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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan suite à l’allocution de Nicolas Sarkozy

01/03/2011 10:34

Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan suite à l’allocution de Nicolas Sarkozy


Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan suite à l’allocution de Nicolas Sarkozy

Ainsi donc, le gouvernement du "retour à l’impératif de la solidité et du professionnalisme" que nous vantait Christine Lagarde aura fait long feu : trois petits mois... Et pour cause : quelle solidité et quel professionnalisme ! Nous avons en réalité vécu un véritable calvaire diplomatique, qui a gravement affaibli la crédibilité et les intérêts de la France sur la scène internationale.

Aujourd’hui, ce sont les mêmes figures qui se disputent les mêmes maroquins, une énième version de l’éternel "tournez manège" dont se désespèrent tant les français et dont Nicolas Sarkozy est désormais coutumier.

Espérant apparemment être jugé sur ses discours plutôt que sur ses actes totalement contradictoires, Nicolas Sarkozy a essayé ce soir d’investir les habits de président de la République. Mais en découvrant un mois après tous les observateurs le caractère historique des événements se déroulant dans le monde arabe, il est aujourd’hui totalement décrédibilisé.

Jusqu’où l’UMP aura-t-elle le goût du suicide pour suivre son chef dans la politique de terre brûlée de la secte du temple Sarkozy ? La France et la droite ont besoin d’un autre candidat, un candidat capable de porter un changement radical de système au service de l’intérêt général et des français.

Nicolas Dupont-Aignan,

Député de l’Essonne et président de Debout la République.

http://www.debout-la-republique.fr/Communique-de-Nicolas-Dupont,1297.html

 

 






Remaniement pour gouvernement à bout de souffle

01/03/2011 10:31

Remaniement pour gouvernement à bout de souffle


Après quelques hésitations, Nicolas Sarkozy a décidé de remanier son gouvernement et de sortir Michèle Alliot-Marie, qui n’était plus à même de mener la diplomatie Française dans le contexte actuel. Ces soubresauts donnent une ambiance de fin de règne à cette fin de son mandat.

 

Le remaniement d’un gouvernement remanié

 

Ce nouveau remaniement, à peine quelques mois après un remaniement raté, qui avait à la fois beaucoup trop tardé et déçu par son manque d’ampleur, illustre l’échec du président. Conformément aux rumeurs, Alain Juppé récupère les Affaires Etrangères. Il est remplacé par Gérard Longuet à la Défense. Enfin , Claude Guéant remplace Brice Hortefeux à l’Intérieur. Le président n’a pas eu un mot pour ce dernier et Michèle Alliot-Marie, qui est débarquée après de nombreuses polémiques.

 

En fait, Nicolas Sarkozy a justifié ce remaniement comme un moyen d’avoir une équipe plus à même d’affronter les enjeux du moment, constat cruel pour les deux débarqués. Il a lourdement insisté sur le contexte international, cherchant sans doute à atténuer les aspects négatifs de ce remaniement, un désaveu pour deux des membres clés de ses équipes depuis quatre ans et ce changement d’une équipe qui avait déjà été modifiée il y a à peine quelques mois.

 

L’échec extérieur

 

Nicolas Sarkozy comptait sur l’international pour relancer sa présidence, comme lors de la présidence de l’Union Européenne, en pleine crise financière. Las, les polémiques déclenchées par Michèle Alliot-Marie, François Fillon et Boris Boillon ont tout fait capoter. En outre, la diplomatie Française n’apparaît pas spécialement en avance sur les évènements qui se passent dans le monde arabe. Voilà une belle occasion de perdue dans une région où l’on aime la France.

 

En outre, le président qui disait vouloir radicalement réformer le capitalisme, a considérablement réduit ses ambitions pour la présidence du G20. Le gouvernement essaie donc de nous vendre que l’accord réalisé sur les indicateurs pour mesurer la stabilité du système économique est important. Ceci est totalement ridicule car la Chine a refusé les indicateurs qui la dérangeaient et, plus de deux ans après la crise, on aimerait que les discussions portent sur les solutions plutôt que sur les indicateurs.

 

L’échec intérieur

 

Loin de se relancer, Nicolas Sarkozy s’affaiblit. Alors qu’il flirtait encore avec les 30% dans les sondages pour le premier tour des présidentielles, il dépasse aujourd’hui à peine les 20%, avec Marine Le Pen qui klaxonne derrière. Loin de rassembler son camp, ces choix (débat sur l’islam ou l’immigration) semblent pousser une partie de ses électeurs à se tourner vers le FN. Alors qu’il souhaitait éliminer les socialistes du premier tour, c’est lui qui risque de finir par l’être…

 

Et ce ne sont pas les chiffres du chômage qui vont l’aider, car comme Marianne le démontre, la baisse de janvier est totalement artificielle. Le nombre total de chômeurs (incluant ceux à temps partiel) est stable en réalité. En outre le gouvernement a recourt aux radiations (12 000 de plus) et aux emplois aidés pour améliorer les statistiques officielles. Et ce ne sont pas les réformes fiscales à venir qui risquent de rendre le gouvernement plus populaire…

 

Bref, les innombrables soubresauts qui agitent le pouvoir me rappellent aujourd’hui la fin du mandat de François Mitterrand. Ce remaniement est un lointain écho à celui de 1992 qui corrigeait l’échec de celui de 1991. Nicolas Sarkozy n’aborde pas la campagne très sereinement... 

 

Laurent Pinsolle

 

Photo : http://www.leparisien.fr/images/2011/02/26/1333449_mama.jpg

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






« Ni à droite, ni à gauche »

01/03/2011 10:23

« Ni à droite, ni à gauche »


Je partage certaines valeurs que l’on dit « de Droite » : le patriotisme, l’esprit d’entreprise, le sens de l’ordre, l’amour du terroir….
Je partage certaines valeurs que l’on dit « de Gauche » : l’humanisme, la solidarité, la laïcité, le refus de « l’argent pour l’argent »…..
Je partage avec la Droite comme avec la Gauche l’horreur des extrémismes de toutes sortes, qu’ils soient politiques, intellectuels ou religieux.
Mais si je n’ai jamais beaucoup entendu la Droite condamner les régimes totalitaires de Ben Ali ou de Moubarak, je n’ai pas non plus beaucoup entendu la Gauche condamner celui de Gbagbo ou de Castro.
Et ne parlons pas des silences assourdissants des uns et des autres à propos des totalitarismes modernes, notamment ceux de Mao-Tsé-Toung en Chine ou de Pol Pot au Cambodge.
Je ne confonds pas l’humanisme de Georges Pompidou et le cynisme de Nicolas Sarkozy, pas plus que je ne confonds le socialisme de Jean Jaurès et de Pierre Mendès-France avec le socialisme de François Mitterrand ou de Dominique Strauss-Kahn……
Entre le national-libéralisme de droite, et le social-capitalisme de gauche, je ne vois pas la différence.
Mais aujourd’hui la coupe est pleine. Le Peuple que certains veulent s’attribuer à droite comme à gauche comme s’il faisait partie de leurs biens, n’en peut plus et n’en veut plus. Il n’en peut plus et il n’en veut plus de ces deux partis-prédateurs qui se partagent depuis des lustres, en se tenant mutuellement « par la barbichette », notre pays et ses capacités pour leur unique profit et celui de leurs copains. Je refuse cette Droite amorale, cynique, affairiste et maladivement médiatique.
Je refuse cette Gauche dogmatique, querelleuse, hypocrite et convaincue de détenir l’universelle vérité.
Je refuse cette France que la Droite comme la Gauche veulent construire : une France conçue comme un parc d’attractions pour touristes fortunés venus d’Amérique ou de Chine.
Je refuse ce mondialisme sans racines et sans valeurs autres que celles de l’argent que cette Droite comme cette Gauche-là veulent ériger comme un avenir bâti sur l’euro, leur euro, l’euro des financiers, des banquiers, des traders, celui qui plombe nos exportations et qui ruine donc nos emplois.
Je refuse cet abandon, ou plutôt ce bradage, de notre souveraineté nationale -cette souveraineté qui vient du Peuple, et de nulle autre part- à des instances non élues, faites de fonctionnaires irresponsables, devenus apatrides par choix personnel et égoïste.
Je suis Européen, et me sens chez moi en Allemagne comme en Espagne, en Italie comme en Grèce. Et je souhaite qu’il en soit de même de leurs habitants s’ils viennent dans mon pays. Mais je refuse cette Europe-là que, de traité de Maastricht en traité de Lisbonne, nous ont construite la Droite et la Gauche , réunis finalement dans un même dessein, la Droite de fabriquer des consommateurs décérébrés, obéissants et sans espérance, la Gauche des habitants sans racines, sans histoire et sans âme, du grand village mondial.
Je refuse pour ces pays amis (je ne les ai pas tous cités) la capitulation financière et l’obéissance par étranglement économique : Grèce, Portugal, Irlande, et demain Espagne, Italie, et pourquoi pas France. Pour eux comme pour nous, le combat est le même : celui pour un retour à la souveraineté politique, économique et monétaire, parce que qui dit souveraineté des états dit aussi liberté des peuples.
Je refuse pour mon Pays la place de strapontin qu’a daigné lui laisser l’Amérique, comme je refuse qu’il soit un chienchien tenu en laisse par une quelconque Madame Angèle germanique.
Alors oui : ne me reconnaissant ni dans cette Droite sans entrailles, ni dans cette Gauche sans coeur, je persiste et je signe : je ne suis ni de droite, ni de gauche.
Peut-être voudrez-vous savoir ce que je crois modestement être : un Français, qui aime son Pays, son terroir ; qui se sens proche de ceux qu’il croise tous les jours au travail, en ville, sur la route ; qui souffre de voir que tout, sans exception, peut se vendre et s’acheter : les hommes, la culture, la nature ; qui considère que les frontières des nations sont des traits d’union et non des murs à abattre….
Ce qui me porte, c’est une certaine idée de la France , et surtout aujourd’hui, une autre idée de la France. Et même si cela peut sembler anachronique, désuet voire ridicule, je m’affirme gaulliste.
Car c’est aussi une autre idée de la politique.
Par Michel Bonnot, DLR 71

http://www.debout-la-republique.fr/Nouvel-article,1296.html

 






Sarkozy vire MAM sans états d’âme

01/03/2011 10:17

Sarkozy vire MAM sans états d’âme


Management sans ménagements
Pas un mot, pas le moindre hommage, même hypocrite, à une dame que l’on congédie sans ménagements, c’est assez peu courant dans notre démocratie policée… Faut dire qu’elle l’a bien cherché, et fait tout ce qu’il convenait pour être traitée de la sorte… Si j’étais féministe, je serais aux anges : enfin une femme virée sans que l’on puisse le moins du monde mettre sa chute sur le compte de son sexe et du machisme au sommet.
Tout de même, j’aurais préféré que Nicolas Sarkozy eût pour elle les égards que le moindre homme du monde doit à la maîtresse qu’il congédie : le bouquet de fleurs (chères) avec un petit mot du genre : « Elles faneront, vous jamais ! », tout cela mis en musique rhétorique par l’excellent Henri Guaino, cela aurait eu de la gueule !
Peut-être s’est-elle sacrifiée pour que son compagnon Patrick Ollier reste au gouvernement, ce qui ajouterait du sel à la tragédie qu’un Sophocle moderne ne va pas manquer d’écrire…
Mais, j’en conviens, on n’en est plus là, il y a vraiment le feu au lac et la présidentielle c’est demain. Nicolas l’a bien compris, et s’est conformé à la célèbre formule de Jean Cocteau « Puisque ces événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ! ».
Je suis, sur le coup, resté relativement sceptique sur ces paroles présidentielles, jusqu’à ce que Benoît Hamon, porte-parole du PS apparaisse sur les écrans. L’opposition a le droit de tout dire, c’est même son devoir, mais il ne faut pas abuser : affirmer que c’est le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN qui a provoqué l’engagement des troupes française en Afghanistan est une stupidité : nos « boys » y sont depuis 2001… Zont pas de fiches au PS ? C’est grave…





La fin de l’euro commence-t-elle à Dublin ?

01/03/2011 10:14

La fin de l’euro commence-t-elle à Dublin ?


Les élections législatives Irlandaises ont paradoxalement très peu attiré l’attention alors que l’avenir de la monnaie unique se joue peut-être ici. Les partis qui vont former le gouvernement ont en effet promis de renégocier le « plan d’aide » européen. Un bras de fer décisif devrait commencer.

Une révolte démocratique

Nous ne sommes pas encore dans la situation de l’Islande, mais l’Irlande devient un nouveau foyer de trouble pour la zone euro. En effet, le Fianna Fail au pouvoir a connu une déroute historique, puisqu’il devrait passer de 73 sièges (sur 166) à seulement 20. La majorité devrait être composée du Fine Gael (36% des voix, 72 sièges) et du Labour (20% des voix, 38 sièges contre seulement 20 auparavant). Ces deux partis ont promis une renégociation des termes du plan négocié à l’automne.Ceci démontre la révolte du peuple Irlandais contre les conditions de cette aide, très mal acceptées. En effet, la population compare sa situation avec celle de l’Islande, qui a choisi de ne pas sauver ses banques et de ne pas suivre les recommandations de la communauté internationale avec succès, comme le reconnaît Paul Krugman. Les Irlandais ont l’impression qu’ils paient pour sauver les banques continentales qui avaient contribué à la bulle des quinze dernières années.

Une situation très instable

Du coup, on peut anticiper un beau bras de fer entre le nouveau gouvernement Irlandais et l’Union Européenne sur la renégociation du plan de soutien. La nouvelle équipe au pouvoir ne pourra pas se contenter de concessions a minima sous peine de perdre immédiatement la confiance des électeurs (ce qui pourrait également provoquer l’explosion de la coalition), mais les instances européennes ne seront guère partantes car cela pourrait pousser la Grèce à faire de même.

En outre, il n’est pas évident que l’Allemagne accepte une restructuration qui serait sans doute très critiquée par des médias aujourd’hui déjà échaudés par la perspective d’avoir un Italien à la tête de la BCE. Pire, la banque centrale Irlandaise créé actuellement de la monnaie pour aider ses banques (outre la recapitalisation par le gouvernement) car l’argent fuit le pays (comme en Argentine avant 2002). En résumé, la situation est totalement explosive, tant économiquement que politiquement.

Bref, les plans « d’aide » européens ont seulement permis de gagner du temps et de réduire la pression sur les marchés. Mais tout n’est pas réglé économiquement car les capitaux fuient la Grèce et l’Irlande et les peuples de ces deux pays contestent de plus en plus les plans.

Laurent Pinsolle

 

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/






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