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Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

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Présidence Sarkozy, un fiasco diplomatique historique : la vraie tache sur le drapeau

25/02/2011 09:58

Présidence Sarkozy, un fiasco diplomatique historique : la vraie tache sur le drapeau


Comme député de la nation française, je suis triste et absolument abasourdi par l'enchaînement catastrophique des erreurs diplomatiques commises sous la présidence Sarkozy, et affolé de voir comment la parole de la France - qui avait encore une réelle portée dans le monde - a été réduite à néant en l'espace de quelques années.
Notre pays véhiculait un message universel de liberté et sa voix avait toujours un sens, notamment pour les pays arabes : il est vrai que le Général de Gaulle avait su y porter notre message mieux que quiconque. Aujourd'hui, l'Elysée en est réduit à supprimer de son site officiel les photos de Sarkozy avec les différents dictateurs lors de leurs visites officielles à Paris, au fur et à mesure qu'ils répriment leurs peuples dans le sang. Quel immense gâchis !
Il me serait d'ailleurs - aussi incroyable que cela puisse paraître - impossible de faire la liste des scandales et des graves erreurs qui ont mis la France à la une des journaux étrangers, et qui ont provoqué hilarité, mépris ou stupéfaction de la part de la communauté internationale.
Passons tout d'abord sur le ridicule discours de Sarkozy à Dakar qui a néanmoins rapidement donné le ton de la politique étrangère du trio Sarkozy-Guéant-Levitte.
Passons sur les péripéties de la libération des infirmières bulgares en compagnie de Cécilia et de Boris Boillon (déjà lui).
Passons sur la stigmatisation indigne des Roms à l'été 2010 et la vraie-fausse démission du docteur Bernard Kouchner.
Passons sur l'épisode des jeux Olympiques à Pékin et l'accord officiellement signé par l'UMP (dont Sarkozy se revendique fièrement le patron) avec le PCC, parti au pouvoir d'une dictature tout aussi répressive que puissante économiquement.
Passons sur la présence de Patrick Balkany dans la délégation officielle de la plupart des voyages en Afrique du président.
Passons sur l'atlantisme outrancier de Nicolas Sarkozy ainsi que celui de François Fillon pressé de se rendre à l'Ambassade des USA lors de la campagne de 2007 y assurer qu'un "gouvernement Sarkozy serait plus apte à travailler avec les Etats-Unis" que celui de Jacques Chirac, qui avait lui osé dire "non" à la guerre en Irak.
Passons sur les ubuesques vacances du président Sarkozy dans le ranch du très critiquable président George W Bush, à Wolfboro.
Passons sur la brouille récente avec le Mexique, en raison de la médiatisation excessive d'une affaire que la diplomatie aurait dû gérer dans la discrétion.
Bref, passons sur beaucoup de choses et laissons-leur le bénéfice du doute, celui de l'implacable "realpolitik" qui impose ses choix au nom de la raison d'Etat.
Mais plus profondément, c'est bien la cohérence de l'ensemble de la politique étrangère du président Sarkozy qui est aujourd'hui à mettre à l'index : arrêtons-nous dès lors sur quelques choix que rien ne saurait justifier.
- C'est d'abord la Tunisie. Il est tout même stupéfiant que je sois le seul responsable politique français à avoir dénoncé le régime de Ben Ali alors qu'il était encore en place, et alors que pourtant la police du régime tunisien tirait sur les manifestants à balles réelles, que de simples citoyens tunisiens - ouvriers, étudiants ou enseignants - étaient tués de balles en pleine tête.
Dans ces conditions, la sortie devant le Parlement de Michèle Alliot-Marie, ministre des Affaires étrangères - ministère hautement régalien - proposant au gouvernement de Ben Ali une "aide au maintien de l'ordre", aurait dû entraîner sa mise à l'écart instantanée et immédiate par le président Sarkozy. Ce ne fut pas le cas.
Alors bien sûr, vous me rappellerez que le ministre n'a été sauvée que par... un autre scandale : on découvrait en effet que le premier ministre Fillon avait été logé pendant ses vacances par le dictateur Moubarak ! Il fallait déjà se pincer pour y croire...
Tout cela serait d'ailleurs risible s'il n'y avait pas en jeu la liberté et la vie de millions d'hommes et de femmes, et le prestige de la France sur la scène internationale.
- De manière plus générale, ce fut le flot incroyable de révélations sur les liens qu'entretiennent nos ministres avec les oligarchies en place dans ces régimes qui avait de quoi choquer.
Ces liens incestueux entre nos élites et les oligarques corrompus ont d'ailleurs trouvé leur plus forte et leur plus triste expression avec la Libye, et la tyrannie inouïe de celui que l'on a autorisé à planter sa tente à l'Elysée comme toujours au nom de la lutte contre le terrorisme, mais surtout en échange de ventes d'armes et de livraisons de gaz et de pétrole. Parmi les contrats signés, des missiles antichars "Milan" et un réseau de communication sécurisé "Tetra" pour la police Lybienne : 300 millions d'euros au total selon la presse. La Commission interministérielle pour l'étude des exportations de matériels de guerre a quant à elle autorisé pour 30,5 millions d'exportation en 2009 ! Imaginez ! La même police à laquelle Kadhafi a demandé une "boucherie" contre son peuple, et les mêmes matériels de guerre qui servent en ce moment même au massacre contre les populations civiles.
Honnêtement, j'ai honte pour mon pays.
Cette fois, une tache vient vraiment d'éclabousser notre drapeau : une tache de sang. Aucun gouvernement français n'avait le droit de vendre des armes de cette nature à un tel fou. Aucune raison d'Etat ne saurait le justifier, et certainement pas l'amitié de Patrick Ollier, autre ministre de la République pour le "Colonel" Kadhafi.
Je ne peux en effet m'empêcher de citer de nouveau Patrick Ollier, compagnon de la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie, qui déclarait en 2007 "Kadhafi n'est plus le même qu'il y a vingt ans et a soif de respectabilité. Il lit d'ailleurs Montesquieu." Comment trouver un adjectif suffisamment dur pour qualifier une déclaration aussi surréaliste du ministre ?! Sans parler de l'attitude de notre nouvel ambassadeur de France en Tunisie qui avouait sur le plateau de Canal Plus que Kadhafi le considère comme "son fils".
Et quand on pense que c'est Nicolas Sarkozy qui déclarait en 2007 devant le Parlement européen : « tous ceux qui ont fait l'expérience de renoncer à la défense des droits de l'homme au bénéfice de contrats, n'ont pas eu les contrats, et ont perdu sur le terrain des valeurs. »
Et plus largement encore, où sont passés les champions de l'ingérence humanitaire, les mêmes qui justifient la présence militaire en Afghanistan et en Irak au nom de la liberté et de la démocratie, les mêmes qui ont vendu des armes à Kadhafi au nom de la lutte contre le terrorisme ?
C'est aujourd'hui qu'il faudrait intervenir, en Libye et pour protéger des femmes et des enfants victimes d'un génocide mené par un fou, et non pas promettre comme le fait l'UE des "sanctions" qui ne feront mal qu'au peuple Libyen, épargnant comme toujours ceux qui s'enrichiront sur le marché noir et la corruption.
Où sont d'ailleurs passés tous ceux qui sont censés défendre la liberté et qui se sont tus si violemment pendant des semaines, alors que leur devoir était au contraire de soutenir les peuples arabes en révolution pour leur liberté ? Ah, qu'il est bien triste leur devoir d'ingérence à la géométrie variable des intérêts pétroliers et des alliances douteuses.
Car il ne fallait bien sûr rien attendre de la gauche mondialiste, et encore moins du Parti Socialiste. Incapables de bouger une oreille qu'ils étaient, puisque tout autant empêtrés (pour ne pas dire compromis) dans des amitiés douteuses. Le mini-scandale qui a éclaboussé Elisabeth Guigou quelques jours après ses critiques des vacances de Michèle Alliot-Marie pour ses propres relations avec l'homme d'affaires Aziz Miled (elle était co-présidente d'un organisme dont il était lui-même vice-président...) est emblématique : c'est le fameux : "je te tiens, tu me tiens par la barbichette".
Comment s'étonner dès lors que 80% des français ne fassent plus confiance ni à la droite, ni à la gauche pour défendre leurs intérêts ?
Mais malgré tout, puisque c'est l'UMP qui est au pouvoir et que certains en son sein se revendiquent Gaulliste (quelle imposture !), comment peuvent-ils aujourd'hui tolérer un Ministère des Affaires Etrangères qui ne dit plus rien sur rien, si ce n'est quelques communiqués de presse laconiques d'une affligeante banalité, uniquement pour se couvrir d'un nouveau scandale médiatique lorsque les événements deviennent ouvertement intolérables ?
Comment rester muet face à la répression aveugle au Yémen, face aux assassinat de civils du régime au Barhein ? Pourquoi se taire face à la poursuite de la colonisation en Palestine, en violation de toutes les lois et conventions internationales ? Autant de sujets sur lesquels la France - complètement dépassée par un alignement aveugle sur les Etats-Unis - ne dit désormais plus rien !
Il semblerait donc que Nicolas Sarkozy, lui qui promettait une République irréprochable, ait fait le choix d'une realpolitik à deux vitesses : faible avec les forts, fort avec les faibles. Une realpolitik, en tout cas, qui ménage des intérêts qui nous échappent, à défaut de nous effrayer lorsque l'on pense les découvrir ou les comprendre.
Ce qui est une certitude en revanche - et c'est ce qui m'attriste le plus profondément - c'est que la France envoie néanmoins toujours ses enfants mourir en Afghanistan dans une guerre qui n'est pas la leur, combattre pour des intérêts qui ne sont pas ceux de la France.
Alors là encore, combien d'erreurs, combien de morts et combien de scandales avant le retrait ?
Combien de larmes avant de laver l'honneur sali de la patrie ?
Nicolas Dupont Aignan
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Pr%C3%A9sidence-Sarkozy%2C-un-fiasco-diplomatique-historique-%3A-la-vraie-tache-sur-le-drapeau





Charles De Gaulle se méfiait du capitalisme

25/02/2011 09:35

Charles De Gaulle se méfiait du capitalisme


« je n’aime pas les miens, ils aiment trop l’argent »

« Le capitalisme n’est pas acceptable dans ses conséquences sociales. Il écrase les plus humbles. Il transforme l’homme en un loup pour l’homme »

« Comment voulez-vous qu’on aille toujours plus loin vers l’enrichissement des riches et l’appauvrissement des pauvres ? »

" Mais que le Journal télévisé, qui s’adresse à tous les Français, transforme en une obsession quotidienne le défilé de robes à 3 000 francs, c’est une provocation pour des ouvriers qui gagnent 500 francs par mois ! Et puis c’est très bien de montrer la France des régates, du tourisme hippique, mais ce sont là des vacances de riches. Et pourquoi toujours privilégier ce milieu frelaté, ce monde de l’argent facile, des filles faciles, qui sont des provocations pour un public populaire pour qui la vie est difficile »
Extraits de propos et citations de Charles De Gaulle





25/02/2011 09:22



Une critique de l'essai d'Alain Minc (Un petit coin de paradis, Grasset, 160p.), Jean-Pierre Chevènement, Le Point, 24 février 2011

"Minc nous administre un traitement euphorisant à forte dose de morphine"
 
Que nous dit Alain Minc dans « un petit coin de paradis » ? Dans cet essai brillant et incisif, il nous décrit une Europe idyllique, paradis des libertés, ayant réussi à inscrire la religion dans la seule sphère privée et à faire naître un « espace démocratique commun », plus juste et finalement plus riche socialement que les Etats-Unis eux-mêmes, véritable modèle de vertu prosélyte, qu’il s’agisse d’environnement, d’aide publique au développement ou de gouvernance collective. La clarté d’esprit et le talent d’exposition d’Alain Minc ne sont plus à vanter. Il y a du Voltaire dans cet homme-là ! Mais, patatras ! L’environnement mondial est féroce. C’est l’objet des trois derniers chapitres -les plus percutants d’ailleurs- de ce petit livre : nous sommes et nous serons de plus en plus seuls, dans ce monde de brutes que nous préparent les grands pays « émergents ». Comment l’agneau européen, qui ne peut, sauf à se renier, devenir loup, pourra t-il préserver son précieux modèle, dont il n’y a aucune chance qu’il puisse faire école ?

Cette contradiction nous fait voir le grand désarroi idéologique des européistes, soixante cinq ans après que Jean Monnet a inspiré l’idée que l’Europe naîtrait du marché.

Alain Minc reconnait bien volontiers que l’Europe d’aujourd’hui ne se définit plus par aucun dessein cohérent. Elle est « un animal sartrien sont l’existence précède l’essence ». Même l’expression de Jacques Delors de « Fédération d’Etats Nations » lui parait « impropre » pour la décrire. Elle est devenue une machinerie si complexe, depuis la chute du mur de Berlin, avec l’élargissement à l’Est et la création de l’euro qu’elle ne peut plus être comprise qu’« en phase ave la cybernétique », une « incroyable horlogerie » sans « Grand Horloger », capable de trouver en elle-même, selon l’auteur, sa propre régulation. Et de donner quelques exemples de crises surmontées : l’échec du projet de Constitution européenne en 2005, la crise financière de 2008, celle de l’euro en 2010. L’Europe trouverait ainsi dans chaque crise le moyen de progresser toujours plus. Puissance du mythe !
Tenailles. Quand on a lu, sous la plume d’Alain Minc, la description des puissances émergentes, « aujourd’hui mercantilistes, demain peut-être impérialistes », et celle de l’inévitable et croissant divorce entre l’Europe et les Etats-Unis, et qu’on a pris connaissance des faibles moyens de riposte qui nous resteraient, « le rabotage -à la marge- de notre modèle social », la création d’une golden share européenne pour protéger des OPA sauvages nos grandes entreprises, « la fusion du Max Planck Institut » et du laboratoire de physique de l’Ecole Normale Supérieure », on se prend brusquement à douter : Alain Minc ne serait-il pas en train de nous administrer un traitement euphorisant à forte dose de morphine ?

Ne confond-il pas le triomphe de l’hyper-individualisme libéral avec l’accomplissement de la démocratie ? Quand il proclame « qu’il faut un microscope pour mesurer les différences entre les gouvernements socialistes et libéraux », notre Voltaire est évidement bien loin du Peuple selon Rousseau, exerçant sa souveraineté. Que sont des droits que ne gage aucun devoir, faute d’un civisme qui ne peut aller sans patriotisme ? Face aux redoutables défis auxquels l’Europe doit faire face, pour définir par exemple de nouvelles règles du jeu au sein de la zone euro, Alain Minc parie sur « la convergence empirique des institutions communautaires », « un degré intime de concertation entre les Etats », « une opinion aux réactions identiques chez les Vingt-sept ». Il nous vante « un miracle quotidien ».

Si, pour ma part, je crois à la convergence à long terme des intérêts des peuples européens (y compris la Russie), coincés que nous sommes dans les tenailles du G2 (« la Chinamérique » »), je ne suis pas assez frotté d’économie libérale pour me fier à la réalisation spontanée d’un optimum. Ainsi, je constate que l’euro est une simple variable d’ajustement dans la rivalité du dollar et du yuan. Je ne sais pas si nous surmonterons la crise de l’euro. Je constate simplement qu’avec le « pacte de compétitivité » Merckel-Sarkozy, on n’en prend pas le chemin.

Bref, je ne crois guère que l’infinie complexité de la machinerie européenne soit un gage d’efficacité. Sinon, la Diète polonaise, avec son « liberum veto », qu’évoquent irrésistiblement les votes à l’unanimité des Vingt-sept, gouvernerait aujourd’hui le monde !

Continent périphérique. Je vois le désarroi de l’Europe actuelle devant son déclin démographique, sa stagnation économique, son marché ouvert à tous les vents. le rétrécissement de ses parts de marché, l’inexistence de sa défense et de sa politique extérieure sur les grands dossiers. Percutée par la mondialisation libérale à laquelle elle s’est ralliée à travers un désarmement unilatéral, l’Europe devient un continent périphérique. L’insouciance, dans les années trente déjà, se dissimulait déjà sous un optimisme de commande. Alain Minc, nouveau Giraudoux, nous vante l’avènement de « l’homo europeanus ». Je crains furieusement que celui-ci n’ait quelque chose à voir avec le « dernier homme », tel qu’entrevu par Nietzsche.

Ce dont manque l’Europe qu’on nous a faite, c’est d’une communication avec son passé et donc avec ses nations, qui lui permettrait de retrouver cette confiance en elle-même et cette fierté dont Alain Minc note justement l’absence.

Celui-ci sous-estime la dimension de l’identité politique sans laquelle aucun peuple ne peut faire l’impasse et le nôtre, héritier de la Révolution, encore moins qu’aucun autre, sauf à se résigner à sortir de l’Histoire. Pour que l’Europe soit « le levier d’Archimède » de la France, encore faut-il que celle-ci puisse affirmer pleinement son identité républicaine !

En juxtaposant ou en superposant selon un principe de géométrie variable, des projets mûris, débattus et voulus par ses peuples, l’Europe, retrouvant la dimension de la puissance, serait mieux armée face au « monde qui vient »
 





Dominique de Villepin à l'Elysée

24/02/2011 18:44

Dominique de Villepin à l'Elysée


Dominique de Villepin a rencontré le chef de l'Etat pour un tête-à-tête à l'Elysée, ce jeudi matin.
A sa sortie de l’Elysée, interviewé par la chaîne de télévision BFMTV, Dominique de Villepin a fait une courte déclaration. L’ancien Premier ministre a fait par d’un "dialogue direct, franc et républicain avec Nicolas Sarkozy. Dominique de Villepin a déclaré avoir alerté le chef de l’Etat "sur les grands enjeux nationaux et internationaux". Dominique de Villepin a dit avoir rappelé à Nicolas Sarkozy ses "grandes exigences sur les difficultés que nous traversons" et demandé plus d’"Etat, de justice sociale, de rassemblement". Il a également affirmé avoir prôné un "renforcement de la France dans le Monde".
"La France doit être en initiative, en proposition en Europe et dans le monde", a déclaré le Président de République Solidqire, pour "être devant pour saluer ce mouvement des peuples".
Dominique de Villepin a tenu à terminer son intervention en évoquant le débat sur la laïcité et l’islam et dit qu’il ne fallait pas rechercher "de boucs émissaires", soulignant tour à tour l'"intérêt supérieur de la nation" et "l’intérêt général qui doit l’emporter".

 

http://2villepin.free.fr/






De Villepin quitte l’UMP. Enfin !

24/02/2011 18:35

De Villepin quitte l’UMP. Enfin !


Dominique de Villepin ne renouvellera pas en 2011 son adhésion à l’UMP, annonce mercredi le mouvement politique de l’ancien Premier ministre, « République solidaire ». Le patron du parti majoritaire Jean-François Copé et le porte-parole du gouvernement François Baroin ont regretté cette décision.
Pour ma part, je ne peux que me réjouir de cette décision. Enfin !
Dominique de Villepin est aujourd’hui totalement indépendant, se met à la disposition des Français pour créer une réelle alternative en 2012. Il lui faudra néanmoins composer avec d’autres partisans du gaullisme, notamment Nicolas Dupont-Aignan.
L’ancien Premier ministre a annoncé sa décision mardi à l’occasion d’un déplacement à Lyon.
« Je n’ai pas renouvelé ma carte cette année (…) parce que j’estime qu’il y a un décalage croissant entre les idées qui sont défendues par l’UMP et les Français », explique le rival de Nicolas Sarkozy, en réponse à la question d’un étudiant.
« Aujourd’hui je constate que les regards et les visions s’éloignent. Je constate que l’idée que nous nous faisons de la République, (…) de la voix de la France dans le monde n’est pas la même », ajoute-t-il.
Sera-t-il suivi par les députés qui le soutiennent ? Rien n’est moins sûr ! Mais, est-ce vraiment un obstacle pour une consultation présidentielle ?





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