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Pour Nicolas Sarkozy, la question de l’euro est "une question d’identité"
31/01/2011 09:14
Communiqué de presse de Nicolas Dupont-Aignan suite au discours de Nicolas Sarkozy à Davos
En déclarant à Davos face aux puissants de ce monde que l’euro n’était pas qu’une question monétaire ou économique, mais avant tout un projet identitaire, Nicolas Sarkozy a enfin fait tomber le masque des intérêts qu’il protège.
En effet, cette déclaration du chef de l’Etat français résonne comme un terrible aveu. S’il tient tant à sauver l’euro, ce n’est donc pas parce que l’euro serait le meilleur instrument monétaire ou économique pour la France, mais bien parce qu’il correspond à un projet plus ambitieux : imposer à la France une "identité" qui n’est pas sienne.
Cette "question d’identité" dont parle Nicolas Sarkozy est en totale cohérence avec la volonté de MM. Van Rompuy et Trichet - bien sûr présents à Davos - de soumettre les budgets nationaux à la censure d’une Commission européenne illégitime et anti-démocratique. Elle s’inscrit dans la droite ligne du viol du peuple français et de son rejet du référendum de 2005. Elle cadre en outre parfaitement avec la volonté de ces dirigeants non élus de nous imposer une gouvernance mondiale, dont ils savent pourtant pertinemment qu’elle signe la mort des démocraties.
Le chef de l’Etat français est donc prêt à sacrifier l’économie française sur l’autel d’une question identitaire pour le moins ambigüe. J’y vois une véritable trahison des intérêts du pays, et c’est pourquoi je demande de nouveau à Nicolas Sarkozy ou François Fillon la tenue d’un débat sur la question fondamentale de la sortie de l’euro. Cette question sera au cœur de l’élection présidentielle de 2012 tant elle symbolise l’affrontement entre ceux qui défendent l’intérêt des français et ceux qui se soumettent aux puissances d’argent.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne et président de Debout la République.
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La nouvelle envolée du prix des matières premières
28/01/2011 13:23
En moins de deux ans, nous sommes déjà revenus au début de l’année 2008, quand des émeutes de la faim se développaient dans le monde entier et que le prix du baril de pétrole dépassait les 100 dollars. La hausse du prix des matières premières est spectaculaire.
Une envolée générale et durable
Alors que le prix du baril avait dépassé les 140 dollars mi-2008, au pire de la crise, son prix avait été divisé par 4, atteignant les 35 dollars début 2009. Depuis, sa remontée est moins brutale que la course entamée début 2007, mais pas moins spectaculaire. Nous venons d’assister à un quasi-triplement en deux ans (niveau digne des chocs pétroliers). Idem pour le prix des matières premières agricoles, passées d’un indice de 120 en 2006 à un pic de 210 mi-2008, avant de retomber à 140 début 2009 pour approcher 220 en ce début d’année, comme le montre The Economist.
Mais le pire est que cette envolée est sans doute durable, l’effondrement de 2008-2009 s’expliquant par une crise économique d’une ampleur inédite depuis quatre-vingt ans. En effet, l’ensemble des données semblent indiquer que nous entrons dans un monde où les matières premières seront plus chères. Si la hausse des prix va naturellement pousser la production à la hausse, il y a des contraintes physiques qui peuvent freiner cette hausse. Et surtout, l’augmentation de leur consommation devrait continuer dans les années à venir avec la forte croissance des pays en voie de développement.
Risque ou opportunité ?
Bien sûr, les règles du marché devraient permettre une augmentation de la production, des gisements ou des productions qui n’étaient pas rentables le devenant, et étant alors mis en chantier. On estime aujourd’hui que le coût de production des schistes bitumeux du Canada tourne autour de 50 dollars le baril. Les prix actuels garantissent donc une marge qui encourage leur développement. Mais ce n’est pas sans poser de gros problèmes écologiques, comme le souligne la polémique naissante sur les gaz schisteux en France et où l’Etat devrait assurer une plus grande transparence.
Plus globalement, les mécanismes de marché ont une forme de vertu dans le sens où les variations de prix poussent les acteurs économiques à s’adapter. Beaucoup de scientifiques affirment ainsi que nous avons atteint le pic de production de pétrole et s’alarment des conséquences d’une telle perspective, qui pourrait propulser le prix du baril à plusieurs centaines de dollars. Cependant, une telle évolution est aussi le moyen de favoriser l’innovation et la relocalisation des économies (le coût du transport devenant plus prohibitif). Et quel meilleur moyen de « décarboner » nos économies ?
Le besoin d’Etat
A 300 ou 500 dollars le baril, il est probable que l’ingéniosité humaine et la quête du profit permettront de trouver des substituts au plastique et aux multiples dérivés du pétrole. La voiture totalement électrique arrive sur nos routes (avec Renault en pionnier). Cependant, le travers du système actuel est qu’il est extrêmement brutal et que ses conséquences peuvent être dramatiques pour les populations, l’envolée actuelle des prix créant de nouvelles famines et l’exploitation irréfléchie de certaines matières premières créant des désastres écologiques dont la facture est encore invisible.
Pour toutes ces raisons, il est essentiel de ne pas laisser aux seuls marchés la gestion des matières premières par le seul signal d’un prix trop volatil. Il convient à la fois de définir une véritable politique de long terme pour réduire rapidement la dépendance à l’égard des hydrocarbures, développer une politique industrielle ambitieuse pour développer des substituts durables aux produits dérivés du pétrole et surtout stabiliser les marchés agricoles en permettant à la fois aux agriculteurs de gagner leur vie, aux pays d’être auto-suffisants et aux citoyens de se nourrir à un prix décent et moins variable.
Voilà de beaux projets de coopération européenne. Malheureusement, ils contreviennent sans doute trop à la « concurrence libre et non faussée », le veau d’or des autorités bruxelloises. Il revient donc à l’Etat de reprendre la main sur ces sujets, quitte à proposer des coopérations à d’autres pays.
Laurent Pinsolle
http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/
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L’Afrique et le monde arabe entre violences et espoirs démocratiques
27/01/2011 17:22
L’actualité internationale est très ambivalente en ce moment. D’une part, de multiples dérapages violents montrent la triste actualité des violences religieuses. De l’autre, un vent de démocratie et de liberté semble souffler sur certains régimes autocratiques, en Tunisie, en Algérie ou en Egypte.
Du désespoir à l’espoir
Cependant, une lueur d’espoir est apparue en Tunisie avec la révolte populaire qui a poussé le dictateur Ben Ali à quitter précipitamment le pays, contre toute attente. L’aspiration à la liberté est non seulement forte mais se répand puissamment en Algérie ou en Egypte. Dans un monde arabe aujourd’hui peu familier avec la démocratie, un grand espoir s’est levé et, s’il est beaucoup trop tôt pour crier victoire, on peut espérer un effet de contagion semblable au printemps d’Europe de l’Est.
Le rôle de l’Occident
Bien sûr, la France doit continuer à défendre les droits de l’homme. Notre vision laïque de l’Etat est d’autant plus importante que dans ces pays, les conflits religieux sont légions et qu’ils ont provoqué de multiples massacres. Il faut espérer que les voies choisies par les peuples arabes les éloigneront de l’islamisme radical mais nous ne devons pas ignorer qu’il existe un Islam modéré et démocratique que nous devons encourager sans jamais remettre en cause sa souveraineté.
L’Occident en général et les Etats-Unis en particulier ont fait beaucoup d’erreurs dans le passé, en préférant les autocrates aux islamistes démocrates, en envahissant sans raison valable l’Irak et en ne parvenant pas à contribuer à une résolution du conflit Palestinien. Le monde arabe trouvera son salut en lui-même.
Laurent Pinsolle
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Pour Nicolas Sarkozy, la question de l’euro est "une question d’identité"
27/01/2011 17:17
En déclarant à Davos face aux puissants de ce monde que l’euro n’était pas qu’une question monétaire ou économique, mais avant tout un projet identitaire, Nicolas Sarkozy a enfin fait tomber le masque des intérêts qu’il protège.
En effet, cette déclaration du chef de l’Etat français résonne comme un terrible aveu. S’il tient tant à sauver l’euro, ce n’est donc pas parce que l’euro serait le meilleur instrument monétaire ou économique pour la France, mais bien parce qu’il correspond à un projet plus ambitieux : imposer à la France une "identité" qui n’est pas sienne.
Cette "question d’identité" dont parle Nicolas Sarkozy est en totale cohérence avec la volonté de MM. Van Rompuy et Trichet - bien sûr présents à Davos - de soumettre les budgets nationaux à la censure d’une Commission européenne illégitime et anti-démocratique. Elle s’inscrit dans la droite ligne du viol du peuple français et de son rejet du référendum de 2005. Elle cadre en outre parfaitement avec la volonté de ces dirigeants non élus de nous imposer une gouvernance mondiale, dont ils savent pourtant pertinemment qu’elle signe la mort des démocraties.
Le chef de l’Etat français est donc prêt à sacrifier l’économie française sur l’autel d’une question identitaire pour le moins ambigüe. J’y vois une véritable trahison des intérêts du pays, et c’est pourquoi je demande de nouveau à Nicolas Sarkozy ou François Fillon la tenue d’un débat sur la question fondamentale de la sortie de l’euro. Cette question sera au cœur de l’élection présidentielle de 2012 tant elle symbolise l’affrontement entre ceux qui défendent l’intérêt des français et ceux qui se soumettent aux puissances d’argent.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne et président de Debout la République.
http://www.debout-la-republique.fr/Pour-Nicolas-Sarkozy-la-question.html
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Le "n'importe qui" salue la serpillière des puissants
27/01/2011 17:14
Ce matin sur Europe1, juste après une chronique de Thierry Guerrier sur ma campagne présidentielle et les intentions de Jean Arthuis de se porter candidat pour le centre, Jean-Pierre Elkabbach - avec le ton méprisant et suffisant qu’on lui connaît bien - nous a placés sur sa liste des "n’importe qui".
Mon premier réflexe a bien entendu été de considérer cette insulte comme une véritable légion d’honneur venant de la serpillère des puissants que représente M. Elkabbach.
Mais très vite, c'est le sentiment de malaise qui m'a saisi violemment, car cette saillie de Jean-Pierre Elkabbach est également un crachat au visage de toutes celles et tous ceux qui m’accompagnent dans mon combat politique, un bras d'honneur aux centaines de milliers d’électeurs qui ont voté pour mon mouvement aux européennes et aux régionales de 2010.
En fait, Jean Pierre Elkabbach voit son petit monde s’écrouler, ne supporte pas l’émergence de nouvelles personnalités politiques qui refusent le bipartisme réducteur auquel il est tant attaché et qui protège si bien les intérêts d'une oligarchie complètement déconnectée du réel.
Jean Pierre Elkabbach parle toute la journée de tolérance, mais il a fait la preuve, une nouvelle fois ce matin, de son intolérance viscérale à l’égard de ceux qui veulent changer les choses, faire bouger les lignes.
Souvenons-nous comme il s’était moqué d’Arnaud Montebourg, lui qui propose la démondialisation.
Alors, il est vrai que je ne suis pas reçu dans les dîners en ville qui ne m’intéressent pas.
Il est vrai que je ne suis pas le confident du Président de la République.
Il est vrai que cela ne fait pas 40 ans que je cire les pompes des riches et des célèbres.
Il est vrai que je ne suis qu’un élu de la Nation, réélu député par deux fois au 1er tour de scrutin, le Maire le mieux élu de France avec 79,8 % des voix dès le 1er tour et le responsable d'un mouvement gaulliste qui représente un courant de pensée dans notre pays.
Heureusement, nous ne sommes plus au 18ème siècle et ce genre de différends ne se règle pas en duel à l'épée. Quelque chose me dit pourtant que M. Elkabbach se serait de toute façon défilé, lui qui refuse de m'affronter derrière un micro.
Jadis, il fallait payer des impôts pour avoir le droit de voter. Aujourd'hui, il semble falloir l’autorisation de M. Elkabbach pour se présenter !
M. Elkabbach, le "n’importe qui" vous salue bien.
Nicolas Dupont Aignan
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Le-%22n-importe-qui%22-salue-la-serpilli%C3%A8re-des-puissants
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