Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux

VIP-Blog de rgrs

Rassemblement des Gaullistes Républicains et Sociaux
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

276 articles publiés
dans cette catégorie
2 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 10/01/2011 15:32
Modifié : 09/08/2011 09:50

Garçon (54 ans)
Origine : Hénin Beaumont
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Juillet  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
30010203040506
07080910111213
14151617181920
21222324252627
282930010203


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Gaullisme local ] [ Revues des blogs ] [ Evènements ] [ TV, Radios, Journaux ] [ Lecture gaullienne ] [ Gaulliste libre ]

DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine

17/05/2011 19:28

DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine


Quarante huit heures après l'arrestation du patron du FMI, la presse américaine se passionne pour le « DSK Gate ».Sexe, argent, politique. Tout y est, les tabloïds en redemandent et même la noble presse fait passer au second plan les questions de politique intérieure.

« French Toast », c’est le titre plutôt facétieux choisi par Am New York, le quotidien gratuit de New-York pour illustrer en une son papier sur le directeur du FMI « accusé de viol sur une femme de chambre ». Un scandale qui sonne la fin de sa carrière politique martèle le journal.   

Rien à voir avec des titres comme le Daily News qui ne fait pas dans la dentelle. Après avoir flanqué à DSK l'attribut de « pervers », aujourd'hui c'est un Strauss-Kahn ceinturé par deux gros bras sur « le chemin de la honte » (« Walk of shame ») qui fait la une. Parmi les tabloïds, le New-York Post (rien à voir le New-York Times…), tire aussi à boulets rouges sur le patron du FMI. 


DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine

 Citant des sources policières, le NY Post affirme que DSK se serait ainsi montré arrogant pendant sa garde à vue au commissariat, offusqué de ne pas être traité comme un VIP. Le président du FMI serait resté toute la journée sur un banc en bois. Et d’ajouter « dans la cellule miteuse où DSK a passé la journée,es plateaux repas valent 1,80 $ par grand chose à voir avec la suite au Sofitel à 3.000 $ où il avait passé la nuit la veille ». Les articles sur le site du journal fourmillent de détails crapoteux sur ce que DSK aurait fait subir à la femme de chambre et évoque sa réputation de chaud lapin. 

 


DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine

L'affaire captive la presse américaine, au point que même l'annonce du retrait de Donald Trump de la course à la présidentielle ne relègue pas le « DSKgate » au second plan. Le New-York Times et le Daily News proposent un compte-rendu détaillé de l'audience: « Hagard, vêtu d'un manteau noir et d'une chemise boutonnée, l'une des personnalités les plus connues du monde économique a été contraint de s'asseoir comme un criminel de droit commun avec d'autres prévenus. La salle était bondée de journalistes internationaux et même une poignée de touristes français ébahis » écrit le Daily News. Sur le fond, le New-York Times propose un récit crû des faits rapportés par le procureur:  « La plainte pénale dit que M. Strauss Kahn a fermé la porte et a empêché la femme de sortir, lui touchant les seins, tirant son collant et la forçant à lui pratiquer une fellation ».

BenJamin Brafman, l'avocat de DSK, infirme ces propos, expliquant qu'entre le moment de l'agression présumée et l'heure de son vol, Monsieur Strauss-Kahn avait un alibi.


DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine

Le quotidien new-yorkais explique enfin que DSK a eu droit à ce que l'on appelle dans le jargon de la justice américaine le « perp-walk », qui consiste à être sorti du tribunal sous les flashs des photographes. Un rituel réservé aux accusés célèbres. Strauss-Kahn a ensuite été emmené dans une cellule spéciale à East harlem pour y être soumis à un examen médical.

DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine
Le Washington Post s’intéresse plus aux impacts économiques de l’arrestation du président du FMI : « l’arrestation de Monsieur Strauss-Kahn est susceptible d’avoir des répercussions au-delà des Etats-Unis et en Europe, dont il a contribué à stabiliser les finances. DSK a ainsi eu une influence dans le sauvetage financier du pakistan et pour maintenir l’Egypte sur des bases solides ». 


Le bilan économique de DSK est ainsi très élogieux :  « il a également poussé le FMI à améliorer son diagnostic des nouvelles menaces financières, demandant de recueillir plus d’informations sur les banques de dépôt. Mais ses succès professionnels ont longtemps servi à masquer les aspects les plus sombres de sa vie personnelle » poursuit le Washington Post.  

Le journal égrène alors la liste des affaires dans lesquelles DSK a été impliqué, revient sur sa fortune, son train de vie etc. En ouverture du site, le Washington Post invite également à s’exprimer sur l’arrestation du directeur du FMI et affiche un total de plus de 500 commentaires.


DSK en prison, l'affaire vue par la presse américaine

Beaucoup plus mesuré sur l’influence positive de DSK au FMI, le Wall Street Journal écrit que la politique du Fonds Monétaire International n’aurait guère été différente avec ou sans lui : « l’élément le plus détermeinant dans la politique du FMI n’a jamais été de savoir qui le dirigeait, mais où il se situait. Bien que les Européens ont toujours géré le Fonds, ses politiques ont toujours reflété les vues du gouvernement américain, qui est son actionnaire le plus important. Ainsi, même lorsque l'Europe était beaucoup plus à gauche que ce qu’elle  est aujourd'hui, le Fonds a toujours été un contre-poids politique. Ainsi, si la situation difficile de M. Strauss-Kahn est d'une grande importance pour la vie politique française, elle est de peu de conséquence pour la crise de la dette de la zone euro » conclut brutalement le journal. 

The Economist a, pour sa part, choisi un verdict sans détours : « No, he kahn't ».


Régis Soubrouillard - Marianne





Nicolas Dupont-Aignan à la chasse aux signatures

12/05/2011 19:35

Nicolas Dupont-Aignan à la chasse aux signatures


Un homme politique qui vise la présidence de la République était hier en Côte-d’Or : Nicolas Dupont-Aignan. Le président de Debout la République (DLR) a lancé sa campagne de recherche des parrainages dans le département en allant à la rencontre de six maires du Val-de-Saône. « L’enjeu n’est pas d’être candidat pour être candidat. L’enjeu, c’est d’offrir une alternative gaulliste et de tout miser sur la relocalisation des emplois », a expliqué Nicolas Dupont-Aignan. « Les alternances UMP/PS ne portent aucun résultat, tout simplement parce que les dirigeants politiques ont abandonné tous les pouvoirs à Bruxelles. » Le député de l’Essonne a ajouté : « Il faut une vraie ligne politique à droite. »

Après la présidentielle, ce seront les législatives. Le président de DLR annonce d’ores et déjà « des candidats dans toutes les circonscriptions de Côte-d’Or. Nous sommes prêts et ça va surprendre ! ». En 2007, alors qu’il avait manqué de peu les 500 signatures nécessaires, huit élus de Côte-d’Or lui avaient apporté leur soutien.

C. B.

Photo : Nicolas Dupont-Aignan (à droite), en compagnie de Pascal Moriou, président départemental de DLR.

http://www.bienpublic.com/fr/accueil/article/5071476/Nicolas-Dupont-Aignan-a-la-chasse-aux-signatures.html






Le PS doit-il dire (définitivement) adieu aux ouvriers et employés?

11/05/2011 12:28

Le PS doit-il dire (définitivement) adieu aux ouvriers et employés?


Terra Nova a écrit une note ravageuse intitulée « gauche : quelle majorité électorale pour 2012 ? », qui dresse un constat de divorce entre la classe ouvrière et la social-démocratie. Le think tank imagine une nouvelle coalition centrée sur « les valeurs », rassemblant femmes, jeunes, minorités, diplômés.


(Flickr - Clémentine Gallot - cc)

C’est sans doute la note la plus sensible que le think tank socialiste Terra Nova ait jamais produite. Si sensible que selon nos informations, elle a failli rester dans un tiroir. Que dit ce texte de 88 pages ? Tout simplement que la gauche sociale-démocrate a définitivement divorcé avec les catégories populaires, et particulièrement la classe ouvrière. Qu’elle n’a plus aucune chance de les rattraper dans un combat électoral. Qu’elle tenterait quand même de le faire, elle perdrait son âme. Rien de moins.

Ce n’est pas tant le divorce entre le constat du divorce ouvriers et employés d’une part et les socialistes de l’autre qui est nouveau, mais bien la théorisation du phénomène, sa traduction en actes politiques et programmatiques. Pour aller vite, selon Terra Nova la classe ouvrière a définitivement basculé à droite, voire davantage. Elle ne partage plus les mêmes valeurs que la gauche. Et le nouveau noyau de la gauche est constitué des jeunes, des femmes, les « minorités », les diplômés.

Ce constat n’est pas que français. Lors d’un colloque réunissant les think tanks de gauche européens et américains en avril en Espagne, les têtes d’œufs de Terra Nova, Olivier Ferrand en tête, se sont aperçues que leurs homologues étrangers partagent peu ou prou leurs préoccupations.
Oliver Ferrand, directeur de Terra Nova nie absolument abandonner les catégories populaires: "le coeur de la coalition, explique-t-il à Mariianne,ce sont les quartiers populaires. Ce sont les jeunes" Ce que nous abandonnons c'est l'idée du front de classe. Tout simplement parce que les classes sociales, dont la classe ouvrière, ont explosé. Cela se voit dans les votes, qui sont devenus illisibles si l'on réfléchit en terme de classes.  Nous n'avons pas changé" de valeur: elles sont toujours la justice sociale et la solidarité envers les plus démunis. "

Le plus désespérant c’est que la nouvelle coalition qu’imagine Terra Nova pour remplacer l’ancienne, centrée sur les ouvriers et qui avait porté François Mitterrand à l’Elysée il y a tout juste 30 ans, est loin d’être majoritaire. Baptisée « France de demain », elle comprend de plus des catégories peu dynamiques démographiquement (les jeunes) et/ou peu civiques (les minorités, en particulier immigrées votent peu). Le seul élément à la fois stable et massif serait le vote féminin, autrefois conservateur, aujourd’hui de plus en plus acquis aux « progressistes ». Cette coalition serait mobilisable sur « les valeurs » de gauche comme « l’émancipation », au détriment de la défense des intérêts des classes populaires.  "Ce sont les catégories qu'on appelle "outsiders", celles qui ne sont pas incluses dans le système. Femme, immigrés, jeunes, etc, elles  ont toutes besoin de l'Etat pour, justement, permettre leur inclusion", explique Olivier Ferrand

Sans caricaturer outre mesure, on peut plagier Brecht et résumer la philosophie du rapport:  puisque le peuple de gauche s'enfuit, inventons un nouveau peuple de gauche. Les socio-démocrates, souvent issus de la « deuxième gauche », qui animent Terra Nova (son conseil scientifique est présidé par Michel Rocard) théorisent donc ce que le PS n'ose pas avouer: à force de ne pas s'opposer au capitalisme, dont la forme actuelle est la mondialisation et la financiarisation, ils ont perdu le contact avec le peuple sociologique. Ils ne peuvent donc espérer gagner l'élection que par la division des bataillons électoraux de l'adversaire, la droite et l'extrême-droite.

Terra Nova a donc longuement hésité avant de révéler sa note, dont les résultats sont on le voit assez déstabilisants pour la gauche.  Il a fallu attendre la fin de l'après-midi pour qu'elle apparaisse enfin sur le site mardi 10 mai www.tnova.fr. La note a été adressée aux principaux leaders de la gauche française, y compris ceux ne résidant pas actuellement en France... On verra ce qu'ils en feront..


Hervé Nathan - Marianne





Wauquiez sponsorise le match de l’année: RSA contre SMIC

11/05/2011 12:22

Wauquiez sponsorise le match de l’année: RSA contre SMIC


Les propositions de Laurent Wauquiez, lundi, contre le « cancer de l'assistanat » ont rapidement déclenché un tollé dans l'opposition. Pourquoi Laurent Wauquiez s'offusque-t-il du RSA quand le salaire d'un Pdg ne semble pas le heurter ? Jack Dion revient sur ces propos.

C' est le match de l’année, celui qui devrait nous tenir en haleine jusqu’à l’élection de 2012. Son thème ? « Les dérives de l’assistanat », comme le dit Laurent Wauquiez, ministre des affaires européennes, un homme très bien puisqu’il est également animateur de « la droite sociale ». D’après lui, c’est le « cancer de la société française », bref l’équivalent du Médiator pour le débat public.

Pour que chacun puisse prendre la mesure du scandale, Laurent Wauquiez a pris l’exemple suivant : « Un couple qui est au RSA, en cumulant les différents systèmes de minima sociaux peut gagner plus qu’un couple dans lequel il y a une personne qui travaille au smic ».. Et le ministre de conclure, un rien grandiloquent : « Ca, c’est la société française qui tourne à l’envers ». Tel que.

Résumons. Quand un Pdg gagne en un mois ce que gagnerait un Smicard ayant commencé à travailler sous Vercingétorix sans n’avoir connu aucun arrêt maladie, Laurent Wauquiez trouve que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Quand des banquiers sont drogués aux bonus comme certains sportifs à l’EPO, Laurent Wauquiez pointe aux abonnés absents. Quand des Pdg se goinfrent aux stock options et aux retraites chapeaux, Laurent Wauquiez détourne le regard. Quand des riches touchent un chèque du fisc grâce au bouclier fiscal, il ne vient pas à l’esprit de Laurent Wauquiez l’idée de dénoncer cette « assistanat » de classe. Quand Total annonce 10 milliards de profits sur la balance pour 2010 mais ne paie pas un centime d’impôt sur les sociétés, Laurent Wauquiez n’a rien à dire. Quand des groupes géants ayant pignon sur rue de la délocalisation encaissent des fonds publics et vont installer des filiales sous des cieux plus cléments (fiscalement parlant), Laurent Wauquiez ne s’offusque pas. Quand certains de ces mêmes groupes, malgré des résultats financiers en or massif, refusent de rembourser tout ou partie de leurs dettes à la sécurité sociale, personne n’entend Laurent Wauquiez.

A ses yeux, tous les exemples précités sont le témoignage enthousiasmant d’une « société qui tourne à l’endroit » pour s’inspirer de sa formule. En revanche, un couple sans enfant qui touche 700 euros par mois au titre du RSA, voilà qui le révulse.

Au passage, on précisera que le ministre raconte n’importe quoi.  Un couple avec un RSA touche toujours moins qu’un couple avec un Smic, puisque celui-ci est 1070 euros net. Même avec des enfants, un couple de smicards gagne plus qu’un couple de Rsastes. Et puis, si le « scandale » dénoncé par Laurent Wauquiez était vrai, il aurait pu proposer de remonter le taux du Smic. Mais le ministre s’en est bien gardé. Ce serait trop demander aux entreprises étouffés par le « coût du travail », comme on dit chez ces gens-là, et jamais par celui du capital (voir plus haut).

Laurent Wauquiez a proposé deux réformes possible : plafonner l’ensemble des minima sociaux à 75% du smic, et obliger les « bénéficiaires » du RSA à effectuer 5 heures hebdomadaires de travaux de « service social ». La première formule permettrait d’amputer ce que perçoit un couple avec enfant touchant le RSA, autrement dit de rajouter de la misère à la misère. Quant à la seconde, elle accrédite l’idée que les allocataires du RSA sont des fainéants vivant aux crochets de la société alors que ce système prévoit un parcours d’insertion obligatoire sous peine de suppression des allocations.

En opposant les pauvres aux moins pauvres, Laurent Wauquiez donne le ton d’une thématique qui est un cadeau (un de plus) à la compagnie Le Pen. Que l’on nous comprenne bien. L’assistanat, fortement encouragé lors du passage de la gauche aux affaires, n’est pas un faux problème. Il faut l’aborder en face, sans faux fuyant ni œillères. Mais c’est une question trop sérieuse pour qu’on la laisse aux mains des apprentis sorciers.

On craignait que la future campagne présidentielle ne finisse par déraper. A train où elle démarre, elle peut même finir par s’enliser.

Jack Dion - Marianne

http://www.marianne2.fr/Wauquiez-sponsorise-le-match-de-l-annee-RSA-contre-SMIC_a206029.html







Gollnisch boycotte France2 à son tour

11/05/2011 12:10

Gollnisch boycotte France2 à son tour


Alors que Marine Le Pen vient d’annoncer son absence à l’émission « Complément d’enquête », diffusée ce lundi soir, Bruno Gollnisch, son rival malheureux pendant la campagne interne, lui emboîte le pas.

Après Marine Le Pen, c’est au tour de Bruno Gollnisch d’annuler son passage dans l’émission « Complément d’enquête », diffusée ce lundi 9 mai sur France2. Sollicité pour évoquer dans un reportage consacré à Claude Guéant ses liens d’amitié passés avec Patrick Buisson, le conseiller régional Rhône-Alpes a exigé le retrait de son interview. Contacté par Marianne2, Bruno Gollnisch éructe : « Je croyais que c’étais une émission consacrée à la vie, à l’influence de Patrick Buisson. Mais en réalité, c’est une émission sur l’extrême-droite qui se termine sur un reportage sur des skinheads torturant un individu. C’est indigne du service public. » 

De son côté, Marine Le Pen met en cause le titre, « La tentation de l’extrême-droite », et le sommaire de l’émission. Dans un communiqué adressé ce lundi à la presse, la nouvelle présidente du Front rappelle qu’elle a, « à de nombreuses reprises, fait savoir qu'elle refusait qu'on associe le terme «extrême droite» au Front National dans la mesure où cela assimile son parti à des mouvances politiques avec lesquelles elle n'entretient aucun rapport. » Depuis sa prise de fonction à Tours, Marine Le Pen semble bien décidée à faire du Front national un parti de « droite nationale ». Rejetant en bloc l’appellation « extrême droite », elle peine pourtant à obtenir des politiques et journalistes l’abandon du terme. Aujourd'hui, elle semble donc avoir opté pour la bonne vieille méthode du coup d'éclat. En annulant au dernier moment sa venue à l'émission, elle impose aux journalistes sa propre vision du Front. Mais est-ce le rôle d'un parti politique de décider de son traitement médiatique ?   

Bref, Marine Le Pen a beau annuler son passage, reste que le reportage qui lui est consacré sera bel et bien diffusé. Joint par Marianne2, Benoît Duquesne se désole : « C'est un mauvais procès qu'elle nous fait. Le titre et les sujets de l'émission étaient annoncés depuis trois semaines. » Appelé à la rescousse, Robert Ménard sera en plateau ce soir. « Ce n'est pas un remplacement, insiste le présentateur. Il faisait partie des gens qu'on avait contactés avant l'émission, c'est l'occasion de lui faire justifier le titre provocant de son livre. » Après la diffusion du portrait de la présidente du Front, Caroline Fourest occupera la place laissée vacante par Marine Le Pen. « Elle devait participer à l'émission de toute façon car elle sort un livre sur Marine Le Pen en juin », souligne Duquesne. 
Laureline Dupont - Marianne







Début | Page précédente | 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact RGRS ]

© VIP Blog - Signaler un abus