avec les réformes à venir (fiscalité et dépendance). Bref, tout indique que non seulement il a pris sa décision, mais qu’il a déjà établi ses thèmes de campagne et qu’il a déjà commencés à dérouler son argumentaire pour sa réélection.

Bref, il ne faut pas se faire d’illusions. Nicolas Sarkozy et DSK seront candidats. Et au final, c’est sans doute positif car cela montrera bien aux Français que le Parti Socialiste ne propose pas d’alternative, comme le montre cette analyse de leurs propositions monétaires

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






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